HALLOWAY DYLAN
when i see ur eyes, i just want to kiss u all time. ~ Age du personnage: 18 ans depuis une semaine ﹅
Allégeance : elle aura beau faire la forte tête, dylan dévoue toute son allégeance à bellamy, en qui elle croit depuis le premier jour sur terre.﹅
Metier : sur l'arche, dylan était étudiante en physique avant d'être emmené dans une cellule. sur terre, elle aide particulièrement à l'aliment de certaines substances pour en faire des armes de guerre. ﹅
Camps: les 100 Descriptions Dylan, c’est la fille la plus secrète du monde. Depuis qu’elle a tuée son père et qu’elle a perdue sa mère, elle n’arrive plus à faire vraiment confiance aux autres. Elle a de longs cheveux bruns qui s’emmêlent rapidement, faisant quelques locks comme les natives. Sa bouche est fine et très souvent comblé d’un sourire quand on la fait rire. Elle ne s’habille pratiquement que de noir ou alors de couleur chaude. Ses jambes sont fines et habille, ce qui lui permet de savoir se battre parce qu’elle anticipe les mouvements à faire. Son corps est toujours très froid à cause de sa rétention d’eau. Derrière son oreille, elle a une cicatrice dont elle ne parle jamais.
On peut la voir comme quelqu’un de froid aux premiers abords, et elle a du mal à se confier aux autres, mais si elle donne sa confiance à quelqu’un, il ne vaut mieux pas la décevoir, parce que c’est très précieux. Elle a un caractère de cochon et n’écoute pratiquement que sa petite personne. Elle ne sait jamais quand il faut avoir du tact et pense parfois bien faire. Elle n’aime pas se faire manipuler, c’est pour cela qu’elle est dotée d’une grande répartie à toute épreuve. Elle a toujours été autodidacte et ne regrette pas de s’être forgée toute seule. Observatrice et patiente, elle sait quand les choses ne vont pas ou sont trop dispersées. Tuer un animal ou une personne ne la dérange pas à partir du moment où elle imagine qu'il s'agit une nouvelle fois de son père.
Parle moi de toi - once upon a time, a girl.
Une enfant. Je n’étais qu’une enfant à l’époque. Je me souviendrais toujours de l’espace. Ce lieu si sombre et si froid qu’à cause de ça, je ne me suis jamais sentie à ma place dans l’Arche. À chaque pas que je faisais, à chaque mot que je prononçais, j’étais effrayée. Faire une erreur était fatale. Tout le monde le savait. La crainte de se faire enfermer régnait depuis toujours. Quand j’apercevais le chancelier, je me souviens encore que mon cœur s’arrêtait de battre à allure lente jusqu’à la totale disparition de son ombre. Tout chez lui m’effrayait intérieurement. Mais j’étais dans un autre temps une enfant assez ouverte aux autres, assez heureuse de vivre. Je comprenais depuis très jeune des choses qui n’avaient pas lieu d’être et ma mère quant à elle avait toujours su que j’étais plus qu’une petite fille idiote. Elle voyait en moi un espoir indéniable. Elle voyait en moi cette vigueur mais aussi cet acharnement. Elle savait que j’allais réussir à m’en sortir, que j’allais réussir à ne plus jamais me laisser faire. Que j’allais laisser entendre ma voix, mon nom.
who make a mistake.
J’étudiais la physique quand j’ai décidé de ne plus être timide. Je mélangeais deux solutions extrêmement dangereuse quand j’ai compris que si je voulais je pouvais m’en servir pour arrêter tout ce qui tournait mal dans ma vie. Personne ne comprenait, parce que personne ne savait qu’en fait, chaque soir j’étais frappée sans interruptions jusqu’à ce que les bleus soient certains de sortir le lendemain. Il voulait que tout le monde le sache selon lui, mais il faisait en sorte que rien ne se voit. Me frappant dans le ventre ou dans le dos. Cognant mes bras ou encore mes jambes. Laissant comme seule répits mon visage qu’il détestait tant voir pleurer sous ses nombreux coups. Mon père était le monstre de mes nuits, et le pire dans tout ça, c’est que je n’étais pas sa seule victime. Ma mère aussi, faisait les frais de sa beauté. Il n’aimait pas la femme comme il voulait qu’on le croit. Il nous détestait. Il ne souhaitait qu’une chose, qu’on meurt. En rentrant dans mon compartiment ce soir-là, je savais ce que j’avais à faire. Je savais qu’il devait cesser ses traitements. Et pour ce faire, j’avais soigneusement volé un couteau aux gardiens pour lui trancher la gorge. Je cherchais tout simplement la confrontation, alors oui j’avais levé le ton, oui, j’avais cherché en quelque sorte à recevoir les coups qu’il avait commencé à me donner, mais ma mère s’en était mêlé parce qu’elle n’arrivait plus à tenir sous cette pression. Je la voyais le frapper de toute ses forces et j’essayais de me rendre compte à qu’elle point elle avait le plus grand courage du monde rien qu’en se moment. Il me lâchait et j’essayais de ne plus penser à la douleur qu’il avait transmis à mon cou. Je me tournais vers mon lit où j’avais caché le couteau auparavant pour entendre ce son distordu et bruyant derrière moi. Ma tête se tournait vers lui et mes yeux longeaient son corps pour se fixer sur ma mère, sans vie sur le sol. Les larmes coulaient d’elles-mêmes sur mon visage. J’avais ce couteau dans la main et j’aurais très bien pu l’enfoncer entre ses deux yeux. J’aurais très bien pu effectivement. Mais ça, c’était l’occasion à prendre avant que la garde ne frappe chez nous et qu’il leur ouvre la porte. C’était avant qu’il soit condamné à être envoyé dans l’espace. C’était avant que je sois arrêté pour vol. Je n’avais même pas pu prendre ma mère dans mes bras une dernière fois. Il m’avait volé cette chance et je lui souhaitais de mourir aussi salement que possible. C’est à partir de ce jour funeste, que j’étais dédiée à vivre en captivité. Dans une prison pour mineur ou j’attendrais ma majorité avec impatience. Dans une prison où la seule chose qui m’importait ne se résumait qu’à mourir rapidement. Enfin, tout ceci trottait dans ma tête avant d’être envoyé sur terre par le conseil. Quand je regardais derrière moi, je me demandais bien à quel point j’avais pu être ordinaire. Je ne voulais plus que ça se reproduise. Je n’en voulais à personne de mon sort, parce que je m’étais mise toute seule dans ce gouffre interminable. Je ne pouvais pas mettre la faute sur quelqu’un d’autre, c’était impossible.
for find her happy ending.
Les premiers rayons de soleil. La senteur du vent des bois me traversant dans mon intégralité. Je n’arrivais pas à y croire. Je souriais sans m’en rendre compte avec mes amis, ma nouvelle famille. Tout semblait aller en s’améliorant, tout. Je vivais comme jamais. Je me baladais chaque fois que possible, dans les bois pour me défouler. Mais depuis la première attaque de Jasper, j’évitais d’y aller seule. Je ne sortais qu’avec au minimum deux autres personnes. Et seulement quand ce n’était pas trop loin. Depuis notre arrivée, je n’avais pas cessé d’écouter Bellamy. Le seul qui d’après moi avait une vision ultime de ce qui se passait ici. Le seul qui avait cette voix de vainqueur que je recherchais. Je n’avais aucune crainte à le suivre dans ses décisions, ni même dans ses choix. La vie était telle qu’on devait tous faire confiance à quelqu’un, surtout depuis que nous avions remis un pied sur cette terre. Je ne savais pas comment, ni pourquoi, mais j’étais persuadé que rien n’irait aussi bien qu’on pouvait le croire. Et ce, à partir du moment où j’avais accepté qu’on m’enlève mon bracelet. J’étais morte pour ceux qui était encore sur l’Arche. J’étais morte et enterrée pour eux. Ma vie commençait à peine et personne ne viendrait pour moi dans le futur. Je fermais les yeux chaque nuit en me sentant plus seule que la veille. Plus abandonnée.
or maybe a new war.
On en a vu pas mal des choses depuis notre arrivée, que ce soit les attaques par surprise dans les bois pour nous défavoriser et nous donner du fil à retordre, à l’enlèvement qui suivit la bataille à la navette. Je me souviendrais toujours de ce moment, où, en ouvrant les yeux, Bellamy se trouvait en face de moi. Nous n’étions plus très nombreux et je ne voyais qu’une personne à ses côtés. Je me relevais en prenant sa main et on commençait notre association pour retrouver les autres. À partir de ce moment, je me répétais sans cesse que quoi qu’il arrive j’avais une tribu à sauver. On avait retrouvé les gens de l’Arche, mais ça ne me plaisait pas plus que ça. Je n’avais pas confiance en ces personnes, et même si Clarke était rentrée en vie et qu’elle paraissait plus apte à diriger que B. le clan, c’était faux. Il avait l’expérience qu’elle n’aurait pas avant des années. Mais sa mère dirigeant les adultes et ensemble elles faisaient ce qu’elles voulaient. Je voulais aller secourir les autres et je me doutais bien que ma voix ne voulait pas dire grand chose pour elles. Pourtant je me portais volontaire pour toute les tâches possibles. En voyant l’alliance qu’ils avaient passé avec les grounders, je me méfiais de nos dirigeants et je n’avais plus l’impressions qu’ils comprenaient les risques joués. Finn était mort et on allait tous vers une guerre sanguine. J’avais peur, mais je m’installais dans le système. Que le jeu commence, et que le sang coule pour le sang.
ARMES - CAPACITES - SIGNES PARTICULIERS ARMEMENTS, Dylan se balade particulièrement avec son couteau fétiche et elle s’en sert très bien. Elle lance les couteaux comme si sa vie en dépendait et elle n’a pas peur de tirer au fusil. Elle déteste les arcs c’est pour cela qu’elle s’en éloigne le plus possible. Elle s’améliore de jour en jour au tir.
CAPACITÉS, en plus de son maniement de couteau et des armes, elle arrive à allier les composants pour en faire des bombes ou encore de l’acide. Elle cour très vite à travers les bois et monte dans les arbres comme une native. Son intelligence fait en sorte qu’elle essai d’apprendre la langue des grounders pour comprendre chacune de leurs paroles.
SIGNES PARTICULIERS, elle a un signe de naissance dans le dos, faisant comme un tatouage. Ses yeux sont pressants et si vous voulez la trouver il suffit juste de chercher la demoiselle avec une plume dans les cheveux et qui se perche dans les arbres pour admirer la vue.
Et sinon moi c'est
daemon.cross ; j'ai
dix-neuf ans et j'ai connu le forum par
pub rpg design . C'que j'en penses c'est
qu'il a l'air tout simplement parfait, que j'ai hâte d'être validé et puis le code d'activation est le suivant
BELLAMY AIME FAIRE DES TARTES AUX POMMES. !