« - Rencontre avec Heda. » • featuring Lexa.

rencontre avec heda

J'étais arrivée enfin à Polis après avoir passé plusieurs jours à Ton DC. J'avais réussi à apprendre quelques mots en Trigedasleng. C'était difficile mais je faisais mon possible pour faire le moins tâche possible. A force de persévérance envers les gardes de la tour de commandement, j'avais fini par avoir le droit à une audience avec le chef de la coalition. Soit je serais libre, soit je serais bannie, soit je serais tuée. Angoissée, lorsque les portes s'ouvrirent, je du monter plusieurs étages avec Shugaï. Car non, je ne le quittait jamais. Et s'il fallait que je sois jugée, il faudrait que je sois jugée avec lui. J'avais presque les larmes aux yeux. J'étais si proche du but que je m'étais fixé... Lorsqu'un garde ouvrit la grande porte, je marchais maladroitement vers le centre de la pièce. Je déglutis, je ne savais pas comment je devais me présenter, comment je devais me montrer polie. Je levais le regard vers le chef qui était plutôt "la" chef de la coalition. Son visage était impassible, ce qui me rendait encore plus nerveux. Un homme parla alors en Trigedasleng pour décrire la nature de ma demande. Une demande d'asile venant d'une ancienne barbare.

« - Heda, je suis désolée de monopoliser votre temps, cependant, j'ai fais beaucoup de chemin pour pouvoir vous rencontrer... »

Les larmes aux yeux, je me raclais la gorge. J'étais vraiment angoissée.

« - J'ai été bannie de mon peuple dès mon plus jeune âge, ne partageant pas leurs coutumes et leurs violences... Si je suis présente, c'est pour vous supplier le droit de vivre libre. J'ai des notions de combat, bien que je manque d'entraînement et je suis devenue "fisa" après avoir passé de nombreuses années dans la forêt... Je peux me montrer utile et vous donner n'importe quel renseignements... »

(c) LADY PANDORA

Rencontre avec Heda
(25.11 - cape, et maquillage.)
Visenya & Lexa

S’habituer de nouveau à Polis après avoir passé plus de trois semaines dans sa tente de commandement, sur un lit qui certes confortable n’était pas le sien, n’était pas quelque chose dont Lexa n’avait pas l’habitude. Non. Elle avait déjà quitté Polis pour de longs mois même, pendant qu’elle ralliait les peuples pour l’unification, pendant qu’elle guerroyait dans le Nord contre les Azgedas, ou qu’elle se rendait à la recherche de la mythique Sérön qu’elle avait ensuite visitée en Alliée. Non, s’habituer de nouveau à Polis n’était pas un challenge. C’était s’habituer à avoir Clarke et des skaikru à Polis qui était légèrement different. Pas que ça soit déplaisant non, elle s’y faisait toujours, elle s’y ferait encore. C’était juste, qu’il y’avait autres choses à régler. Expliquer Polis. Expliquer les nightblood – qui avaient été ravis de la retrouver –

Mais avant toute chose, comptait son rôle de commandeur. Et c’était ce qui se passait aujourd’hui -. Une barbare de l’Ouest lui avait demandé audience, et avec les troubles du moment, malgré les commentaires de ses conseillers, elle avait accepté de la recevoir. Elle était Heda. Elle était la coalition. Elle pouvait écouter, et juger comme il se devait.

Ainsi une femme à l’air sauvage arriva devant elle suivie par un loup géant qui fit probablement s’inquieter ses gardes. Elle leva la main, pour les calmer, et fixa Kandar qui commença à faire la traduction. Quand elle avait entendue qu’une fille de l‘Ouest viendrait lui demander audience, Lexa avait demandé conseil à la conteuse, lui demandant si elle pouvait traduire pour elle. Et la fille parla oui. Expliquant qu’elle avait été bannie, expliquant qu’elle cherchait à devenir l’une des leurs, expliquant qu’elle voulait juste se montrer utile.

« Sha. » La main se leva, et Lexa fit signe à Kandar de répéter ce qu’elle dirait. Alors, la conteuse aux cheveux bruns, servit de traductrice à Lexa, pour parler à la femme dans la langue qu’elle devait le mieux comprendre. « Tu peux parler ta langue, elle sera traduite, si c’est ce que tu trouve le plus facile. » Elle prit un temps de répit, une pause, durant la quelle elle pesa les mots qu’elle avait entendu, les mots qu’elle allait dire. « Ce n’est peut être pas la première fois que l’un des gens de ton peuple, s’interesse à notre culture, mais je dois reconnaître que c’est bien la première fois que quelqu’un comme toi s’aventure jusqu'à Polis. » Un regard froid et determiné. « Mes gardes t’ont laissés rentrés avec un animal sauvage, qui me prouve que tu n’es pas ici pour me tuer, ou mettre en périle notre coalition ? »

rencontre avec heda

Tandis que la traductrice traduisait, je déglutissais. Mon peuple n'avait pas peur du chef de la coalition. Moi, si. Cette femme était intimidante et elle pouvait juger d'elle même la valeur de ma vie. J'étais le genre de personne timide et douce, et les larmes me montaient vite aux yeux lorsque j'étais angoissée. Je sentais les regards se poser sur moi, les conseillers me regardaient d'une façon aussi impassible que leur chef. Comment pouvais-je prouver que je n'étais pas là pour tuer le chef de la coalition ?

« - Si je souhaitais votre mort, Heda, je ne serais pas venue seule. Je n'aurais pas supplié une audience... »

Je me rapprochais un peu de Shugaï et glissait ma main dans son pelage, ce qui put calmer mes angoisses.

« - Je sais que je peux paraître dangereuse avec mon animal sauvage, ce n'est vraiment pas l'image que je souhaite donner de moi. Je vois la coalition comme une paix, pas comme une menace. Pour rien au monde je ne détruirais ce que vous avez pu construire, Heda. »

Je baissais le regard un instant.

« - Dites-moi comment je peux vous prouver ma loyauté et je le ferais... »

(c) LADY PANDORA

Rencontre avec Heda
(25.11 - cape, et maquillage.)
Visenya & Lexa

Elle avait assurement bien fait de prendre Kandar avec elle oui. Déjà parce que Kandar au moins devait se sentir utile – pas qu’elle ne le soit pas, mais elle avait bien un traumatisme dont elle devait se remettre, ce n’était pas à la portée de tout le monde – mais aussi parce que Kandar connaissait les barbares, de ce que Lexa avait comprit la jeune femme – conteuse- était parfois allée dans leurs territoires. Elle n’avait pas posé trop de questions. A l’époque l’enemi commun était la montagne, à l’époque il y’avait la coalition, il y’avait Costia, et il y’avait tant de choses dans la tête de Lexa, qu’elle ne pouvait pas s’interesser à la partie inexplorée et sauvage de l’Ouest.

Mais désormais l’Ouest était aux portes de Kalawen, et une de ces barbares même était la en face d’elle, avec un loup géant que Lexa aurait pu faire exécuter sur le champs. Elle ne le ferait pas. Elle n’était pas un tyran, et un animal ne restait qu’un animal. Ce n’était pas lui le problème. Vraiment pas.

Elle écouta, la voix de la femme n’était pas celle qu’elle aurait imaginée, sa façon d’être non plus, mais Lexa savait qu’il ne fallait pas se fier a une simple impression, à une simple apparence. Elle secoua la tête.

« Tu pourrais nous parler de ton peuple. » C’était une affirmation, et c’était bien ce que la femme suggérait n’est ce pas ? La voix de Lexa était forte elle, celle du commandeur, et elle sentait les regards posés sur elle. Une fois de plus elle n’avait pas droit à l’erreur – elle n’avait jamais droit à l’erreur -. Elle reprit immédiatement après ça. « Pourquoi maintenant, alors que ton peuple commence à attaquer mes terres à l’Ouest ? Pourquoi n’es tu pas venu avant pour nous prévenir que les attaquer allaient commencer ? » Les questions étaient legitimes. Elle en aurait d’autres. Quant à sa loyauté, ça viendrait plus tard.

rencontre avec heda

Les gens autour de la chef de la coalition semblaient discuter entre eux à voix basse. Me jugeant de leurs regards mauvais. Je comprenais qu'ils puissent juger mon peuple. Mais à contrario, j'étais innocente. Dès que je fus en âge de comprendre que ce que je mangeais était de l'humain, j'ai renié cela. Je ne suis pas comme eux.

« - J'ai peu d'informations sur mon peuple, mais je vous dirais ce que je sais. »

Je n'ose pas regarder le commandeur dans les yeux, son regard impassible me rappelle celui de ma propre mère. Mais je me force et relève le regard. Pourquoi maintenant ? Parce que je devais choisir un camp ! Et que c'était eux que j'avais choisis !

« - Lorsque j'ai été bannie, je n'avais que 12-13 ans. J'ai vécue seule dans la forêt, sans contactes avec aucun membre de mon ancien peuple. La dernière fois que j'ai eu un contacte avec eux, c'était pour tuer le chef de clan et ses deux fidèles conseillers à l'âge de 15 ans. »

Je passe ma main dans mes cheveux puis retire ma capuche noire.

« - Pourquoi maintenant ? Parce que j'ai été longtemps traquée et que je ne pouvais plus vivre dans les forêts de l'Ouest. Et parce que s'il y a un camp à choisir, je préfère ceux qui possèdent une justice et un semblant d'humanité que je n'ai jamais trouvé chez les miens. »

Certes, j'aurais pu lui mentir. Lui dire que j'étais une sainte. Que je n'avais tué personne. Mais je jouais franc-jeux. J'étais peut-être une personne hideuse et cruelle à leurs yeux, mais je n'étais pas une criminelle et encore moins une menteuse.

« - Pourquoi je ne vous ais pas prévenus ? Parce que moi-même je n'en savais rien. J'ai été exclus. Les seuls lieux que j'ai fréquenté étaient des forêts. Les gens que j'ai rencontré sur la route, je ne comprenais pas la moitié de ce qu'ils disaient. Alors si votre question est de savoir si je vous aurais prévenus si j'avais su ce qu'il s'est passé, alors oui. La réponse est oui, je vous aurais prévenu si j'avais pu être au courant de ce genre d'attaques. »

Je fais la chose la plus complexe que je n'ai jamais fait depuis que je suis née. Je fais la seule chose que je me suis interdite de faire. Je pose un genoux à terre.

« - Vous pouvez décider de me chasser de vos terres, vous pouvez décider de m'ôter la vie, vous pouvez m'ordonner de prouver ma valeur dans un combat, vous pouvez même m'enfermer si vous le souhaitez, mais je vous en supplie Heda... Ne m'obligez pas à retourner là-bas... Il n'y a que sang et terreur, ils se fichent de l'humanité. Ils ne comprennent pas la compassion, la solidarité et l'amitié. »

(c) LADY PANDORA

Rencontre avec Heda
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Visenya & Lexa

Du coin de l’œil Lexa observait les réactions de Kandar – elles étaient très révélatrices, même si la conteuse parvenait a garder un visage des plus sérieux et neutres - ainsi que celle des autres personnes en présence. Il y’avait des ambassadeurs de tout clan, et Lexa était curieuse de savoir ce qu’ils pensaient de cette barbare, dont le loup était assurément effrayant. Il ne l’effrayait pas. Il en fallait beaucoup plus pour que Lexa ait peur, et si il était vrai qu’elle avait cru mourir en affrontant Pauna, c’était bien parce qu’elle savait la cruauté de la bête. Ce n’était pas pareil, et ce loup était visiblement docile, sinon il serait mort. Elle savait que ses gardes en seraient déjà venu à bout. Une flèche d’Eija entre les deux yeux et la bête aussi grosse soit elle n’aurait pas fait long feu. – Ou peut être aurait elle finie enflammée (la bete pas Eija) - mais soit, ce n’était pas le sujet. Non, le loup semblait calme, et Lexa le regardait de temps en temps, concentrant cependant son attention auditive sur la barbare. Ancienne Barbare.

Ancienne barbare bannie, qui avait vécu seule dans les forêts à L’Ouest. Et qui n’avait semble t’il ralliée l’Est civilisé que quelques jours auparavant. Ceci pouvait s’expliquer, elle voulait le croire. Ce n’était pas tant de la naïveté que de la logique. Les yeux bien trop longtemps avaient été à l’Est, sur la Montagne, et plus récemment sur les skaikru. Les déplacements barbares à l’Ouest ne gênaient pas tant que ça, tant qu’ils se tenaient loin des villes frontières.

Soit. Son avis n’était pas encore fait. Elle se devait de questionner, de s’assurer qu’acceuillir une ancienne barbare ne serait pas gênant pour son peuple, ne serait pas un danger. Elle devait écouter, ouvrir ses oreilles à ce que diraient ses conseillers, et ouvrir son esprit à ce qu’auraient fait les anciens commandeurs. Certains l’auraient tués sur le champs, elle ne le savait que trop. Mais cette femme était peut être la preuve que les barbares pouvaient changer. Pas tous. Mais dans chaque peuple n’y’avait il pas une exception ? Galath n’était elle pas aussi terrible que ceux qui mangeaient la chair… ?

« Tu as quitté ton peuple depuis bien longtemps maintenant. » Ses sourcils se froncèrent, et Lexa se leva, pour faire face à la femme de toute sa stature. « Mais le moment est mal choisi. Mal venu. » Et ça ne pouvait être plus vrai.

Cependant, ce que proposait la femme ne tombait pas dans une oreille sourde et Lexa prenait en compte tout ce qu’elle disait. Elle prenait en compte aussi, cette dernière replique qui lui fit arquer un sourcil presque drôlement amusé. « Crois tu que nous soyons un peuple de paix ? » Et peut être qu’ils l’étaient maintenant ou qu’ils tendaient à l’être. Mais la guerre serait toujours une part de leur culture. Et l’intransigeance l’était également. « As tu tuée des nôtres ? » Il lui fallait une réponse. Ensuite. Elle prendrait peut être sa décision.

rencontre avec heda

Le moment était mal venu, mais y-aurait-il eut un moment bien venu pour que je vienne ? En vue du cratère que j'avais pu voir à Ton DC, j'imaginais que non. Il n'y aurait sans doute pas eut d'autres occasions. La chef de la coalition semble tiquer au fait que je trouvais son peuple paisible.

« - Sans vous offenser... Votre peuple est bien plus basée sur la paix que celui des barbares. J'imagine que vous n'avez pas réuni tous les clans uniquement dans le but de pouvoir déclencher une guerre. Je ne doute absolument pas de la valeurs guerrière de votre peuple. Je ne juge que sur ce que j'ai vu jusqu'ici. »

Je relève mon regard dans le siens :

« - Vous avez des règles, vous vous y tenez. La différence entre la paix et la guerre est là, Heda. Les barbares n'ont aucune règles et cela engendre des guerres inutiles. Je ne pense pas que vous mettriez votre peuple en danger simplement pour savoir qui est le plus fort entre vous et un chef de clan... »

Peut-être que je me trompais ? Je ne connaissais pas énormément de choses ici. Elle me demanda si j'avais tué l'un des leurs.

« - Deux natifs nomades et bannis de votre peuple il y a de cela, longtemps. »

Généralement, quand j'étais prise en chasse par des natifs, je fuyais pour trouver un lieu plus sûr. Bien que je ne me souvienne pas d'avoir tué de mes propres mains ces deux grounders, je préférais tout de même porter la responsabilité puisque j'avais donné l'indication à deux barbares avides de nourritures.

(c) LADY PANDORA

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Les trigeda n’étaient pas basés sur la paix. C’étiat un peuple de guerre où le sang appelait le sang. C’était un peuple où la loi du plus fort était souvent la meilleure, et où par chance, pour une fois, Lexa était la plus forte de tous. La plus illuminée peut être, dotée de cet esprit du commandeur dont elle ne se départirait qu’a sa mort. Mais malgré tout, La barbare avait de la chance, que Lexa soit le commandeur oui. Elle avait de la chance, que Lexa soit ouverte au monde et toujours prête à l’ecoute. Alors elle l’écoutait oui, et elle ne manqua pas de la reprendre.

« Je suis le commandeur, parce que j’ai été choisi en tant que telle. Cela ne veut pas dire que d’autres ne tentent pas de prendre le pouvoir. » Il y’eut quelques instants de silence. « Tu ne sais pas grand chose finalement de ce peuple que tu desire rejoindre. » Et si elle fronça les yeux quand celle ci avoua avoir tué des siens, elle garda quelques instants le silence, cherchant du regard Titus, Kandar, et puis remarquant la colère dans les yeux de Neith.

« Les tiens ont fait du mal à mon peuple, et ils continuent d’en faire. » Elle avait une pensée pour tous les morts que les barbares avaient fait. Et elle reprit, avec sa voix forte et sa mâchoire serrée. « Pour prouver ta nouvelle loyauté tu partira avec un groupe de soldats et de soigneurs, vers l’Ouest. Pour aider le clan des prairies contre les attaques de tes anciens frères. » C’était dit. Et la fierté dans le regard de certains des gens en présence lui prouva qu’elle avait fait le bon choix.

rencontre avec heda

Il était vrai que je ne connaissais pas énormément les Grounders, je ne connaissais pas leurs langues à part quelques mots machouillés et encore moins leurs cultures. Mais pour moi, le simple fait que ce peuple ne tuait pas des gens pour les manger chaque jour faisait d'eux un peuple de paix à mes yeux. Je me contentais de baisser les yeux sentant le regard d'une chef de clan me foudroyer du regard.

Puis le verdict tomba. Je n'étais pas mise à mort, je n'étais pas bannie. C'était le plus important pour moi. Je devrais rejoindre un groupe de renfort pour me rendre dans le clan de la prairie et aider. J'étais soulagée et déterminée à prouver ma loyauté. Je pose ma main contre mon coeur.

« - Merci Heda. Je ferais de mon mieux pour vous prouver ma loyauté à vous et à votre peuple. »

Je m'étais attendue réellement à mourir aujourd'hui mais le commandeur m'avais fait le cadeau de pouvoir me racheter. Je me relève puis m'incline respectueusement devant Heda et les chefs de clans puis tourne les talons afin de sortir. L'audience était terminée.

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C’était décidé pour Lexa, elle avait trouvé quoi faire faire à Visenya pour que celle ci prouve sa loyauté, et c’était une bonne solution, elle en était sure. Visenya partirait avec un groupe de soigneurs vers l’Ouest. Pas dans l’immediat non, il y’avait encore plusieurs choses à régler bien sur, et Lexa savait qu’il faudrait qu’elle ne parle a ses conseillers, plus tard. Peut être quand ils tiendraient le grand conseil sur les barbares, peut être après. Elle verrait bien. Toujours était il, qu’elle avait eu la solution à ce problème, et qu’elle en était satisfaite. Elle hocha la tête.

« Bien. Nous ne tiendrons au courant du moment où tu partiras. Tu es libre de circuler dans Polis en attendant. »

Oh, elle aurait des gardes qui la surveilleraient de loin peut être. Mais sur l’heure, elle avait d’autres soucis à régler Lexa. Des vrais Barbares. Ceux qui dévoraient ses frères des prairies.

Avec Lassitude elle fit signe à Titus de faire venir la personne suivante qui désirait elle aussi une audience. Une des parties les moins agréables de son rôle de commandeur peut être.

FIN

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