MARX ✻ Pas la bonne personne.

Sujet: MARX ✻ Pas la bonne personne. Ven 8 Avr - 20:56

Pas la bonne personne.
— with Marx

Je n'avais pas dormi de la nuit, n'ayant de cesses de me tourner et de me retourner. Les images des hommes de la montagne enlevant ma mère sous mes yeux me hantait. Quand pourrais-je un jour les oublier ? De bon matins, alors que le voile brumeux de la rosée n'était pas encore levée, je mis mes quelques pièces d'armures légères et souples par dessus mes vêtements. Puis je saisie ma cape noire que j'enfilais sur mes épaules. J'essuyais les quelques larmes qui étaient coulées le long de mes joues puis me dirigeais vers les écuries. Meneloth secoua la tête de haut en bas à ma vue. Sa robe noire avait quelques reflets gris ici et là. Je saisis ma lance et mon petit bouclier que j'enroulais dans un linge. Si mon frère ou Slade me voyait partir armée, ils sauraient où me trouver. Hors, ce matin je ne souhaitais pas être trouvée. J'enfile le filet autour de la tête de la jument puis la sort de la stalle. Je passe les rênes au dessus de sa tête puis me hisse sur son dos après y avoir attaché une fourrure épaisse. Elle galopa instantanément. Un peu plus loin, dans une sorte de clairière, je m'entrainais souvent à planter des bâtons ornés d'un ruban de couleurs pour les arracher du sol au galop grâce à mon agilité et mon habileté à cheval. Une fois arrivée, je me descendais de Meneloth puis me retourna et m'accroupie pour défaire le linge. Des bruits de pas approchaient derrière moi. Si nous étions si apte à reconnaître les sons c'était bien grâce aux traditions Shiedgeda. Un long apprentissage pour passer le rite de la bête noire. De dos, ma cape cachait ma tenue, et en me baissant ainsi, j'avais sûrement l'air d'une herboriste. Je fermais les yeux, écoutant ces sons de pas dans l'herbe. Puis je lève mon regard vers Meneloth qui redresse les oreilles. Je me saisie alors de mon bouclier que j'enfile contre mon avant bras puis me retourne, me protégeant avec ce dernier d'un coup que j'allais recevoir. Le choc résonnant dans mon bouclier, je repoussais alors mon agresseur puis saisie ma lance à double tranchant en me relevant. J'étais d'humeur massacrante et ce n'était pas le moment de me prendre la tête.

— Lâche ! Seul les lâches attaquent par derrière !

Grognais-je.

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Il n'arrêtait pas de de plaindre, Hajji n'arrêtait pas de se plaindre de n'avoir rien à manger. Pourtant il était un barbare, il avait rencontré lui aussi le froid de la neige, les durs temps qui les avaient souvent couverts au village. Et pourtant son ami trouvait le moyen de se plaindre. Quitter le village n'avait pas été la meilleure idée qu'avait eu Marx ce n'était pas secret... Mais il n'avait pas eu d'autres choix depuis qu'il en avait tué la personne la plus influente. Le barbare secoua la tête en regardant le mince filet d'eau qui coulait à côté de lui. Pour sur ils ne manquaient pas d'eau tous les deux, mais la nourriture se faisait rare. Leurs talents de chasseurs qui étaient pourtant assez élevées n'avaient servis à rien jusqu'ici. Faisant soupirer Marx jusqu'au plus profond de son âme. Vraiment. Comment voulez-vous qu'il ne soupire pas alors qu'il allait possiblement mourir de faim. Hm, certes, il avait fait face à la terre seul à l'âge de sept ans, mais, à croire qu'il en avait perdu les habitudes. Attrapant son arbalète, qu'il lança sur son épaule, le brun lâcha un regard à son ami et cet échange silencieux suffit à leur convenir. Souriant légèrement, Marx sortit des bois qui lui servait de demeure dernièrement. Haussant un sourcil, il nota la présence d'une personne dans l'herbe. Agenouillée. Vu d'ici, on ne saurait dire si c'était intelligent d'attaquer. Notant la présence du cheval a ses côtés, le barbare hésita. Il aurait pu se contenter de prendre le cheval. Question ration, les deux hommes auraient de quoi faire pendant un certain moment... Mais la nuance se situait là. Le goût de la chair leur manquait. À l'un comme à l'autre. Il sourit une nouvelle fois doucement en attrapant son arme entre ses mains. Il désirait être discret. Et, simencieux il se rapprocha. Enfin, aussi simencieux qu'il pouvait. Planter un carreau de très prêt était le plus silencieux que l'on puisse faire. Et il ne désirait pas effrayer le cheval qui de tout manière était une ressource intéressante. Mais... Les choses n'étaient pas aussi facile que prévu. Son carreau s'écrasa contre le bouclier de joli coeur tandis que cette dernière le repoussait. Il fit quelques pas en arrière.

« Je n'ai jamais dis être loyal comme personne... »

C'est rouillé comme parlé. A vrai dire, Marx ne s'était pas attendu à devoir parler. Lâchant son arbalète, il fit main basse sur ses petites lames. Apparemment il allait devoir se battre...

(c) badwolf.

Pas la bonne personne.
— with Marx

Le coup que je reçu ne fut rien d'autre qu'une flèche. Mon regard était froid mais bel et bien meurtrier. Comment osait-il s'attaquer à une Shiedgedakru !? Je l'observe, l'homme jette son arbalète au sol pour sortir deux lames. « Je n'ai jamais dis être loyal comme personne... » La mâchoire serrée, il ne sait pas à qui il a à faire. J'étais devenue une lionne. Son accent. Je l'avais déjà entendu quelque part...

— Un barbare... Combien d'entre nous as-tu déjà tué ?

Grognais-je en entendant son accent. Depuis quand venaient-ils jusqu'ici ? A moins qu'il ne soit un solitaire. Heda avait bien laissé la vie à la fille louve venant de l'Ouest. Son peuple s'attaquait au clan des prairies qui ne disposaient pas énormément de soldats, voir trop peu. Pourquoi n'étaient-ils pas plus méfiants ? Heda comptait-elle envoyer des troupes dans le clan des prairies pour les aider ?

— Comment oses-tu t'en prendre au Shiedgedakru !?

Je fais tournoyer ma lance puis frappe de nombreuses fois sur ses lame avec force pour lui faire comprendre que je n'étais pas là pour plaisanter. Avançant à chaque coup de lance, restant vigilante à ses deux lames. Au pire, je mourrais non sans lui laisser de belles blessures, au mieux, je l'emmènerais au chef Sköll. Mon mieux serait de lui faire subir de nombreuses tortures avant de l'égorger lentement afin qu'il se noie dans son propre sang. Depuis quelques années, une haine dangereuse m'habitait. J'avais soif de vengeance, j'avais soif de sang. Jus drein jus daun.

[HJ: désolée, c'est court éè]

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Son regard est froid. Vraiment meurtrier. Et au lieu de lui faire peur disons que ça lui donne envie de le faire rire. Alors disons qu'elle a l'air plus violente que la petite demoiselle qui fouillait dans les plantes. Haussant un sourcil, le barbare jette un coup d'oeil à son arbalète jaugeant les idées et les plan de combat qui s'offrait à lui. Un combat corps à corps ou bien une attaque de loin. Allez savoir, les deux ça pouvait être drôle.

« Combien? Ça fait un bon moment que je ne compte plus... »

Hm, Marx lâche un petit sourire tandis qu'il change ses lames de main. Pour un barbare il n'a pas tué grand monde en effet. Mais disons qu'il avait un nombre de victimes assez intéressant. Ceci dit, il n'avait même pas fait partie des attaques de la prairie tiens. Hehehe... Logique ceci dit. Il avait tué un mec de son clan. Ce qui facilitait la fuite en fait. Et donc il n'avait pas été capable d'aller faire couler le sang dans la prairie.

« Je m'attaque à qui se trouve sur ma route. Et tu es sur ma route. »

Marx parait les coups de la native avec une dextérité qui était bien connue pour être la sienne. De simples et courtes lames arrivaient à le maintenir à flot contre des attaques de plus en plus violente. Le barbare sourit en la repoussant un peu plus loin, l'attaquant son son flanc gauche. Sa garde était sûrement moins bonne de ce côté là.

« Tu te bat bien pour une simple Grounder. »

Ok, très certainement... Marx aimait beaucoup provoqué ses adversaires. La question était, est-ce qu'elle répondrait.
(c) badwolf.

Spoiler:

Pas la bonne personne.
— with Marx

Il semblait être un petit con prétentieux en plus... Je n'allais pas lui donner cette satisfaction. J'essaie de calmer cette haine massacrante qui ne m'a pas quitté depuis cette nuit et que cet être répugnant se plaisait à alimenter.

— Spichen ! Tu n'as pas l'air d'avoir tué beaucoup de personnes avant que tu essaie de t'en prendre à moi.

Il essaie de frapper sur mon flanc gauche. Je reçois un coup à cet endroit puis lui assène un coup du revers de mon bouclier dans le visage. Il déclare qu'il s'attaque à tous ce qui est sur sa route et que je suis dans le passage.

— Dommage que tu te sois casser les dents sur mon bouclier. Ce n'est pas de chance, je ne vais pas bouger d'ici et tu n'iras pas plus loin crois-moi.

Je profite pour reculer et sentir une vive douleur dans les côtés. Une entaille profonde sûrement... Il me nargue en me déclarant que je me bat bien pour une "simple" Grounder. En regardant le sang de mes côtes couler doucement je grognerais presque avant de lui sauter dessus.

- Jus drein, jus daun.

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Marx leva de nouveau un sourcil en regardant la Native qui se trouvait en face de lui. Elle était réellement plus forte que ce qu'elle paraissait. Ce qui n'était pas pour plaindre en fait. Un peu de défi ne faisait pas de mal.

« Disons que ça dépend de ta définition de gens... Yu op en nou moun. »(Juste toi et pas d'autres)

Le brun s'essuit le sang qui coule de sa bouche. En effet, il a certainement perdu quelques dents dans le combats. Ou du moins les voilà fragilisées. Et a vrai dire ça le fait plus sourire que ça le met en colère. Un combat sans dégâts est ridicule.

« Parce que tu compte m'arrêter par la simple force de ton bouclier? Sans rire, tu vas avoir besoin de plus que me casser les dents pour me stopper. »

Marx se passe une main sur les lèvres. Elle est relativement coriace. Et le repas se ferait relativement attendre. Tandis qu'elle saute sur lui en criant une vérité qui allait bientôt être assurée, il la repousse comme il peut d'un coup de pied.

« Hm, Sha, Jus drein, jus daun. »

C'est à son tour d'attaquer.

(c) badwolf.

Pas la bonne personne.
— with Marx

Je fus surprise de l'entendre parler la langue Trigeda. Comment savait-il parler notre langue ? Il côtoyait des Natifs ou bien ?

— Em pleni ! Tu ne mérites pas de parler notre langue.

Je n'arrive plus à contenir ma rage, ai-je vraiment déjà réussie à le faire au final ? D'autant plus qu'il semble se moquer de moi avec son sourire ensanglanté. Alors qu'il me repousse d'un coup de pied dans le ventre, je tombe en arrière. J'essaie de parer ses coups avec mon bouclier. Il est fort, comme tous les hommes que j'ai affronté. J'ai l'impression qu'il a reçut la même éducation à la guerre que moi. Bloquée à terre, j'encaisse les coups sur le visage et tandis que j'ai bien l'impression qu'il compte en finir en pointant ses dagues vers ma gorge, je trouve la force de rouler légèrement sur le côté, la dague se plantant dans mon épaule ce qui me permet de lui donner un coup de tête. A l'aide de mon pied, je le fait basculer au dessus de moi et lance mon bouclier plus loin en récupérant la lance. Je m'empresse de me relever. Toujours sa dague enfoncée à travers mon armure. Je lui donne un coup de pied puis fait tournoyer ma lance en lui assenant des coups ici et là. Il finit par tomber au sol. Je suis essoufflée. Alors qu'il tente de se relever, je pointe la lame de ma lance contre sa gorge.

— Branwada seintaim en taim set yu daun.

"Même les fous savent quand ils ont perdus". Je retire sa dague de mon épaule non sans douleurs et crispation de la mâchoire puis la lance dans la paume de l'une de ses mains. Je me baisse vers son visage puis déclare d'une voix hargneuse :

- Si cela ne tenait qu'à moi, je te ferais endurer mille tourments...

Je l'assomme avec la poignée de ma lance. J'essais de faire abstraction de la douleur de mon corps puis traîne le corps du barbare avant de lui lier les poignets ensemble. Je me dépêche de récolter les armes sur le sol ainsi que le poignard planté dans sa main, je le fouille également puis met le tout dans un sac en cuir que j'attache sur le côté droit de Meneloth. Je l'entends se réveiller tout comme les douleurs de mes côtes, de mon épaule et de mon visage. J'attache une autre corde sur celle qui entoure ses poignets.

- Lèves-toi ! On va faire un petit voyage.

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Marx soupira doucement. La langue native lui manquait aussi. Mais bon, il en parlait trois. C'était pratique. Pour des échanges, pour le marché, pour les rencontres...

« — Et pourquoi je ne mériterai pas? Je suis autant natif que toi. »

Ils se battent réellement comme deux diables enragés. L'un pense gagné sur l'autre et la seconde d'après l'autre se retrouve en position de force. Enfin, pour le moment c'était lui qui gagnait. Marx avait un terrible avantage même si la jeune fille ici présente, cette très violente native était capable de faire des choses assez impressionnantes en matière de combat. Le barbare ne se laissait pas faire. Pour sûr. Il se battrait contre elle jusqu’à ce qu'il meure ou qu'elle le fasse en premier. Et à vrai dire il espérait plutôt qu'elle flanche d'ici peu. Ce n'était pas qu'il n'était pas endurant mais les pirouettes, cacahuètes avaient assez duré et la faim de Marx creusait bien plus qu'à l’ordinaire. Il devait en finir avec la native, avoir le dessus, la plantant à l'épaule, ça sonnait presque comme un carillon de la victoire pour lui. Et puis il y eu encore ce retournement de situation, où au sol, roulant pour se relever, Marx se retrouva prit au piège. Une lame sous le cou. Et il ne désirait pas s'empaler sur cette dernière. Jaugeant celle qui avait réussi à le mettre dans une position pareille, il cracha a ses pieds en la fusillant du regard.

« — Mais les fous n'ont pas d'autres solutions que de se soumettre... »

Mais pourtant il ne bouge pas. Peut-être barbare mais pas suicidaire. L'homme regarde l'autre se retirer la lame et lui envoyer. Il grogne de douleur mais préfère rester fier. Il a assez montrer sa douleur pour le moment.

« - Si cela ne tenait qu'a moi tu serais déjà morte à l'heure qu'il est... »

Et puis elle lui fout un coup à la tête. Ah, là c'est ce qui va relativement énerve notre barbare qui émerge quelques temps après.

« - - Tu as... Sincèrement oser m'attacher? »

Il hausse un sourcil en regardant ses liens avant de se lever et d'essayer de mordre la corde qui entoure ses poignets.
(c) badwolf.

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Sujet: Re: MARX ✻ Pas la bonne personne. Lun 2 Mai - 8:00

pas la bonne personne

Il n'avait pas faux dans le sens où il était aussi natif que moi. Cependant, il était de notoriété que les barbares avaient leurs propres langues. Alors que je plaçais des bouts de tissus sous mes vêtements là où j'avais été touché, je retrouve ma vigilance. « - Tu as... Sincèrement oser m'attacher? » Alors qu'il commence à mordre les liens, je dirige ma lance sous son menton pour lui relever le visage.

— Em pleni, où je t'arraches les dents une à une. Tu ne crois tout de même pas que je vais te laisser les mains libres ?

Je l'observe un instant. J'avais beaucoup de questions en tête... Durant le combat, j'avais constaté qu'il se déplaçais comme les Shiedgeda. Du moins, c'était l'impression qu'il m'avait donné... Il parlait Trigeda et je doutais qu'un membre de notre clan le lui ai appris.

— Où as-tu appris le Trigedasleng ? Que fais-tu sur les terres Shiedgeda ?

Je reste vigilante à ses gestes. Il est loin d'être un imbécile, je devais le lui accorder au moins cette qualité. Je savais très bien que si je relâchais ma vigilance, il en profiterait.

(c) antaryon

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Attacher comme une vulgaire bête de bétail. C'était ce qu'il avait l'impression d'être là. Un barbare pas capable de se défendre qui avait été prit à ses conneries. Alors il avait tenté comme un champion de mordre ses liens. Franchement, ça aurait pu marcher. Mais elle etait légèrement plus intelligente que ça. Et tandis qu'elle li mettait son arme sous la gorge il soupira en laissant tomber ses mains de nouveau.

« Non c'est bon tu m'en a déjà délogé quelques unes... Je vais garder le reste. Et j'avoue que malheureusement tu es plus intelligente que ce que je ne pensais. »

Le barbare regarda tout autour de lui avec un petit air blasé. Là, il n'était clairement pas fier de lui. Il s'était fait battre par une native qui était simplement entrain de cueillir des fleurs. Mais malheureusement il s'était rendu compte trop tard qu'elle était beaucoupplus forte que ça...

« J'ai appris la langue comme toi. En temps qu'enfant.. »

Sur ces dires, il la laisse méditer avec un petit sourire. Marx a beau être un barbare il reste plutôt fier d'être un Azgeda tout d'abord. Disons qu'il n'a pas choisi non plus.

« Et puis, ce que je fais dans ces terres ne te regarde pas. Un barbare a encore le droit de se promener je crois . »
(c) badwolf.

pas la bonne personne

Je restais complétement impassible à son "compliment". J'étais bien trop de mauvaise humeur pour répondre quoi que ce soit. Cela avait surtout été d'une grande stupidité de s'attaquer à une personne de dos. Lâche et stupide. « J'ai appris la langue comme toi. En temps qu'enfant.. » Je fronce les sourcils, les barbares étaient donc capable d'apprendre quelque chose ? Cependant cette histoire n'était pas claire.

— Qui te l'a enseigné ? Je doute que ton peuple soyez assez civilisés pour avoir une formation littéraire. Quand bien même ce serait le cas, le Trigedasleng n'est transmis que par son peuple. Tu parles trop bien ce langage pour ce que tu es.

« Et puis, ce que je fais dans ces terres ne te regarde pas. Un barbare a encore le droit de se promener je crois . » Mauvaise réponse. Je lui donne un coup de poing avec la poignée de la lance.

— Hashta kongeda, no ! Tu n'as aucun droits sur cette terre. Ta place est à l'Ouest ! Je te conseille vivement de me répondre où j'écourterais ton voyage en te tuant lentement selon nos coutumes.

Grognais-je.

(c) antaryon

La mauvaise personne

Boethia && Marx

C'était pas un compliment mais disons que ça aurait pu l'être. Quoi, elle était plus combative que à quoi il s'attendait. Mais, ce n'était pas comme ça que jouait Marx. Il était peut-être rusé mais faire un complimpent à l'ennemi dans le but de l'attendrir c'était peut-être trop lache pour lui. Autant se faire frapper. Disons que ça fonctionnait aussi bien.

« Et bien, je te prierai de ne pas insulter les barbares, ils sont surement moins stupides que tu ne le pense. Pour la langue c'est ma mère qui me l'a enseigné. c'était il y a longtemps si tu veux tout savoir. Heureuse? »

Elle lui décoche un nouveau coup à l'aide de son arme et une nouvelle fois Marx grogne. Il lui aurait bien sorti quelque chose du style "Pas la peine d'être si violente" mais lui l'était en permanence avec ses ennemis. Il préféra garder le silence donc.

« Oh, crois moi question coutume les tiennes ne me font certainement pas peur. Mais je vais te répondre vu que tu demandes si gentiment. J'ai quitté mon village. Je suis en fuite. »

Il lève les yeux au ciel.
(c) badwolf.

pas la bonne personne

Je le regarde avec agressivité non pas pour l'impressionner, mais parce que la personne qui me faisait face désirait se faire passer pour une bonne personne. Tout comme son peuple.

— Sha, après vos attaques à Kalawen, je vais applaudir ton peuple pour ses méthodes d'alimentation qui sont évidemment louables !

Ironie quand tu nous tiens. Je l'observe puis glisse ma lance derrière l'une de ses jambes pour lui provoquer une incision, et l'obliger à se mettre à genoux.

— A ta place, je frémirais de peur. Crois-moi j'ai énormément d'idées pour ce qui est de te faire du mal, mais peut-être devrais-je t'emmener jusqu'au clan Fayageda, il paraît que leurs méthodes de tortures sont les pires...

Sifflais-je, puis je l'oblige à se relever, je reste vigilante en montant sur Meneloth. J'avais envie de laisser son corps traîné derrière la jument au galop. Mais un barbare en vie pourrait apporter de nombreuses réponses. Je l'obligeais à marcher à ma gauche, tout en le pointant de ma lance.

— Et pourquoi es-tu donc en fuite ? Tu as essayé de dévorer la mauvaise personne ?

(c) antaryon

La mauvaise personne

Boethia && Marx

Bizarrement elle avait quelque chose d'imposant, presque terrifiant qui lui donna envie de ravaler sa mauvaise humeur et ses petites piques qu'il aimait particulièrement lancer.

« Ah écoutes, les attaques je n'en faisais pas parti mais bon, c'est compréhensible de vouloir bouffer non? On a juste un palmarès plus intéressant. »

Il rit doucement jusqu'à ce qu'elle vienne lui couper l'arrière de la jambe. Ce qui le fait grogner tandis qu'il se laisse tomber à genoux. Oh elle s'était décider à vouloir lui faire mal?

« Je n'ai pas peur de la mort. Et je n'ai pas peur des tortures non plus. Emmène moi où tu veux, fais ce que tu veux. Je m'en contrefous particulièrement. J'ai déjà vu un paquet de choses alors franchement je m'en contrefous. »

Marx se releva difficilement, gardant une grimace sur le regard tandis qu'il regarda le cheval. Tiens... Il y avait sûrement moyen de faire quelque chose avec l'animal non? Il tira sur ses liens en soupirant, reprenant la marche en boitillant doucement.

« On peut dire ça ouais. J'ai tué la mauvaise personne et ça a pas vraiment plu au village. »

« »
(c) badwolf.

Sujet: Re: MARX ✻ Pas la bonne personne.

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