Wick (III) ~ Jealous

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Raven & Wick

Kyle n’avait jamais été du genre charmeur. Bien sûr, son humour lui apportait ce côté qui plaisait souvent à la gent féminine, mais il n’avait pas cette intention derrière la tête. Il était comme ça avec tout le monde, que ce soit une jolie fille ou un vieillard. Il ne s’amusait pas à draguer, à poursuivre les femmes. Pas parce qu’elles ne l’intéressaient pas, mais parce qu’il ne se plaisait pas à jouer un jeu, un rôle. Il savait être lui-même, il savait être honnête et pour lui, c’était suffisant. Avec Raven, ça n’avait pas été différent. Il ne s’était pas voilé la face, il ne s’était pas caché derrière des actions pré faites. Il s’était seulement contenté d’être là pour elle, d’être l’épaule qui pourrait la soutenir quand elle en aurait besoin, sans pour autant la ménager. Il savait être franc quand la situation le demandait, évitant de réconforter les gens dans leurs mauvaises pensées. C’était peut-être ça, finalement, son atout principal. C’était peut-être ça qui avait attiré Raven au départ. Parce qu’il était capable de lui dire quand ça n’allait plus. Peut-être aussi que c’était simplement parce qu’il était là et qu’elle en avait besoin. Il avait parfois l’impression que pour Raven, c’était le besoin qui se transformait en amour. Que s’il restait là, que s’il était patient, peut-être qu’elle finirait par ressentir les mêmes choses que lui. Ce n’est peut-être pas ce qu’il aurait voulu, au fond. Ce n’est peut-être pas la façon dont il aurait voulu être aimé. Les paroles de Raven exprimaient toujours de l’incertitude, du doute. Il devait trouver des raisons de la convaincre qu’il en valait la peine, qu’il était bien celui dont elle avait besoin. Bien sûr, c’était dit en blague, mais c’était tout de même fondé sur quelque chose de vrai. Ce n’était peut-être pas ce dont il avait besoin réellement, mais il ne pouvait plus s’en réchapper. Il aimait Raven et il ne pourrait pas la quitter. Il le réalisa encore plus lorsqu’elle reprit la parole, confirmant ce qu’il lui avait dit plus tôt. Si elle le rejetait, il resterait là. Elle le prit en riant, et Kyle tenta de chasser l’expression sérieuse qui était apparue sur son visage. Ça ne servait à rien de s’attarder sur ça, pas maintenant. « Voilà, tu as tout compris! » Un sourire éclaira son visage. Il ne pouvait pas lui montrer ce qui se passait à l’intérieur de sa tête. Il ne pouvait pas lui demander ce qu’elle n’était pas encore prête à faire.

Lorsqu’il lui dit qu’elle devrait attendre afin de découvrir la suite des choses, elle lui demanda s’il y avait une possibilité de remboursement. C’était une blague bien évidente, bien marquée par son rire qui suivit, mais encore une fois, ça montrait cette peur de s’engager, ce doute. Il aurait voulu lui expliquer comment il se sentait, comment ça pouvait le travailler. Parce qu’il l’aimait tellement et qu’elle n’était pas certaine de ses sentiments. Mais il ne pouvait pas. Parce que ça allait la faire fuir davantage, parce qu’elle se sentirait prisonnière, étouffée. Il voulait lui laisser du temps et de l’espace, mais ça commençait à le ronger. Pourtant, encore une fois, il n’avait pas vraiment le choix. Il savait que la douleur serait pire s’il venait à la quitter, ce qu’il ne considérait même pas comme une option. Il devait attendre, voilà tout. Il lui demanda ce qu’elle avait à lui apporter, même s’il n’avait pas besoin de se faire convaincre davantage. Raven lui dit qu’elle ne savait pas, qu’elle était un fardeau plus qu’autre chose. Ce n’était pas le discours d’une personne qui veut se faire complimenter. Elle ne cherchait pas les éloges, il sentait qu’elle était sincère. À ce moment-là, il comprit à quel point elle se sous-estimait. À quel point elle pouvait se rabaisser, sans voir tout ce que lui voyait en elle.  Il n’arrivait pas à comprendre comment elle pouvait avoir une vision aussi tordue d’elle-même. Sans y réfléchir davantage, il prit la parole, ignorant les conséquences de ses mots. « Je sais pas qui tu es en train de décrire là, mais c’est pas toi Raven. T’as tellement de choses à offrir, tu t’en rends même pas compte! Tu es la personne la plus forte et la plus déterminée que j’ai rencontrée jusqu’à maintenant… Les choses que tu as traversées… Et tu es encore là, devant moi, à rire, à sourire! La majorité des gens ne seraient même plus capables d’avancer après avoir vécu ce que tu as vécu. Oui, tu boîtes, mais tu ne laisses pas ta jambe t’arrêter. Sinon, tu serais assise dans ta tente à te plaindre de ton sort. Peu importe ce qui t’arrive Raven, peu importe ce que la vie te fais subir, tu encaisses et tu continues d’avancer. Tu as une intelligence que beaucoup admirent. C’est majoritairement grâce à toi qu’aujourd’hui, il n’y a pas plus de morts. C’est grâce à toi si l’Arche a pu communiquer avec la Terre et savoir qu’elle était viable. Sans toi, je serais mort sur cette Arche. Tu as cette fougue, cette impulsivité qui déteint sur les gens autour de toi, qui les encourage, qui les fait avancer. Les doutes, la jalousie, ça fait partit de la vie! C’est pas ça qui te définit, qui fait qui tu es. J’aimerais que tu puisses te voir à travers moi, parce que tu verrais à quel point tu es quelqu’un d’exceptionnel. » Kyle reprit son souffle et baissa les yeux. Il ne savait pas comment Raven allait réagir à cette déclaration. Il avait fait attention de ne pas s’emporter, de ne pas pousser, et voilà qu’il lui déballait tout ça, d’un coup. Ce n’était peut-être pas la meilleure chose à faire, mais il ne le regrettait pas.

Jealous

Wick & Gamora

Ce qu'il te dit quand il te décrit te laisse bouche bée. Tu es là, à le regarder, t'as les yeux qui deviennent humides, t'en perds tes mots. Mais dans le fond, tu ne sais toujours pas quoi lui dire. T'as pas envie de fauter, t'as pas envie de briser cette image qu'il a de toi et pourtant, tu ne parviens pas à te convaincre que c'est vraiment toi qu'il décrit. T'as envie de pleurer, tu sens les larmes qui menacent de couler. Mais bordel, tu ne sais même pas quoi lui dire, finalement, t'as peur de faire une erreur t'as peur de dire une bêtise, mais en même temps, tu sais aussi que tu n'as pas vraiment le choix. Il faut que tu fasses avec, d'une certaine manière. Tu détournes le regard, tu ne sais plus quoi dire, tu en perds tes mots. Il te décrit de la plus belle des façons, et toi, t'arrive même pas à lui dire que tu tiens à lui. Tu vois où se trouve le problème de toute cette histoire ? Tu n'y comprends rien et de toute façon, t'es même pas sûre d'avoir envie de comprendre, finalement. Tu ne parviens toujours pas à savoir ce que tu pourrais bien lui répondre. Tes lèvres sont comme scellées ou en tout cas, t'es incapable de sortir le moindre son. Tu ne sais pas où donner de la tête et tu paniques, alors qu'il n'y a pas la moindre raison à cela. Il faut que tu te reprennes mais c'est tellement long que tu ne sais pas quoi en dire. T'es gauche, t'as pas les mots qu'il faut. Mais t'as le garçon qu'il faut. Il t'a fallu du temps pour le comprendre mais aujourd'hui, serais-tu capable de le laisser filer ? T'es persuadée que non, c'est fini, tu n'as plus la force de la regarder partir, tu ne peux pas faire une chose pareille, t'en as même pas la force, finalement, et c'est sans doute tout ce qui compte.

Un soupir s'échappe de tes lèvres alors que tu essuies tes joues, oui, tes larmes se sont un peu mises à couler et tenter de le cacher ne fonctionnerait sans doute même pas. T'es pas vraiment certaine d'avoir envie de gâcher ce moment et pourtant, tes larmes le font un peu, malgré tout ce que tu pourrais bien en dire. Il faut que tu te reprennes, il faut que tu arrêtes de pleurer alors que ça ne sert à rien comme ça. Il serait plus facile pour toi d'arrêter de te prendre la tête parce que là, tu vas juste finir par craquer. Ce qui n'est pas la solution. Pas du tout. Tu t'embrouilles, mais il faut vraiment que tu te reprennes maintenant. Surtout que ça a son importance, finalement, ça compte, même si t'as un peu de mal à l'admettre, finalement. Tu te mets à rire, finalement, tant tu te sens ridicule mais malgré tout, touchée. Parce que c'est ça qui compte vraiment, finalement. Il t'a touchée et c'est ce qu'il avait tout simplement prévu de faire non ? Il t'a atteinte alors qu'il aurait pu dire n'importe quoi, alors qu'il aurait pu dire tout ce qu'il voulait. Il a fallu qu'il touche dans le mile, qu'il te fasse un monologue aussi mignon. Toi, tu sais même plus où te mettre mais tu peux bien l'avouer, t'es heureuse. Ca, tu ne pourras sans doute jamais le nier. Prétendre le contraire ? Non, tu n'en es pas capable.  « Tu pourras te vanter d'avoir réussi à me fermer le clapet ». Tu ne sais même pas pourquoi tu as dit ça mais voilà déjà que tu te mets à faire les cent pas. Tu ne sais pas quoi dire mais tu ne veux pas non plus qu'il s'imagine que tu comptes prendre la fuite. Parce que ce n'est pas le cas, tu ne comptes pas te barrer, tu as juste envie de lui dire quelque chose de bien, c'est juste que tu ne sais pas vraiment quoi lui dire. Tu reviens vers lui, t'as le regard un peu gauche, t'as pas envie de lui faire peur, mais tu ne peux pas t'en empêcher, finalement. Un sourire se dessine sur tes lèvres, tu le prends alors doucement dans tes bras.  « Je sais que ça ne sera pas facile, que je ferais des erreurs mais il faut que tu saches que… Tu comptes pour moi. Je n'ai pas encore la possibilité de le dire plus fort encore, me faut encore un peu de temps pour te parler de mes sentiments pour toi mais faut que tu saches que je tiens vraiment à toi. Je ne sais plus où donner de la tête parce que t'es dans toutes mes pensées Wick. Et autant le dire… Tu prends beaucoup de place dans ma tête ». Tu te mets alors à rire.

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Raven & Wick

Levant finalement les yeux, Kyle sentit son cœur s’accélérer lorsqu’il vit les larmes qui menaçaient de couler sur les joues de Raven. Il ne savait pas comment l’interpréter, il craignait de lui avoir fait plus de mal qu’autre chose. Il n’avait pas voulu lui forcer la main, il ne voulait pas l’obliger à affronter ses peurs alors qu’elle n’était pas prête. Pourtant, un sourire vint se dessiner sur son visage et un rire s’échappa de ses lèvres. Elle tenta d’essuyer ses larmes, laissant une trace mouillée sur ses joues. Kyle ne savait toujours pas s’il avait bien fait de lui parler comme il l’avait fait, mais le rire de Raven était contagieux et il sourit à son tour. Elle blagua, disant qu’il avait enfin réussi à lui fermer le clapet. « Kyle Wick, le seul homme sur Terre qui peut faire taire Raven Reyes! Je mériterais presque un prix Nobel… » Le prix Nobel était un signe de reconnaissance dans le monde scientifique qui était distribué aux plus grands noms. Il n’y avait pas de ça, sur l’Arche, il l’avait appris au cours de ses lectures concernant la vie sur Terre. Il aimait cette dynamique qu’il avait avec Raven. Cette complicité qui leur permettait de rire et d’être sérieux à la fois. À ce moment-là, il sut qu’ils seraient capables de traverser bien des épreuves. Ça allait être compliqué, dur, douloureux parfois, mais ils formaient un lien solide. Ça faisait au plus quelques semaines qu’ils s’étaient rapprochés, mais déjà, ça semblait plus fort que n’importe quoi d’autre. C’était difficile à expliquer. C’était quelque chose de ressenti, que les mots n’arrivaient pas à décrire. Raven le prit dans ses bras et il ne put empêcher son cœur d’accélérer. Il aimait son contact, la chaleur de ses mains, la douceur de son étreinte. Il aurait voulu ne jamais la lâcher. Les yeux plantés dans les siens, il essuya d’un revers de la main les restants de larmes qui badigeonnaient ses joues. Elle était belle.

Raven lui dit qu’elle tenait à lui, qu’il occupait une place importante dans sa tête. Même si ce n’était pas une déclaration d’amour à proprement dit, c’était ce dont il avait besoin. Parce qu’il avait eu des doutes, parce qu’il sentait qu’elle était trop incertaine. Maintenant il savait et maintenant il était prêt à attendre. Parce qu’il savait que c’était difficile pour elle, qu’elle avait encore du chemin à faire, que la mort de Finn était encore trop fraîche, trop douloureuse. Parce qu’il savait aussi qu’elle serait capable d’y faire face et qu’il serait là pour l’aider. Il ne demandait rien de plus qu’une simple confirmation, une simple phrase qui pourrait lui confirmer qu’il ne l’aimait pas en vain. Et finalement, il l’avait eu. « Finalement, je ne veux plus te faire taire… J’aime mieux entendre ce que tu as à dire… » C’était la première fois qu’elle lui disait vraiment ce qu’elle pensait, sans trop s’aventurer, mais sans se refermer comme une huitre. C’était rafraichissant. Parce qu’il commençait à gagner sa confiance et qu’il ne voulait pas la perdre. Il ne pourrait jamais la trahir, la tromper. Il ne bâtissait pas cette pyramide dans l’optique de la détruire ensuite. Il voulait créer des bases solides, afin de pouvoir monter haut. Il l’attira encore plus près de lui, posant ses mains sur ses hanches. Il se pencha pour l’embrasser, une fois de plus. L’idée qu’il puisse reproduire ce geste encore et encore commençait à prendre racine. C’était nouveau pour lui, ça représentait un nouveau monde à découvrir. Il ne l’avait jamais ressenti de cette manière, il ne l’avait jamais ressenti aussi fortement et il ne voulait pas que ça s’arrête. Leurs lèvres se séparèrent et, sans qu’il puisse contrôler quoi que ce soit, le ventre de Kyle se mit à gargouiller. Il esquissa un sourire, un peu gêné. « Avec tout ça, on aura manqué le déjeuner… »

Jealous

Wick & Gamora

Te faire taire en effet, ce n'est pas donné à tout le monde. Tu n'iras pas prétendre que t'es une nana qui parle beaucoup mais t'es têtue et tu adores tellement avoir le dernier mot que par conséquent, te couper le sifflet, c'est bien plus facile à dire qu'à faire. T'as pas vraiment envie de chercher à comprendre, de toute façon, il n'y a pas vraiment d'explication à toute cette histoire. Et bien sûr, plus on te dit de te taire, moins tu la fermes, en plus de ça. Mais là, pour le coup, tu en perds tes mots. On n'a jamais parlé de toi comme ça. Finn n'était pas ce genre de personne alors forcément, les mots doux, les gentillesses et tout ça, ça te touche, bien plus que tu ne voudrais l'admettre. On ne t'a jamais parlé comme ça ! Répondre à quelqu'un qui t'en fous plein la gueule, tu sais faire, tu maîtrises ça tellement bien que voilà.  « Mais vas-y, moque toi de moi ! ». Tu te mets à rire, toute cette histoire n'a pas de sens. Tu débarques pour comprendre, parce que t'es jalouse, tu lui fais une scène ridicule et tout ça pour quoi ? Pour qu'au final, tu sois là, cherchant des baisers. T'es faible, dès que cela le concerne, tu deviens quelqu'un d'autre. Quelqu'un que tu es bien incapable de comprendre, en plus. T'as beau chercher, y a aucune solution miracle, en fin de compte. Disons que t'as pas non plus envie de te prendre la tête avec tout ça.

A ton tour, t'essaie de lui dire ce que tu penses. C'est un peu plus délicat parce que tu n'oses pas lui dire que tu l'aimes, tu n'oses pas lui dire ce que tu éprouves, ce serait bien trop délicat. Ca te fait mal, ça te fait mal au cœur. Et le fait de bloquer de cette manière, ça ne risque pas de vraiment t'aider. Faut que tu te reprennes, que ce soit facile ou pas. Tu ne nies pas le fait que ça te demande beaucoup d'effort. C'est difficile en effet. Tu dois apprendre à te reprendre en main, apprendre à refaire les choses comme il faut mais t'as plutôt l'impression qu'il te faudra du temps. Apprendre, c'est délicat, tout remettre en place, ça l'est encore plus. Disons qu'il te faut du temps et qu'il n'y a rien de vraiment étonnant là dedans. T'as pas encore été capable de reprendre les choses en mains. T'y arrives pas, t'as beau cherché, tu finis toujours par craquer. T'as besoin d'un peu de temps pour assimiler tout ça. Ca n'a rien d'une réussite. C'est justement ce qu'il y a de bien compliqué. Tu as peur de ce qu'il se passe avec lui mais plus le temps passe, plus tu apprends à faire avec. Il te faut du temps, ou en tout cas, t'as envie de croire qu'en prenant un peu de temps, ça ira mieux. Tu peux te permettre de le croire parce qu'il n'y a rien de vraiment fou là dedans.  « N'en profite pas trop, tu sais bien que je ne suis pas très expressive sur tout ça ». Toi, tu gardes tes sentiments pour toi, ou en tout cas, au moins jusqu'à ce que tu aies besoin de souffler un coup ou de te détendre. T'as déjà bien assez parlé, en tout cas, qu'il ne compte pas sur toi pour parler plus longtemps, parce que ça ne va pas le faire, ça, tu peux au moins souffler. Et puis… Un peu de romantisme, ça ne va pas te faire de mal non ? Ou en tout cas, c'est ce dont tu essaies de te convaincre.  « Moi qui pensait que c'était toi qui me rendait toute chose, j'ai juste grave la dalle ! ». Tu romps ce moment, tu t'éloignes un peu et tu t'apprêtes à sortir pour voir ce que tu peux bien trouver à manger. Mais tu t'arrêtes à la porte pour finalement revenir vers lui et tendre ta mains.  « T'as cru que j'allais te chercher de la bouffe ? Allez viens avec moi ! ». Tu te mets à rire et tu enlaces tes doigts aux siens. Tu as peur du regard que les gens pourraient poser sur toi. Mais d'une certaine manière, tu n'as pas non plus envie de t'en soucier. Dans le fond, t'es heureuse, pourquoi voudrais-tu qu'on t'enlève ça… ?

RP TERMINE.
Prête pour la prochaine aventure ! (on en parle dès que tu viens sur skype!)