AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 0:57

SEVENWOOD
    ROSE-MARLEY

   
Introduire une goutte d'anarchie, bouleverser l'ordre établi, et tout devient brutalement...chaotique. ~

   Age du personnage: Dix-sept ansAllégeance : ClarkMetier : Étudiante en médecine Camps: The 100
   
Descriptions
 L'on dit que je suis agaçante. Que mon éternel optimiste est insupportable. L'on ne peut point rire de tout, et c'est hélas ce que je fais, la plupart du temps. Je ne me plie jamais aux conventions, et c'est peut-être pour cela que les autres ont tendance à m'éviter. Mais nous sommes tous pareils, je présume. Nous avons tous un grain de folie en nous, mais malgré ce fait, selon mon entourage je reste différente. Cette différence, que je n'essaye même plus de camoufler. Je ne suis plus une enfant désormais, et je suppose qu’étouffer les fantômes de mon passé ne demeure point la plus sage des décisions. Je suis telle que la vie à bien voulu faire de moi, et malgré les souvenirs que je me traîne, c'est maintenant le présent que je me dois d'appréhender. Du courage, je n'en manque pas, et c'est d'ailleurs pour cela, que je m'attire toujours des ennuis. L'on dit qu'il ne faut pas confondre courage et stupidité, mais j'ai parfois du mal à différencier ces deux extrêmes, ce qui me vaut souvent de me retrouver dans les pires panades qu'il puisse exister. Mes amis se comptent sur les doigts d'une seule main, malgré que je sois des plus sociables, que j'aime les autres. La plupart ne souhaitent guère me connaître, dû à la réputation que j'ai réussi à me faire. Je suis folle. Je suis folle à lier. Il m'arrive quelques fois de voir ma défunte petite sœur, dans mes nuits de tourment. Il m'arrive quelques fois de lui parler, ce qui a tendance à mettre des barrières entre moi et le monde. Tout me semble pourtant réel ; tellement. Tessa est là, me parle, comme si elle n'était jamais partie. C'est probablement le fruit de ma culpabilité, de mon dégoût envers moi-même. Quelques connexions de mon cerveau ont du sauté après sa disparition, j'en suis maintenant persuadée. Je m'étonne à sourire en pensant à cela, bien que sache que cela demeure des plus inconvenants. Complètement dingue, c'est bien ce que je vous disais. Mon principal problème est de loin ma naïveté, celle dont l'on joue souvent. J'accorde ma confiance beaucoup trop rapidement, ce qui me revient souvent en pleine figure. Cela me revient en pleine figure, mais hélas, je ne suis pas rancunière pour une noisette, bien que j'essaie. Cependant, ce qui me caractérise le plus, c'est mon extrême maladresse; un conseil, ne me confiez jamais un secret.
J'ai le le syndrome de Peter Pan, d'après quelques vieux fous, qui ont essayé de me déchiffrer (Car oui, je suis une star dans le monde de la médecine). C'est comme si je n'avais jamais grandi. Comme si je ne demeurais toujours qu'une simple petite fille. Cette époque, où je demandais à mon père de chasser les monstres sous mon lit. Voilà maintenant dix ans qu'il m'avait laissée me débrouiller avec mes démons. La plupart du temps, je demande pourquoi  je suis là. Dans quel but, l'on a décidé de me sauver, de m'épargner. Que Dieu me pardonne, mais dans le fond, c'est moi qui ai hérité du plus mauvais rôle. De celle qui doit se battre, pour enfin réussir à faire son deuil. Qui doit se battre, pour enfin, arrêter de culpabiliser de vivre.
.


    Parle moi de toi -  

 

  On a tous une histoire paraît-il. Une histoire dramatique. Une histoire ennuyeuse et horriblement cliché. Une histoire qui fait mal, mais qui fait ce que nous sommes aujourd'hui. Je suis désolée. Je suis tellement désolée. Mais je crains que la mienne n'échappera point à cette règle.

« Respire Marley. Respire. » Je ne voulais plus respirer. Je ne voulais plus penser. Cela n'en valait plus la peine. Je le savais. Je savais, ce qui allait se produire. Je le savais, et le bruit des secondes résonnaient en moi, tel un horrible chant d'affliction. Mais pourtant, j'arrive à m'en convaincre. J'arrive à me convaincre, de ne plus avoir peur ; de rester digne. La dignité, même de cela, ils m'en avaient privé. Comment avais-je pu être aussi stupide ? Comment avais-je pu être aussi dingue ? Je n'étais qu'une enfant, qu'une gosse, mais pourtant je savais. Je savais que tout ce qui était en train de se produire, était de ma faute. Je l'ai laissé. Je l'ai laissé mourir. Je n'ai rien pu faire, et du haut de mes seize ans, je suis désormais dans l'impasse la plus totale. Je la vois. Il m'arrive de la voir, dans mes rêves, dans mes nuits de tourment. La journée, j'ai comme l'impression qu'elle me suit, désapprobatrice. Elle me déteste. Elle me déteste, et c'est tout à fait légitime. Tessa. Ma petite Tessa. Celle qui demeurait autrefois ma petite sœur, s'est transformée de victime à bourreau.
Assise sur le sol, de cette cellule de fortune, j'imagine. Je repense à ce passé, bien trop douloureux. Je repense à ces épreuves désastreuses. Je nous revois ensemble. Mon père. Ma mère. Ma petite sœur. Ensemble.

La vie sur l'Arche n'a jamais été idyllique, mais nous arrivions à nous en sortir, malgré tout. Nous étions une famille. Pas la plus extraordinaire, mais nous en étions une tout de même. Une famille unie, qui se serrait les coudes, malgré que les choix de chacun ne demeuraient pas toujours très glorieux. Mon père ne voyait que par la mécanique, et ma mère était docteur, et passait la plupart de son temps à l'infirmerie. Quant à moi, j'aspire à devenir médecin à mon tour, ma mère m'y aidant, me l'enseignant. Doux paradoxe, quand l'on pense que j'ai toujours détesté la vue du sang ; à force, on s'y habitue. Mais derrière ce schéma pour le moins banal, se dressait une ombre. Une ombre, un secret, une bombe à retardement.
Je me souviens. Je me souviens de cette nuit, et de cette violente dispute, entre mes parents. Une dispute, qu'ils ont stoppée, lorsqu'ils m'ont aperçu, en haut de l'escalier. « Chérie, retourne te coucher. Ne t'inquiète pas. » M'avait dit mon père, et je n'eus point le cœur à le désobéir ; j'aurais dû. J'aurais dû, mais je n'aurais jamais pu prévoir ce qui allait se dérouler. Ce cataclysme qui allait s'abattre sur notre modeste famille. Le monde allait s 'effondrer, mais j'ai eu la stupidité de penser que tout allait bien.

Une petite sœur. J'allais avoir une petite sœur. J'ai tout d'abord pensé à une blague. À une put*in de blague. Mais hélas, il n'en était rien. Comment avaient-ils pu ? Comment avaient-il pu être aussi stupides, et inconscients ? Ils savaient pourtant ce qu'ils encouraient, mais ils avaient tout de même décidé de la garder, la cachant, comme si elle demeurait le fruit interdit, qu'un piètre animal. Pourtant, lorsque mon océan à plongé dans ses yeux couleurs chocolats, c'en était fini. C'en était fini, j'aurais pu donner ma vie pour la sienne. C'était un drôle de sentiment. Bizarre même. Celui d'aimer une enfant, bien plus que sa propre personne. C'était peut-être cela, la beauté de l'humanité.
Je ne peux m'empêcher d'esquisser un sourire empli d'amertume, à cette pensée, me remémorant les bons souvenirs, afin de balayer les plus chaotiques. Cette gosse qui était censée être notre fléau, avait été notre raison de vivre, celle pour qui nous nous battions chaque jour.
Je me souviens précisément de cette date, de ce jour. Tessa venait d'avoir deux ans. Une petite fille adorable, sans histoire, mais qui un jour était tombée gravement malade.
Avant de posséder des médicaments, les habitants de l'Arche étaient soumis à de nombreux tests, afin d'éviter tout gaspillage. Car en effet, depuis quelques mois, il nous fallait rationner nos apports, même lorsqu'il s'agissait de notre propre santé. Il était évident que Tessa ne pouvait point subir ce genre de test ; elle n'était pas censée exister.  

Ma mère avait été prise dans l'armoire à pharmacie, à voler des anti-inflammatoires. Il ne fallut guère longtemps aux gardes pour débarquer chez-nous. Ce fut là que tout bascula, ils la trouvèrent assise sur les genoux de mon père.
Moi-même je ne comprends guère la raison de mon geste. Moi-même, je ne saurai expliquer mon attitude. Mais je l'avais fait. J'avais commis ce qui demeurait l'irréparable. Cela m'avait tout simplement rendu folle. Il n'aurait jamais dû la toucher, perturber son sommeil. Ce garde qui avait voulu s'emparer de ma petite sœur, ignorait ce qu'il l'attendait.
Je l'ai tabassé. Je l'ai tabassé, et aujourd'hui encore, je ne sais même pas s'il y a survécu. Cette chaise avait fini sur sa tête, après qu'il ne subisse d'autres sévices. Il ne fallut que quelques minutes, pour que je finisse en prison. Que quelques minutes, pour tous leur dire adieu. Que quelques minutes, pour que ceux qui m'avaient élevée soient envoyés à la dérive. Je ne sus que quelques jours plus tard, que Tessa avait succombé à la maladie.

Je me souviens d'une petite fille. Je me souviens d'une petite fille heureuse. Une petite fille, vivant au milieu d'une famille aimante. Aucun nuage ne demeurait à l'horizon, mais pourtant, de loin le Malin semblait la regarder. Au milieu de ses poupées. Au milieu de ses rêves d'enfants, la vie avait bien des projets pour elle, et les mauvais desseins du destin n'allaient point tarder à frapper. C'était ainsi. C'était la vie. C'était comme ça. C'était comme ça, et elle ne pouvait rien y faire ; elle n'avait rien vu venir. Je me demande parfois pourquoi les choses ont dérapé, aussi rapidement. Je me demande parfois, pourquoi ce bonheur que nous avons essayé d'entretenir nous a glissés entre les doigts.

L'envie de vengeance. La haine. Ces sentiments que je déteste, mais que je ressens pourtant. L'on dit que c'est humain. L'on dit que c'est humain, d'en vouloir au monde entier. L'on dit que c'est humain, de perdre pieds, après un sentiment profond d'injustice. Vivre avec. Espérer panser ses blessures avec le temps. Je n'y arriverai pas. Je n'y arriverai jamais. Je leur en veux. Je lui en veux. Et dans le fond, je suis ravie d'avoir quitter l'Arche. Nous sommes peut-être fait comme des rats, mais au moins nous mourront libres. Combien de personnes peuvent s'en vanter, là-haut ? Vivre sous ce régime totalitaire, complètement décousu, dénué d'incohérence ; c'en est terminé. C'en est terminé, mais à quel prix ?
Nous devons nous battre, parait-il. Nous devons nous battre, nous serrer les coudes, entre déchets, déchus de la société. Je ne manque pas de courage, mais avec une arme à feu, je suis maladroite, voir dangereuse. J'ai tué un homme, mais je ne sais pas si j'en serai de nouveau capable. Mais pourtant il le faut. Il le faut, pour ma survie, pour celle de ce peuple qui, bien que cela ne m'enchante guère, demeure ma nouvelle famille. Un peuple dirigée par une adolescente qui a presque mon âge, c'est vous dire si nous n'étions pas dans la merde. Mais elle en a l’étoffe, et c'est tout ce qui compte, dans le fond.

C'est en elle que nous posons tous notre confiance, voilà pourquoi nous avons accepter une alliance avec les Terriens ; ces sauvages dit-on. Ces sauvages qui nous sont sûrement semblables. Ils sont comme nous. Ils sont tout simplement apeurés. Ils sont tout simplement perdus, et essaye tant bien que mal de survivre dans ce monde parsemé d’embûches. C'est pour cela que je ne vois pas réellement de problème à cette alliance, bien que je ne leur accorde guère ma confiance. Chaque peuple défend ses intérêts, et s'il faut trahir l'autre pour les assouvir, il ne faut pas se leurrer, personne n'hésitera.  
Un monde en paix, un endroit sans aucune menace, où la tolérance et la loyauté primait. C'était ce que l'on nous avait promis. On nous avait promis, que le Mont Weather serait notre bénédiction, qu'ils nous apporteraient leur aide. Mais il en demeure autrement. Il s'avère qu'il y ait eu méprise. Car en vérité, les véritables barbares, ce sont eux.
Des expériences. Pour eux, nous ne sommes que de simples sujets d'expériences. De la chair, prête à assouvir leurs desseins des plus cruels. Ils veulent vivre. Ils veulent vivre à n'importe-quel prix, au périple d'autrui. Qui pourrait les en blâmer. Nous serions hypocrites, si nous faisions semblant de ne point comprendre. S'ils pouvaient faire autrement, ils le feraient probablement. Mais hélas, il s'avère que la clé de leur liberté, soit notre mort, et c'est pour cela qu'ils nous ont capturé. Vivre ou mourir. Se battre ou se rendre, se résigner. Je ne peux m'y résoudre, je ne pourrais jamais. Malgré le dégoût. Malgré l'incompréhension, je ne peux pas abandonner. Je n'abandonnerai jamais.

Comme des rats. Nous sommes fait comme des rats, mais pourtant, une lueur d'espoir règne dans nos âmes. L'espoir. L'espoir qui faisait vivre, mais qui la plupart du temps nous détruisait. Il nous détruisait, mais il faisait de nous des êtres plus forts, plus combatifs. C'est pour cela que j'ai décidé de résister. De me battre contre ces hommes qui veulent notre mort, contre leur lâcheté. Peut-être estiment-ils que notre vie vaut moins que la leur. Peut-être pensent-ils que leur technologie nous mettra à bout. Tout ce que je sais, c'est que nous allions riposter, au nom de tous les êtres qu'ils nous ont pris.


    ARMES - CAPACITES - SIGNES PARTICULIERS
Elle possède un couteau, dont elle ne se sépare jamais. Marley manie parfaitement les armes blanches, mais est encore novice lorsqu'il s'agit des armes à feu (pour ne pas dire complètement nulle). Sa plus grande capacité est de loin sa rapidité et sa ruse, bien qu'elle ne soit pas le genre de fille à s'imposer. De toute évidence, personne ne l'écouterait, car dans le camp, l'on a tendance à la surnommer, calamité.  


   Et sinon moi c'est Phoenix2101 ; j'ai 23 ans et j'ai connu le forum par Un lien ? Arrow . C'que j'en penses c'est que je suis très surprise par l’accueil sur ce forum. Je me suis tout de suite sentie à l'aise, et c'est très rare.  Caliiin   et puis le code d'activation est le suivant BELLAMY AIME FAIRE DES TARTES AUX POMMES !
   


Dernière édition par Rose-Marley Sevenwood le Sam 30 Mai - 16:55, édité 13 fois
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 2:54

Bienvenue parmi nous Poutou Bonne chance pour ta fiche
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Devon Bostick
Bravoure :
4326
Jasper Jordan
Jasper Jordan
100
100
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 7:29

Bienvenue a toi Calin10

Si tu as des questions n'hésite pas o/
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Alycia Debnam-Carey
Bravoure :
4749
Lexa
Lexa
Grounder ; Heda
Grounder ; Heda
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 7:58

Bienvenue Keur En esperant que tu te plaise bien ici Smile
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 8:59

Bienvenue, bon courage pour ta fiche.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 9:22

Bienvenue Calin10
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 11:14

Murphy qui n'est pas le dernier pour accueillir les jolies filles xDD

Bienvenue parmi nous mademoiselle ^^ Bon courage pour ta fiche.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 11:56

Soit pas jalouse Torvi Poutou BANANA
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 16:51

Bienvenuuuue! Bon courage pour ta fiche! sluuurp
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 18:03

Merci beaucoup pour l'accueil ! ** Et ne sois pas jalouse Torvi ! Je le mange, et je te le rends après. KYAAAAH KYAAAAH KYAAAAH
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 18:16

Bienvenue ! Je vois bien un lien avec Matt hehe sinon ta présentation est top !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 18:28

Merci  ! Calin10  Matt est ton double compte ? ** Si c'est le cas, ce serai avec plaisir ! KYAAAAH
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 18:50

Sois la bienvenue Rose-Marley ! cheers
(oui, j'avais oublié de le faire plus officiellement Very Happy)
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 19:00

Merci Athena ! grrrww
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitimeJeu 28 Mai - 21:17

Oui ahah c'est mon DC
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.   « Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
« Ce qui permet au mal de gouverner, est l'inaction des hommes de bien. » Marley.
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» Mes bien chers frères. Mes bien cheres soeurs. Reprenez avec moi tous en choeur ! [PV Jude Falkenräth]
» Ton orgueil vaut bien le mien.
» Noël c'est bien mais maléfique à la fois
» Une mission d'espionnage bien compliquée PV Zoey Lopez
» Parce que l'on a bien rit. Maintenant faut parler sérieusement. {Jonty}

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Red Sands :: HORS RPG :: Anciennes fiches V1-
Sauter vers: