|  Sujet: Sometimes silence is our best friend - Myssa / Delais 8 Aout  Ven 29 Juil - 19:24 | |
| Myssa Life is not easy, but it's my life.  Je m'appelle Myssa ; mais on m'appelle parfois surnom . J'ai 17 ans et je fais partie du peuple Skjeran. Dans mon groupe d'ailleurs je suis utile, en effet je suis esclave au palais royal, fraîchement affectée au service de John Murphy. Oh sinon je ressemble à Sophie Turner | Si un jour on me supprime je laisse le droit au staff de garder ce que j'ai fais pour la postérité [rayez cette information si vous ne le voulez pas]
DESCRIPTIONS Physique : Myssa est une jeune fille plutôt grande, d’aussi loin qu’elle se souvienne, elle a toujours dépassé les autres filles. Elle qui est discrète et préfère rester dans l’ombre trouve sa taille légèrement encombrante. La jeune femme n’est pas très grosse, elle fait plutôt partie des poids plumes. Elle a des jambes interminables, certes mais elle n’est pas très musclée. Bien que Myssa soit jeune, ses mains sont déjà usées à cause de toutes les tâches qu’on lui demande d’effectuer en tant qu’esclave. La jeune femme se cache souvent en rentrant la tête dans ses épaules et laissant ses cheveux cacher son doux visage alors qu’en réalité elle a un très joli port de tête. Ses cheveux sont roux et plutôt longs, à vrai dire il est rare qu’elle se les fasse couper. Le visage de Myssa à une forme ovale et ses traits sont fins. Ses yeux bleu clairs offre un joli contraste avec le roux de ses cheveux.
Mental : Craintive, elle a peur de tout et de rien, mais surtout de faire mal une chose. Esclave, oui, mais fidèle à ses maîtres, en même temps, elle n'a pas le choix. Myssa est loyale aussi. Pessimiste, pour elle, sa vie est tracée et ne changera jamais ou ne pourra qu'empirer. Rêveuse, elle s'imagine souvent ailleurs, libre de faire ce qu'elle souhaite. Calme, Myssa est celle que l'on remarque le moins par son comportement, mais plus par sa beauté. Obéissante, elle exécutera toujours un ordre, peu importe de qui celui-ci vient. Curieuse, elle aime laisser traîner ses oreilles un peu partout, et découvrir de nouvelles choses. Maladroite, elle n'est pas la dernière à laisser échapper une choppe ou un plat. |  |
ABOUT YOU Je ne sais pas de quel peuple je viens réellement. Mes parents ont toujours refusé de parler du passé. Alors pour moi, dans mon cœur et dans ma tête, j’appartiens au peuple Skjeran. J’ai toujours grandis dans la soumission. J’étais une enfant très curieuse, je voulais aller partout, toucher à tout. Découvrir le monde dans lequel je vivais en quelque sorte. Mais j’ai vite appris, et à mes dépens, qu’il y avait bien des choses que je n’avais pas le droit de faire.
Tout ce que mes parents ont daigné me raconter lorsque, petite, je les harcelais de questions sur nos origines et notre passé fut ceci : le village où ils vivaient était en guerre contre les Skjeran, malheureusement les guerriers n’étaient ni assez forts ni assez rusés pour lutter contre l’armée ennemi ; le village a alors été décimé, il ne restait plus rien, les maisons étaient détruites et tous leurs proches étaient morts ; les survivant étaient au nombre de neuf, nous trois compris ; tout le monde fut emmené à la capitale Skjeran, Skjer, pour être vendu comme esclave. Mon père, ma mère et moi avons été acheté par une famille de pêcheurs.
Nous sommes restées dans cette famille durant de plusieurs années. Pour ma part, je les ai servis pendant quatorze ans, mais mes parents sont probablement encore là-bas. Evidemment, lorsque je ne savais ni parler, ni marcher, je n’avais rien à faire. Ma mère m’attachait à l’aide de grande bande de tissus qu’elle enroulait autour de moi et d’elle avant de faire un nœud solide. De cette manière j’étais avec elle toutes la journée, elle pouvait me calmer lorsque je pleurais et hurlais trop fort tout en continuant à cuisiner, nettoyer, ou faire tout ce qu’on lui demandait de faire. Puis vint le moment où j’eu l’âge de marcher correctement toute seule et de comprendre ce que les autres me disaient. La famille de pêcheurs ne m’assignait pas encore de tâches particulières, mais je continuais de suivre ma mère et de l’aider. Je voulais bien faire, mais j’étais très maladroite et ce n’était pas rare que je fasse tomber une assiette ou que je renverse quelque chose ; dans ces cas-là je me faisais réprimander fortement, cependant j’étais comme beaucoup d’enfants, ce qui rentrait par une oreille ressortait par l’autre. De plus, il n’y avait pas que cela, j’étais une vraie pipelette. Je parlais tout le temps, de tout et de rien, à tout le monde. La famille que nous servions avait un garçon à peu près dix ans plus vieux que moi et une fille à peine plus vieille que moi. J’essayais souvent de devenir son amie. A chaque fois que ses parents me voyaient me rapprocher d’elle, ils me prenaient à part pour me punir et me bâillonner pour que je ne puisse plus parler.
Quand j’atteins l’âge de six ans, il fut décidé que mes maîtres seraient désormais les enfants de la famille. J’avais beau être une petite fille, je voyais ma vie se dégrader de jour en jour et je rêvais souvent de liberté, d’un ailleurs où je pourrais faire ce qu’il me plairait. Je suppliais mes parents de nous enfuir, si nous partions en pleine nuit nous aurions surement une chance de nous en sortir, du moins c’est ce que je croyais dans ma petite tête d’enfant. Mais ils n’étaient pas du même avis. Mon père répétait qu’il n’était pas digne de s’enfuir ainsi comme des voleurs, que nous recouvrirons notre liberté en temps voulu tandis que ma mère m’expliqua qu’il fallait que j’arrête de servir les enfants avec mon air dédaigneux, elle disait qu’il fallait que je me comporte comme une grande et que je me plie à tout ce qu’ils me demandaient sans prononcer un seul mot.
Puis vint Le jour. Ce jour que je voudrais oublier. Ce jour qui ne sortira jamais de ma mémoire. J’avais presque sept ans ; Ulrich, le garçon de la famille devait en avoir dix-huit. Il allait devenir un guerrier Skjeran, contrairement à ses parents pêcheurs, et quitter la maison. Ce qui me soulageait un peu car je ne l’aimais pas vraiment, je préférais sa sœur, elle était un peu moins dure. J’entrais dans la chambre du futur guerrier après avoir frappé à la porte.
- Il y a quelque chose que je voulais faire faire avant de partir, me dit-il, viens par ici.
Il était assis sur son lit. Je m’approchais et me postais devant lui, comme il me l’avait demandé. De sa main, Ulrich plaça une mèche de cheveux, qui tombait devant mon visage, derrière mon oreille, avant de la laisser glisser sur ma joue et mon cou. Ce n’était pas normal. Je le sentais. Il ne devait pas faire passer ainsi son pouce sur mes lèvres. C’était malsain. Je n’avais que sept ans, il en avait dix de plus. Je n’étais qu’une enfant, c’était un guerrier. Je n’étais qu’une esclave et il était celui à qui je devais obéir.
- Déshabille-toi, m’ordonna-t-il.
Je restais pétrifiée. D’après ma mère, je devais faire tout ce qu’il voulait que je fasse sans répondre. Mais était-ce également le cas à ce moment ? Ma respiration devenait lourde et haletante. Je ne pouvais pas faire ce qu’il me demandait.
- Jolie petite Myssa, n’es-tu pas mon esclave ? Questionna-t-il avec une voix qui me glaça le sang.
J’avais de plus en plus de mal à respirer. J’avalais difficilement ma salive. J’étais morte de peur. Je ne savais pas quoi faire pour sortir de là, ni vers qui me tourner. Si jamais je désobéissais une nouvelle fois, mes parents m’avaient bien fait comprendre qu’en plus de l’humiliation que me ferait subir la famille, eux aussi me punirait. Je n’étais qu’une petite fille, je voulais éviter toutes les punitions et les conflits. Je sentis la main d’Ulrich se poser sur ma cuisse et empoignais ma robe. J’eu un mouvement de recul et je lui criais « Non ! ». Je fixais la porte toujours ouverte de la chambre. Je savais que ce qu’il était en train de faire était puni ; si je courais assez vite peut-être que je pourrais sortir d’ici et le dénoncer. Mais il claqua la porte d’un coup de pied.
- Que crois-tu que vaut la parole d’une gamine maladroite, esclave de surcroît, contre celle d’un guerrier d’une famille respectable ? Murmura-t-il en attrapant mon visage dans ses mains, comme s’il pouvait lire dans mes pensées.
Il avait raison, je ne pouvais rien faire. Je le laissai alors enlever mes vêtements. Je savais que ce garçon était mauvais et méchant, mais je ne le pensais pas capable de ça. Je baissais la tête et des larmes silencieuse coulèrent sur mes joues. Je me retrouvais nue devant lui.
- Tu ne parleras de jamais de ce qui va se passer, ou je te détruirais. Il joignit le geste à la parole en posant son index sur mes lèvres. Ce sera notre secret.
Ulrich parcourut mon petit corps frêle avec ses grosses mains sales. Il m’empoigna par les hanches et me posa sur son lit. Il écrasa ses lèvres poisseuses dans mon cou. Il fit de même sur mes épaules et continua indéfiniment, descendant chaque fois un petit peu plus bas. Mes larmes tombaient de part et d’autre de mes joues, trempant les draps. Ulrich commença à se déshabiller, un horrible sourire collé au lèvres. C’en était trop pour moi, je ne pouvais pas en supporter d’avantage. Je ne voulais pas savoir ce qui allait se passer ensuite. Je me promis que plus personne ne me toucherait. C’est à ce moment que mon esprit se déconnecta de la réalité. Je n’étais plus Myssa, la petite fille allongée sur un lit crasseux ; j’étais Myssa, une enfant libre comme l’air…
Lorsque je me réveillais, j’étais allongée sur le sol de la pièce que nous partagions mes parents et moi, et j’étais habillée. Mon père m’attrapa et me secoua visiblement énervé. Il me disputait parce que je m’étais soi-disant endormie pendant mon service et que par conséquence, toute la famille avait été humiliée. Si seulement il savait la vérité…. J’ouvris la bouche pour me défendre, pour la lui dire. Mais aucun mot n’en sorti. Rien. Pas même un son, ni un bruit.
Les années passèrent, je continuais à servir la même famille, Ulrich était parti. Et je restais muette. De toute façon que pouvais-je dire ? Chaque fois que, par le passé, j’avais parlé, cela m’était retombé dessus. Finalement ce mutisme était pour le mieux.
L’année de mes quatorze ans, on vint m’avertir que j’allais changer de maître. Le roi des Skjeran m’avait achetée et je devais quittais ma famille pour aller servir au palais. Partir et laisser mes parents ne m’affecta pas plus que cela, il faut croire que nous n’avions jamais créé de véritable relation. Ma vie était également rude au palais et j’avais encore plus peur de mal faire que lorsque que j’étais chez les pêcheurs car je servais la royauté. Cependant après la guerre contre les gens de la montagne, le roi Reagar n’est pas réapparu, il est mort au combat. C’est donc sa femme, la Reine Torvi, qui pris la tête du clan. Je l’avais déjà aperçue quelques fois mais je ne la connaissais pas, je ne savais pas ce qu’elle allait faire de moi. Finalement, elle m’a récemment affectée au service de John Murphy, un homme du ciel qui doit presque le même âge que moi, en me donnant pour ordre de me plier à toutes ses volontés.
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Avez-vous peur des armes à feu ? De la technologie en général ? Myssa n’a pas réellement vu de près tout ce qui touche à la technologie et aux armes à feu. Elle a sûrement dû apercevoir brièvement à quoi cela ressemblait dans le palais, lorsqu’elle était au service du roi Raegar. Elle est curieuse de savoir à quoi serve toutes ces choses mais n’en reste pas moins effrayée par celles-ci.
Avez-vous de la famille ? Oui mais elle à ses deux parents, esclave dans une famille de pêcheurs, mais elle ne les a pas vu depuis trois ans.
Quel est votre rôle dans le clan ? La jeune fille est esclave depuis qu’elle est née, elle a récemment été mise au service de John Murphy.
Respectez-vous le commandeur ? Evidemment, même si elle ne l'a jamais vue ! Bien que Myssa pense que sa vie n’est pas géniale, elle a un profond respect pour la hiérarchie et pour toute les personnes qui ont un meilleur niveau social qu’elle, c’est-à-dire à peu près tout le monde.
Que pensez-vous de l'entrée des skaikru dans la coalition ? Que pensez-vous des sky people d'ailleurs ? Elle n’en pense pas grand-chose. Elle est surtout curieuse, elle se demande qui sont ces gens et s’ils ont réellement pu vivre dans le ciel.
Quel a été votre rôle dans la bataille de la montagne ? Et celui de votre clan ? Myssa n’a pas eu de rôle particulier.
Que faites-vous maintenant ? Etes-vous retourné dans votre clan ? A Polis ? Ailleurs ? Désormais, elle suit John Murphy puisqu’elle a pour consigne de se plier à toutes ses volontés.
 | WHAT ELSE ? Moi c'est Chloé, j'ai 18 ans et j'ai découvert Red Sands grâce au partenariat avec Fearwood ^^ Niveau rp, je peux passer presque tous les jours pour faire coucou, mais pour les réponses ça dépend principalement de l'avancement dans mes réponses de mes autres rps en cours et des cours (même si pour le moment ce sont les vacances  ) Je voulais vous dire que votre forum est vraiment super beau *-* et que je suis contente de pouvoir en faire en partie  Ah et j'ai entendu dire que Bellamy aime faire des tartes aux pommes  |
Dernière édition par Myssa le Ven 5 Aoû - 11:00, édité 5 fois |
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| | Sujet: Re: Sometimes silence is our best friend - Myssa / Delais 8 Aout Jeu 4 Aoû - 12:52 | |
| Merci Beaucoup Curtis ^_^
Normalement, je finis ma fiche ce soir, mais au cas où, est-ce que je pourrais avoir un petit délai supplémentaire (ce week-end je pense que ce sera bon) ?? |
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Mon avatar c'est :
Devon Bostick
Bravoure :
4335
 Jasper Jordan 100 | | Sujet: Re: Sometimes silence is our best friend - Myssa / Delais 8 Aout Ven 5 Aoû - 18:06 | |
| FICHE DE
VALIDATION Bienvenue sur Red Sands  | C'est parfait o/ Je te valide jolie Skjeran ! Amuses toi bien ! |
Maintenant quelques liens utiles → Premièrement, en tant que bon membre validé, tu dois aller recenser ton avatar juste ici ainsi que la fonction que tu occupe dans ton clan par là . C'est OBLIGATOIRE! Sans quoi vous pourriez perdre votre avatar ~ → Ensuite, plus amusant peut être les fiches de liens ainsi que les demandes de RP ; demandes diverses. → Et enfin, pour vous comme pour nous, les achats et les les top sites |
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