|  Sujet: Harper ☢ They built one for each of us  Mer 20 Avr - 22:46 | |
| FAITH HARPER « They're gonna take someone else »  Je m'appelle Harper Lynch ; mais on m'appelle tout le temps Harper . J'ai 17 ans et je fais partie des 100. Dans mon groupe d'ailleurs je suis utile, en effet je suis là où on a besoin de moi/garde. Oh sinon je ressemble à votre Chelsey Reist. | Si un jour on me supprime je laisse le droit au staff de garder ce que j'ai fait pour la posterité
DESCRIPTIONS Harper c’est la fille à qui on a envie de parler : elle est drôle, souriante, charmeuse, elle a toujours de bons plans pour faire la fête. Même une fois sur Terre elle n’a pas perdu cette habitude. Justement pour elle, quand les choses vont mal, il faut pouvoir penser à autre chose, avoir des petits temps qui permettent de remonter le moral. Et elle a de la suite dans les idées. Etre débrouillarde pour organiser des fêtes clandestines lui a permis de pouvoir être débrouillarde pour beaucoup d’autres choses. Dénicher les bons plans, les bonnes planques. Ça ne l’empêche pas d’être responsable, forte et fiable. Une fois qu’elle sait ce qu’elle affronte, elle n’a pas froid aux yeux. On peut compter sur elle. Elle se sacrifie volontiers pour les autres, surtout s’ils sont plus importants qu’elle, qu’ils peuvent guider les autres mieux qu’elle ne ferait elle-même. Même si elle a toujours voulu être libre, elle est assez intelligente pour comprendre le plus important. Elle veut s’amuser mais en contrepartie elle sait ce qu’elle doit faire pour protéger les autres. C’est pour ça qu’elle s’est retrouvée dans la milice de Bellamy. Il ne faut pas croire ses airs de fille un peu délurée. Oui, elle l’est. Mais avec raison, parce qu’elle sait ce qu’on peut perdre. Sur l’Arche, elle a perdu sa liberté. Sur Terre, elle pourrait perdre la vie. Et ça, elle ne le veut pas. Elle est prête à affronter beaucoup de choses pour survivre. Mais à chouiner aussi. Alors elle est du genre à trouver l’équilibre. Elle est accroc à la liberté, elle aime les grands espaces. Sa plus grande peur est de se retrouver enfermée dans une boite, dans une cage, encore une fois. |  |
ABOUT YOU
Harper est née dans la station Hydra. Son père était mécanicien et sa mère s’occupait avec d’autres de l’aquaculture. Son enfance n’a pas été malheureuse. Elle avait deux parents assez aimants mais très strict, qui souhaitaient apprendre à leur fille à respecter les règles, à faire passer l’Arche avant son propre bien être. Pour l’avenir. Comme probablement tous les enfants de l’Arche, elle fut débrouillarde assez vite. Selon ses parents, il n’y avait pas de place pour les traînards et les faibles. Il fallait mériter sa place d’être ici, d’être vivants. Face aux comportements de ses parents, le caractère de Harper s’est affirmé. Etre enfermée dans l’espace ne lui plaisait pas spécialement. Se voir toujours répéter que les autres comptaient plus qu’elle n’était pas forcément génial pour son estime d’elle-même. Certains disent que l’on ne peut pas manquer de ce que l’on ne connait pas. Mais Harper, elle, se sentait à l’étroit, oppressée. Pas vraiment heureuse, pas à sa place. Par les hublots, elle regardait la Terre, les étoiles, tout ce qui pouvait être en dehors de l’Arche en se disant qu’un jour, elle aussi irait là-bas, qu’elle pourrait sortir, partir. Etre libre. A défaut de pouvoir faire ça, il lui fallait autre chose.
Que faisiez-vous sur l'Arche ?
Avant d’être emprisonnée, c’était une enfant comme les autres. Elle n’était pas différente. Sa vie n’était pas passionnante. Mais il y avait pire. En grandissant, le bébé est devenu une fillette. On lui apprenait ce qu’elle devait apprendre pour trouver sa place. En l’occurrence, sa place s’orientait plutôt vers l’aquaculture. Alors elle allait à l’école. Et quand elle fut en âge, on lui expliqua les bases de l’aquaculture, tant sur le plan des plantes sur le plan matériel. Elle se montrait aussi curieuse également. En effet, elle posait des questions, surtout sur l’extérieur : comment y aller, comment faire pour sortir, quel travail occuper pour le faire, comment aller dans d’autres stations ? La fillette questionnait le fonctionnement, les règles, pour pouvoir trouver comment les transgresser. Puis, la fillette est devenue une adolescente. Souriante, joyeuse, charmante et charmeuse. Enfin en apparence. Toujours aussi mal dans sa peau, elle se cherchait une place, une façon de se sentir mieux. Et pour cela, rien de mieux que d’enfreindre les règles.
Quel était votre crime ?
Des gardes ont surpris Harper alors qu’elle était en train d’échanger illégalement des pièces détachées des bassins d’aquacultures et quelques plantes. Elle était assez habile pour dissimuler des choses lorsqu’elle sortait des salles aux bassins. Et elle échangeait les pièces contre tout ce qui pourrait lui permettre d’organiser des fêtes clandestines. Tout pour s’amuser. Elle contournait les règles pour se vider la tête, pour se détendre, pour s’amuser. Puisqu’on lui refusait cela depuis des années elle s’en offrait la possibilité par elle-même. Mais son petit trafique lui a valu un aller simple pour la Sky Box, la station prison. Adieu la liberté. Se retrouver entre 4 murs, avec pour seules possibilités se lever et se coucher… Harper a cru devenir folle tellement de fois… Elle ne regrettait rien bien sûr. Sans ses fêtes, sans ses transgressions, sa vie aurait été tellement fade, trop fade… Mais lorsqu’on la poussa dans sa cellule, elle comprit que cela serait dur. Et il y avait l’incertitude : qu’est-ce qui se passerait pour elle à ses 18 ans ? Pourrait-elle sortir de sa cellule si le conseil jugeait qu’elle pouvait réintégrer l’Arche ? Sinon, elle serait condamnée à mort. Les jours et les nuits étaient longues. La cellule petite. Et plus l’adolescente restait là, plus elle avait l’impression que les murs se rapprochaient d’elle. Parfois, la nuit, elle frappait, hurlait, suppliait pour qu’on la laisse sortir tant elle avait l’impression d’étouffer, d’être à l’étroit. Trop à l’étroit. Deux ans… Deux longues années.
Vos parents vous manquent ils ?
Un peu parfois. Ils n’étaient pas méchants, plutôt aimants même. Mais ils étaient sévères face à cette enfant au caractère parfois si dénotant de ce que l’on attendait d’elle et des autres enfants. Aujourd’hui, elle est grande et plutôt indépendante. Elle n’a pas besoin d’eux pour s’en sortir. Alors c’est plutôt un souvenir qu’un manque, elle ne sait pas trop l’expliquer. De toute façon, elle sait que la station dans laquelle se trouvaient ses parents a explosé en vol durant l’atterrissage et qu’il n’y a pas eu de survivant. Elle sait donc qu’elle ne les reverra pas avant de les rejoindre. Et ça, Harper ne compte pas le faire de sitôt.
En voulez-vous au conseil ? Au chancelier ?
Oui et non. Elle comprend le besoin de règles, la rigueur de la vie dans l’espace. Elle comprend la nécessité de punir, même si son besoin de liberté la poussera toujours à leur en vouloir de l’avoir envoyée dans une boite. Mais en même temps, c’est compliqué pour elle d’accepter que l’on soit aussi dur, qu’il n’y ait pas de moyen de se racheter de faire amende honorable. De tenter de convaincre que l’on peut changer. Aujourd’hui, la jeune femme sait qu’elle peut changer. Il y a deux ans elle n’en était pas si sûre que ça. Mais tout ça, ça ne l’a pas aidé à traverser les deux ans d’emprisonnement. Dans tous les cas, elle ne cherchera pas à se venger, le passé est ce qu’il est et on ne peut pas le changer. Elle est responsable de ses actes et aujourd’hui, le monde dans lequel ils se trouvent est différent, elle n’a pas de temps à perdre avec tout ça.
* * * * * *
Et puis, il y eut un changement. Un jour, on vint la chercher : la porte de sa cellule s’était ouverte, deux hommes étaient là chercher pour la transférer. Elle n’avait obtenu aucune réponse à ses questions. Ils l’avaient finalement rappelée à l’ordre en lui imposant le silence. Les couloirs étaient déserts. Elle cherchait à voir, à comprendre. Puis, une autre porte fut ouverte et on la fit entrer dans une pièce. Enfin, ce qui lui semblait être une pièce. Avant de la faire s’asseoir, on lui mit un bracelet en métal. D’autres étaient là. Elle ne les voyait pas tous. Elle ne les connaissait pas. Finalement, un s’alluma et le chancelier Jaha leur expliqua qu’ils étaient 100. Ces 100 étaient le dernier espoir de l’Arche : ils les envoyaient sur Terre pour en tester la viabilité. Harper écarquilla les yeux. Elle allait sortir. La skaikru allait quitter l’Arche. Mais ne leur avait-on pas appris que la Terre n’était pas viable ? Alors finalement c’était cela ? On les envoyait à la mort ? On les condamnait comme ça ? Sans nouveau procès ? Tant de questions se bousculaient dans l’esprit de la jeune femme. Trop pour les comprendre, trop pour les compter. Et personne pour y répondre. L’atterrissage fut rude. Et finalement, lorsque la navette s’immobilisa, ils n’étaient déjà plus que 98. Mais Harper ne s’y attarda pas, elle était arrivée sur Terre, vivante. Et lorsque la porte s’ouvrit, elle découvrit la planète. Les arbres, les feuilles, l’air. Elle sentait l’air sur sa peau. Elle sentait l’odeur des feuilles, elle entendait le bruit du vent dans les arbres. L’air libre. Et surtout, ils n’étaient pas morts. Les radiations ne les avaient pas tués. Combien de fois avait-elle rêvée de ce moment ? De cet instant béni ? Elle pouvait marcher, courir, sauter, crier et même grimper aux arbres. Même le cerf à deux têtes n’avait pas réussi à entacher son enthousiasme. Non, définitivement, Harper avait son rêve au bout des doigts. Des espaces infinis pour faire la fête, pour s’amuser, pour s’éclater. Encore et encore.
Que pensez-vous des grounder ?
Au début, Harper avait peur. Elle ne savait pas ce qui avait pu lancer une lance sur Jasper d’aussi loin. D’après ce que les autres avaient décrit cela avait de quoi être terrifiant vraiment. Les grounders ont joué avec eux, ils leur ont fait peur, ils les ont traqués, chassés. Et elle ne comprenait pas pourquoi. Surtout, avant de comprendre qu’ils étaient humains, tout comme eux, elle avait peur de devoir affronter des monstres contre lesquels ils ne pourraient pas lutter. Leurs premiers pas sur Terre avaient déjà été semés d’embûches : trouver de quoi se nourrir, survivre à la faune et à la flore sauvage, et au brouillard acide. En plus de ça, il leur fallait aussi affronter des êtres qui semblaient cruels, sanguinaires et assoiffés de sang. Finalement, la liberté avait un prix.
Aujourd’hui, Harper les craint toujours un peu. Mais différentes choses l’ont poussée à comprendre qu’ils n’étaient peut-être pas si méchants et cruels qu’elle ne l’avait pensé au début. D’abord, il y a eu Lincoln. D’autres grounders comme Nyko. Et le fait qu’Octavia devienne la seconde de Indra, du Trikru. Puis, Lexa elle-même. Même si leur culture est différente, que leurs façons sont rustres, grossières, parfois trop cruelles pour elle, elle se rend compte qu’ils ont dû survivre, comme eux. Elle comprend un peu mieux maintenant qu’ils ont traversé tant d’épreuves.
Que pensez-vous de l'entrée des skaikru dans la coalition ?
Harper se dit que si cela peut empêcher la guerre… En partie à cause d’eux d’ailleurs. En effet, en voulant signaler leur survit à l’Arche, ils ont involontairement rasé un village et provoqué une guerre. Puis, ils ont résisté, ils ont créé l’anneau de feu. Et cela n’a fait qu’envenimer les choses. Bien sûr, c’était aussi une façon pour eux de survivre. Alors Harper ne regrette pas, elle ne se sent pas coupable. Mais elle sait que cela pourrait être pire. Elle prend également conscience que s’il devait y avoir une guerre, ils ne survivraient probablement pas face à l’armée des 12 clans. La jeune femme n’est peut-être pas encore au stade de vouloir s’intégrer autant que certains, mais elle n’est pas contre l’idée, avec méfiance. En pensant qu’ils ont peut-être des choses à s’apporter les uns et les autres.
Avez-vous fait partie de la bataille dans/contre la montagne ?
Longtemps, Harper avait cru que les grounders seraient le plus grand danger qu’ils devraient affronter sur Terre. Jusqu’à ce qu’il y ait la montagne. Jusqu’à être capturée avec 47 autres des 100. Non. En réalité, le plus grand danger était ailleurs. Il était sournois, déguisé. Au début, le simple fait d’être à nouveau dans une boîte l’a dérangée. Mais la montagne semblait sure. Plus de grounders, plus de mort. Des vêtements, des lits, des douches et même de la nourriture. Cependant très vite, les choses ont changé. Ils découvrirent sur ceux de la montagne utilisaient la transfusion pour se soigner. Harper ne pouvait pas comprendre tout ça, c’était tellement compliqué. Trop. Et tellement horrible aussi. Doucement, les doutes s’insufflèrent en elle. Avec d’autres, ils commencèrent à fouiner. Et pendant qu’ils fouinaient, Harper se fit prendre fut emmenée par le docteur Tsing qui lui préleva sa moelle osseuse. La douleur… La douleur fut tellement intense, tellement horrible. Pire que tout ce qu’elle n’ait jamais vécu. Grâce à Jasper et à Dante, elle s’en sortie, affaiblie et en colère. En colère au point de participer au massacre, une guerre personnelle pour elle. Et lorsque Rhodàn vint les trouver pour les avertir que la bataille faisait rage dehors, elle prit également part à la résistance à l’intérieur : en faisant partie du groupe chargé de libérer les grounders emprisonnés dans les cages. Cela lui permit de prendre conscience que le danger était partout. Et que ceux qu’elle pensait être les monstres n’étaient peut-être pas si monstrueux que la blondinette ne l’imaginait. Cela dépassait l’entendement. Même les règles strictes de l’Arche n’étaient pas aussi… Au moins, sur l’Arche, chacun savait ce qu’il risquait.
Que faites-vous maintenant ? Etes-vous au Camp Jaha? Ailleurs?
Actuellement, Harper est au camp Jaha. Elle sait que Jasper et Miller sont allés dans le nord. Et si elle est très reconnaissante à Jasper de lui avoir sauvé la vie, elle sait qu’il est assez grand pour s’en sortir tout seul. D’autant plus que Miller est là aussi pour le protéger. Alors elle ne s’inquiète pas trop pour lui. Et puis, elle peut aussi rembourser la dette qu’elle pense avoir en veillant sur Maya. Elle sait que Jasper tient beaucoup à elle. En attendant, elle essaie de se rendre utile.
 | WHAT ELSE ? Je viens m’incruster chez les 100 pour voir si on y est aussi bien que chez les grounders. C’est balot, Jasper mon amoureux est parti chez les Skjerans  Sinon, Bellamy aime toujours faire les tartes aux pommes ! Et vous me connaissez déjà  |
Dernière édition par Harper Lynch le Jeu 21 Avr - 22:37, édité 3 fois |
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