CROWLEY
ALISTAIR
Live a life less ordinary.
~ Age du personnage: 36 ans ﹅
Allégeance : Malgré le fait qu'il veuille l'enfouir à tout jamais au plus profond de son être, son passé fait d'Alistair un jeune homme à la personnalité complexe et impulsive. Méfiant, manipulateur, sarcastique et empli de colère, Alistair n'accorde sa confiance à personne. Trahison et vengeance sont à l'origine de ce qu'il est aujourd'hui : un joueur d'échec qui ne perçoit les autres que comme des pièces à déplacer afin de parvenir à ses fins. Autant dire qu'il ne croit qu'en lui-même. La soumission à une institution ou à un chef le fait bien rire. Il est et restera son propre chef. ﹅
Métier : Membre de la garde ﹅
Camps: Rescapés de l'Ark Descriptions L'esprit. Cette faculté humaine capable de tant de prodiges. Cette force dans laquelle puise l'humanité pour survivre.
Comment dois-je vous décrire qui ou plutôt ce que je suis ? Mon esprit m'a façonné tel que je suis aujourd'hui. Mon être, mon histoire, la façon dont j'évolue... Tout ça à cause de mon esprit. Cet ennemi tapis dans l'ombre. Oh, il est loin d'être le moteur de ma survie. Il est plutôt l'éventuelle cause de ma mort. Une mine enfouie dans le sable, une bombe à retardement, ou encore comme j'aime à l'appeler : Moriarty. Mes pensées font de moi un homme craintif, instable, insociable, solitaire, haineux, pourri, mauvais, fort et envieux tel un prédateur. Je suis donc ainsi fait, futile et sensible, capable d'élans fougueux qui m'absorbent tout entier, bons et mauvais, nobles et vils – mais jamais d'un sentiment durable, jamais d'une émotion qui persiste et qui pénètre l'âme.
Les derniers mots qui me viennent pour me décrire sont : « Méfiez-vous de moi. ».
Parle moi de toi - Rescapé de l'Ark ? :
Quelle est l'origine de cette histoire ? De notre histoire ? De mon histoire ? La réponse la plus claire serait ces visites répétées chez Lyanna Richardson, une des psychologues de l'Ark, parce que cette femme allait ouvrir pour moi le tiroir de mes secrets, sous la forme de questions certes, mais des questions si intenses et si pressantes qu'elles étaient déjà une amorce de réponse.
Mais j'élude la mise en lumière de mon histoire... Parce que l'origine se terre dans mon enfance. Si j'étais capable de m'en souvenir, j'aurais quelques réponses ; bien différentes des cauchemars qui hantent mes nuits.
Depuis toujours, la peur et la violence m'ont hanté. J'ai vécu dans ces ténèbres. J'ai toujours craint qu'on m'entraîne, m'attache, m'écorche comme un animal nuisible. Des nuits cauchemardesques m'ont fait entrevoir des silhouettes menaçantes. Puis, la violence a répondu à la peur. Réponse animale, réponse de conversation. La peur m'avait saisi pour toujours. Pour toujours, j'allais devoir me cacher et manipuler pour me défendre. Non pas d'une lutte modérée ou rationnelle, mais avec une violence d'animal affolé, mordant pour s'arracher d'un piège. La violence de ceux qui portent le sceau de la peur. Une comparaison me vient en tête : celle du renard au fond de son trou, les yeux vacillant d'angoisse. Comme si la peur de l'enfance avait provoqué l'écroulement du monde. Plus de certitude, plus de confiance, plus de paix.
Depuis que le conseil avait envoyé une centaine de gamins sur Terre, les choses ne s'étaient pas arrangées.
Là en regardant au loin la silhouette de Norah Richardson face à la barrière électrifiée, je peux aujourd'hui considéré que mon histoire commence par un meurtre. La mémoire ne retient que la violence et l'angoisse. La peur. Toujours la peur. Et son colocataire, la violence. C'était tout ce qu'il me restait de mon acte.
* - * - *
Flash-BackUn jour, un homme ivre a tapé sur mon épaule. Effrayé, j'ai fait volte-face violemment. J'étais énervé. Fatigué par ma semaine. L'homme m'a interpellé de nouveau en criant. Son pote à côté a voulu me dire que c'était sous le coup de l'ivresse, qu'il ne fallait pas y faire attention, mais c'était trop tard. J'avais frappé avec une peur pleine de rage. Et je frappais, et je frappais encore, le cœur battant à cent à l'heure, tout le corps tremblant et pourtant dur comme du fer. Et lorsque l'homme ivre est tombé à terre, j'ai continué à le frapper, cette fois à coups de pieds, et ce n'est qu'après un temps indéfini que j'ai entendu un autre cri, celui d'une femme. Quand je me suis arrêté et que je suis resté, désarmé et tremblant, presque pleurant moi aussi, au milieu du couloir, j'ai juste vu l'homme s'enfuir, partir au plus loin de moi et de ma violence. En un éclair, mes collègues m'ont saisi, isolé, calmé et Lyanna est devenue ma psy...
Comme je gardais le silence. Elle continua : « Ne croyez pas que je sois là pour vous juger, Alistair. C'est mon métier de permettre aux gens comme vous d'évoluer correctement. ». J'arquai un sourcil. * Correctement... ? * Ainsi, je suis en dehors de la notion de correct, c'est-à-dire en dehors de la norme. Me placer dans cette catégorie s'appelle un jugement. Comment les adultes peuvent à ce point être aveugles et incohérents dans leurs propos ? C'en était exaspérant. Je ne sais pas pourquoi, mais je nourrissais une rancœur envers cette femme. A mes yeux, elle représentait l'institution, qui ne cherchait qu'à nous classer et nous emprisonner dans des préjugés sur lesquels je n'avais aucun contrôle. C'est pourquoi, cette femme devant moi ne pouvait représenter ni l'espoir, ni la protection maternelle dont j'avais tant besoin. Je l'imaginais déjà allant retrouver ses collègues et leur annoncer d'une voix nonchalante : « Alistair n'a pas dit un mot pour changer... ». Je ne savais pas où cela me mènerait. J'étais terrorisé. Je ne savais pas si j'allais pouvoir gardé mon métier. Tout ce parcours, tout ce que j'avais accompli et acquis jusque là pouvait basculer d'un instant à l'autre... * - * - *
Lyanna s'était donnée pour mission d'essayer de comprendre et d'apaiser mes états d'âme. En récompense, je l'ai assassiné.
Ensuite, j'ai été arrêté, enfermé et délivré pour une raison m'était inconnue. Certainement, avait-on de moi pour monter la garde... ? La garde. Avant ce terrible incident, j'étais membre de la garde auprès de Marcus Kane. Marcus... Je l'admirais. A mes yeux, il était le seul espoir pour me sortir de la merde dans laquelle je m'étais fourré. Il incarnait la rédemption. Lui seul pouvait m'approcher sans que je ne me sente menacé ou jugé. J'obéissais à chacun de ses ordres en accomplissant chaque tâche avec sérieux et assiduité. Aujourd'hui, je me retrouvais sur Terre, parmi les rescapés de l'Ark. N'ayant pas de relations fortes avec qui que ce soit, je n'avais pas à craindre de perdre quelqu'un dans le Crash. Le Conseil avait éclaté. Je n'en pensais pas grand chose. Je vivais pour moi avant tout. Et j'accomplissais les ordres qu'on me donnait. Rien de plus. Je n'étais pas formé pour penser aux autres ou pour me poser des questions sur le pourquoi du comment. Cependant, j'étais méfiant suite à ma remise en liberté. Pour quelle raison ne m'avait-on pas exécuté ? Les punitions semblaient s'appliquer afin de parvenir à certaines fins. Ainsi, certaines personnes prenaient des décisions pour parvenir à leurs fins. C'était ainsi que les choses fonctionnaient.
Bellamy Blake m'interpelait, mais sans plus. J'étais particulièrement curieux d'entendre son histoire. Abby était devenue chancelière et cela ne changerait strictement rien à mon existence. Quant aux grounders... Une alliance avec eux nous serait favorable pour un temps... Il me semblait être du genre à se retourner contre nous. Je ne pense pas que cette alliance apportera paix et prospérité dans le camp. A chacun ses intérêts et pour parvenir à ses fins, le Conseil et les Grounders ont démontré qu'ils étaient prêt à tout.
ARMES - CAPACITES - SIGNES PARTICULIERS Alistair possède un m9 qu'il porte constamment sur lui. Il ne voit pas l'intérêt de le cacher pas à la vue des autres. C'est sa façon à lui de dire: "Stay away from me or you be gonna die...". Sa particularité physique est qu'il possède deux tatouages: un à l'avant-bras gauche, l'autre formant un fils barbelé autour de son biceps droit. Par ailleurs, peu de gens sont capables de berner Alistair. Il sait instinctivement lorsque quelqu'un lui ment. Fin observateur, rien ne lui échappe que ce soit dans les événements du camp comme chez la personnalité des personnes qui le fréquentent. Pour survivre, Alistair sera prêt à tout, quitte à être bien différent de ce qu'il est au fond de lui.
Et sinon moi c'est
Clem's ; j'ai
23 ans et j'ai connu le forum par
Internet . C'que j'en pense c'est
que l'ambiance a l'air sympa et que j'ai hâte de RP parmi vous ! et puis le code d'activation est le suivant
Bellamy Blake aime faire des tartes aux pommes ! XD