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 Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you

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Eliza Taylor
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Clarke Griffin
Clarke Griffin
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MessageSujet: Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you    Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you  Icon_minitimeLun 11 Déc - 19:28




     
CLARKE GRIFFIN

       
Clarke Griffin
La Fille du Ciel
18 ans
Conseillère, apprentie soigneuse
Skaikru, the 100
Coalition
Eliza Taylor-Cotter
Descriptions
Ah Clarke, tu as bien changé depuis que tu es arrivée sur terre, tu n’arrêtes pas de le faire. Ce n’est pas que ton physique, ses muscles qui se sont affirmés, ces cicatrices qui se sont succédées. Tes cheveux blonds qui sont un peu plus longs, un peu plus sales aussi. Tes mains marquées par la fatigue, les racines que tu prépares, le sang que tu enlèves des plaies, de cette odeur qu’elles ont toujours, de ces plantes médicinales et de la nervosité qui t’habite. Tes yeux bleus, faits de la foudre et de l’océan, courroucés comme ceux-ci, qui suivent le monde, tes interlocuteurs. Ton front plissés, tes sourcils arqués, tes lèvres abimées. Ta figure droite, ton nez que tu pinces, cet épaule gauche que tu masses. Ton pistolet dans son holster, le couteau dans ta botte, ta veste préférée sur ton dos.

C’est ton caractère, surtout, qui a évolué. Tu étais une figure forte, déjà, quand tu étais sur l’Arche et que tu te faisais mettre en isolement pour presque une année. Mais tu n’étais qu’une adolescence avec des inquiétudes d’enfants. Tu as été leader, tu es devenue femme et a découvert le goût du sacrifice. Le sacrifice des autres, le sacrifice de toi. Le don, tu apprends tout juste à l’apprécier, parce que tu fais très peu de concession et tu agaces la majeure partie de ton entourage. Tu es têtue, tu sais ce que tu veux, et surtout, tu sais ce que tu attends des autres. Intransigeante, tu es une stratège hors-pair, comme l’a prouvé les quelques plans de bataille que tu as aidé à concevoir. Tu as été soigneuse, tu l’es toujours à tes heures. Tu as tourné le dos aux enseignements de ta mère, pour suivre ceux des guérisseurs à Polis. Tu lies les deux, maintenant.

C’est ce que tu es, avant tout. Un lien entre le skaikru et le trigedakru. C’est une position qui te ravit, et qui te rend victime d’un profond courroux. Tu veux toujours tout faire à la place des autres, parce que tu ne les juges pas toujours aptes. Tu apprends, tu essaies de faire de ton mieux, de ne plus pleurer les morts, les amis tombés. Tu te ravis de chaque jour que tu passes sur cette Terre et parfois tu t’émerveilles encore, pour le peu de part d’innocence qu’il te reste. Aujourd’hui tu es conseillère de Heda, et tu défends ta position d’une main de fer. Surtout, tu défends Lexa, à ta manière. C’est ton devoir, plus encore. C’est ta vie, à présent.  

       
Equipement
Clarke possède un Glock qu’elle a récupéré des stocks du Mont Weather, ainsi que deux chargeurs supplémentaires qu’elle garde avec elle, la majeure partie de son temps. Un bon couteau est caché dans sa botte, un autre dans le creux de ses reins, reposant sur son holster. Elle possède également un magnifique cheval tacheté (bien qu’en surpoids) du nom d’Archéon. Une alliance aussi.


       Raconte nous une histoire
Il y a toujours eu ce bruit, dans tes oreilles. Le ronronnement des moteurs, du souffle du système de ventilation, du froid de l’espace, que tu ressentais, à travers les coques de l’Arche. Tu as toujours été intelligente et tu as toujours su, que tu l’étais. Pourtant, tu n’en as pas pris la grosse-tête, parce que tous ceux sur l’Arche, l’étaient, à leur manière. Tu respectais chaque individu, pour ce qu’ils étaient, pour le potentiel, qu’ils avaient, et que tu les considérais vitaux, pour la pérennité de la station, qui était votre maison. Même si, au final, tu n’avais que très peu d’amis, et que tu faisais partie de cette classe privilégiée, des hommes, qui connaissaient leurs responsabilités. Le fait que ta mère fasse partie du Conseil t’a toujours écarté des autres. Tu ne sais pas pourquoi. Ou peut-être, n’étais-tu simplement pas intéressée, par les autres. Tu supportais bien la solitude et tu adorais te perdre dans la lecture, dans le dessin, dans l’étude. Ta mère était si fière de toi, des heures que tu passais avec elle, dans l’aile médicale, à apprendre de son savoir. Ça a sûrement été ses meilleurs moments mère-fille, et c’est surement là, que son caractère a déteint sur toi. Même si tu te refuserais à toute comparaison.

Parce que ça a toujours été tendu, entre ta mère et toi. Tu avais toujours besoin de lui prouver, tu ne savais pas quoi, que tu étais comme elle, éventuellement. Mais t’y arrivais pas, alors tu avais cette jalousie qui gonflait dans tes veines et tu piquais une crise, avant même que l’adolescence ne décide de faire chavirer tes hormones. Alors, il y avait ton père, ton père que tu aimais tant, qui était là, pour te remettre à ta place « écoute ta mère. » disait-il, de ce sourire mutin qui pendait sur le bord de ses lèvres, alors qu’il passait une main dans tes cheveux. Freud aurait sûrement beaucoup à dire sur ton cas, mais tu n’aimais pas la psychologie, donc tu ne connaissais pas ses théories. Pour toi, ton père était l’homme parfait, qui t’apprit l’art et la patience. L’intempérance, aussi, quand elle était nécessaire. Tu aurais tout fait pour lui.

Jusqu’au jour où tu le perdis, qu’il embrassa la mort de l’espace, qui arrache le corps et la présence. Tu as pleuré de rage, et tu as juré de venger sa condamnation – raison pour laquelle, éventuellement, tu t’es retrouvé en cellule d’isolement. Parce que tu en savais de trop, et que le Chancelier, en plus de ta mère, n’appréciait pas, que tu corrompes l’équilibre de l’Arche, pour un simple désir de vengeance - ou de justice. Mais pour toi, cet équilibré s’écroulait déjà, car, sans ton père, que restait-il de viable, dans l’espace ? Et puis, quel était l’intérêt, puisque vous finiriez tous asphyxier, dans quelques mois. Tu acceptas donc l’idée que tu allais mourir, avec les personnes que tu avais aimé, avec les personnes, qui t’avaient trahi, et finalement, pour la première fois de ta vie, tu supportais mal cette solitude, qui t’aurais rendu folle.

Quelques mois plus tard, tu crus l’être devenue, quand tu fus embarquée dans une navette. C’était pas parce que tu avais eu le temps de philosopher sur ta propre existence que tu étais prête à quitter le nid. Mais voilà, tu fus propulsée, à la force de quelques G, jusque la planète, qui avait vu naitre ton espèce. Rien n’était plus pareil, car il n’y avait plus d’Arche, plus de retour en arrière. Qu’une rencontre fracassante avec l’extérieur. Cet extérieur que personne ne maitrisait. Alors oui, tu désirais suivre ta propres route, car tu te savais intelligente, et qu’à présent que les parois rassurantes de l’Arche étaient absentes, tu doutais des capacités de tes congénères, qui ne manquèrent pas de libérer la sauvagerie d’une nouvelle vie offerte.

La terre te réserva de nouvelles révélations, de nouvelles trahisons, des coups encore plus durs, plus fracassant que ce que tu avais cru possible. Et a chaque fois que tu étais à deux doigts de tomber, de rencontrer le sol, pour ne plus jamais te relever, tu te reprenais, Clarke, et tu t’élevais, plus haut que précédemment. Tu ne sais pas à partir de quand les Cent ont commencé à avoir confiance en toi, à vouloir croire en toi, à vouloir te suivre, mais bientôt, tu sentis le poids de leur présence dans ton dos, qui te forçait à avancer. Tenir tête à Bellamy fut aisé, parce que, à cette époque, tu ne le considérais même pas. Mais sur cette terre, il y avait besoin d’alliance, et de confiance. Finalement, tu en acceptas quelques-uns, autour de toi, au fur et à mesure, que tu prenais plus de vies que tu n’avais jamais vu de morts.

Tu t’épanouis sur cette terre, comme une fleur qui avait attendu des années, l’engrais fertile du sol, et la chaleur du soleil, haut dans le ciel. Ton cœur s’endurcit, alors que tu devins plus sensible, encore, à ce qui t’entourait. Tu vécus ton premier véritable amour dans les bras de Finn et pour un moment, tu te crus heureuse. Et le ciel envoya un autre colis de fer, retenant une vie, celle de Raven. Et la Terre cracha ses habitants belliqueux. Tu tentas la paix, car c’était la solution qui faisait sens, car c’était ce en quoi tu croyais, à l’époque, et que, surement, tu avais peur de la guerre. Anya, elle, ne la craignait pas, et tu sentis ton humanité se morcelée, quand, dans un anneau de feu, tu fis vivre l’enfer à des centaines de grounders.

Il n’y eu aucun répit et tu tombas dans les entrailles de la terre, d’un Mont Weathers, que tu pensais mort. Et tu te sentis comme une Eurydice en guerre, a tenté de fuir ce bunker, que tu ne connaissais pas, et surtout, ces gens que tu ne connaissais pas. Ta confiance était difficile à gagner, et tu refusais de croire que Bellamy et Finn étaient morts. Tu refusais de croire que ton monde était mort. Alors, tu fis tout pour t’en sortir, courir sous la peau du Mont Weathers, pour finalement découvrir son macabre secret. Tu n’aimais pas les grounders, mais au moins, les considérais-tu comme des hommes – aussi effrayants pouvaient-ils être à tes yeux – et non comme des poches de sang. Lexa dirait que ton altruisme était une faiblesse, et Anya le pensait surement – aurait été un autre motif, pour tenter de te faire la peau, de tirer ta tête blonde en arrière, jusqu’à faire un scalpe de ton crâne. Mais tu ne pouvais détourner ton regard de ceux qui souffraient.

Alors, tu pris la fuite avec le chef de guerre et fuit dans la forêt, dans une course poursuite qui te détruisit, de l’intérieur, où, quelque part, tu te perdis entre les bois, pour trouver une nouvelle force, sentir cet instinct de survie jaillir du plus profond de ton être, pour te reconstruire, à chaque pas où tu te sentais faiblir. Vous arrivèrent au Camp Jaha et Anya tomba. Tu avais cette impression, comme le goût de la boue, dans le fond de ta gorge, que tu n’arriverais jamais à reprendre ton souffle. Peut-être que tu souffrais d’un manque d’oxygène, d’un manque de paix. Mais quand tu repris tes esprits, après t’être faite tirer dessus – merci bien – tu savais ce que tu avais à faire.

Les retrouvailles avec ta mère furent à peine chaleureuses et tu fus déterminée à sauver ton peuple, ces Cent, qui n’étaient plus tout à fait cent, qui comptaient sur toi, qui, quelque part, dans les entrailles de la terre, verraient leur sort se perdre dans les expériences scientifiques des occupants du Mont Weathers. Tu perdis Finn, avant qu’il ne meurt, et tu te perdis, quand il tomba, lui aussi, qui continue de te hanter, dans tes rêves les plus profonds. Tu aurais voulu qu’il soit seul, mais parfois, tu sentais le souffle de Lexa, dans tes songes, en entendant sa voix, qui envenimait tes pensées, te donnait une ligne de conduite, que tu ne voulais pas suivre. Mais il y avait une présence rassurante, chez le commandant – tu troquas celle de Bellamy, pour elle, lui qui était envoyé dans l’antre de la bête. Parfois, quand tu étais occupée à l’écouter parler en Trigedasleng, tu oublias la présence de ce mort, dans ta conscience. Car Lexa n’était pas là pour te juger, comme tous le faisaient, si fort. Elle n’était pas là pour te guider, même si elle le faisait, dans ses moments de générosité. Lexa était simplement là, et tu étais heureuse, que ce soit elle, le commandant, au lieu d’un autre.

Elle ne le resta pas à tes yeux. Elle est Lexa, des visites dans sa tente à tout heure, pour défendre les tiens, ton opinion, se battre contre sa stupidité, se battre contre ses lèvres et insécurités qu’elle ne montre à toi. Elle est plus qu’une lumière qui grandit à tes côtés et quand le monde semble se dresser contre toi, elle est le mur qui t’empêche de reculer. Soutien, contre tous. Tu n’as besoin de rien plus. Seule, déjà, tu te suffisais, avec elle, tu te surpasses. Après le Missile et ces cadavres qui te poursuivent, les plans s’enchainent et finalement, tu te fais ravoir par la montagne. Tu en profites pour aider l’assaut de l’intérieur, petit saboteur. Vous prenez le pouvoir, en plus d’une balle dans l’épaule. Tu vois Cage être abattu et tu crois à la paix.

Elle ne dure pas longtemps, car il te faut poursuivre le traitement des Faucheurs, assurer que ceux du Mont Weather soient saufs et bien traités, que les autres clans ne lorgnent pas sur ceux de ton clan. Il y a des tensions qui se créent, toujours ces animosités à travailler. D’une alliance, tu sais que certains veulent passer à une union différente, rejoindre le trigedakru à part entière. Et tu sais, surtout, que certains ne s’y plaisent pas. Alors, tu essaies de changer les opinions, une rencontre à la fois, te heurtant souvent à ta mère, toujours. Car elle ne supporte par la distance que tu instilles entre vous, encore moins alors que tu pars pour Polis, là où tu vis maintenant. Là où tu planifieras les plans de bataille contre les barbares, là où tu observeras discrètement les opérations contre le Shiedgadakru.

Tu prends du recul, Clarke. Les guerres t’ont fatigué, usé de l’intérieur. Tu n’es plus leader, tu ne te prétends plus comme tel et plus personne ne fait appel à toi pour ça. Tu es soigneur, tu apprends avec ceux de la capitale. Et surtout, tu as ta place en tant que conseillère de Heda. Tu as dû lutter pour obtenir cette légitimité dans le regard des autres. Mains maintenant, peu osent encore te défier (et s’ils osent, ta réputation te précède). Tu es une allié précieuse, sincère, et loyale. Tu l’as prouvé à maintes reprises, quand tu étais parmi les soigneurs lors de la bataille de Kalawen ; alors que tu faisais partie de ces groupes de sauveurs dans les grottes, pour sauver les tiens.





       
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MessageSujet: Re: Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you    Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you  Icon_minitimeLun 11 Déc - 19:32

Rebienvenue a toi mon jus Razz
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MessageSujet: Re: Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you    Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you  Icon_minitimeLun 11 Déc - 19:46

Tu es validé(e)


Rebienvenue femme ange


Ce que tu dois faire avant de commencer à rp avec nous.


→ Assez amusant peut être : les fiches de liens ainsi que les demandes de RP.

→ Et enfin : les achats et les les top sites.

codé pour red sands
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MessageSujet: Re: Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you    Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you  Icon_minitime

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Clarke ▬ saying "no" doesn't mean i will listen to you
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