When the bear meet the lamb || Marek || 22 Novembre

When the bear meet the lamb

Cela fait maintenant des jours, des nuits, tu ne sais plus exactement, qu'on t'as libéré de la montagne. Des jours que tu essaie de redevenir toi-même, des nuits que tu ne dors pas tellement tu as peur que tout cela ne soit qu'un rêve. Des journées entières que tu passes à marcher, laissant tes pieds, nus, fouler chaque texture du sol. Des nuits interminables durant lesquelles tu dors à même le sol, n'ayant que le ciel et les étoiles au dessus de toi. Tu ne te lasses pas d'écouter le bruissement des feuilles, le crépitement des feux de camps, et le vacarme incessant dût à l'agitation de ce qu'ils appellent "L'avant garde". Tu as du mal à réaliser, encore aujourd'hui. Il y a encore peu longtemps, tu te trouvais à l'intérieur de cette montagne de la mort, enfermée tel un animal dans une minuscule cage avec l'incapacité de te mouvoir à ta guise. Jamais tu n'aurais eu l'espoir de t'en sortir vivante, pas avec tout le jus que ces cul blancs t'ont voler. Pendue par les pieds, saignée presque comme une animal. Tu ne sais même pas combien de fois tu t'es réveillée, dans cette cage, regrettant de ne pas être morte pour enfin être soulager de la souffrance psychique qu'à causé chez toi l'enferment. Ce n'a jamais été ta façon de vivre, l'enfermement de toute manière donc c'est ce qui a été le plus difficile à vivre là bas. Maintenant, c'est le retour à la vie normale qui est difficile...

Tu ignores l'heure qu'il est, s'il est le matin ou l'après-midi, tu as finis par t'endormir entre deux tentes silencieuses, loin de l'agitation du soir et des feux de camps pour ne te réveillée qu'il y a peu, le jour bien entamé, le monde vaquant à ses occupations. Comme la veille, tu te lève, te coiffe de ton chapeau et prends la direction d'un endroit bien particulier. Un endroit où tu sais qu'ils servent de l'alcool, et du bien fort comme tu aimes. Comme à ton habitude, sans doute un ancien réflexe de ta vie passée à Sérön, tu flâne un peu entre les tentes, lentement, laissant tes yeux, cachés par ton chapeau, se poser sur les différents endroits devant lesquels tu passes. Tu n'as plus d'armes. Tu ne les as plus depuis qu'on t'as attrapé pour te livrer aux culs blanc, tu sais te battre, mais depuis, tu te sens vulnérable. Et tu déteste ça!

Ça boue à l'intérieur de toi. Tu sens ces nombreux regards qui se posent sur toi, tu les entends parler, les autres. Oui tu as été dans la montagne, et oui tu en est sortie alors que d'autres non, mais t'aimerais leur hurler que tu souhaitais en sortir morte plutôt que vivante. Mais tu n'en fais rien, tu es encore trop faible, et bien amaigrit. Tu arrives presque à destination mais te retrouve stoppée. Oh non pas par quelqu'un, non, mais par ta tête, à cause de ce que tes yeux ont vus, on reconnus. Tes bébés comme tu te plait à les appeler. Tes deux sabres de bord avec lesquels tu t'es souvent battue. Ils sont là, accrochée à ta ceinture que porte un jeune gringalet (pas Marek hein). Tu te sens faire demi tour et lui attraper le bras fermement. "C'est à moi ça!" Que tu lui balance à la face en désignant tes armes. Le gamin se libère assez facilement, un peu trop même, et dégaine un des sabres, pendant que toi tu t'empresse de faire de même avec l'autre en étant plus rapide que lui. "Soit tu me rends ce qui m'appartient, soit je te saigne à blanc, trou duc!".

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Marek&Qetesh

Le voyage a été long et difficile. Voyager sur le dos de ce foutu poney lui a déglingué l’entrejambe et Marek est bien content d’avoir enfin pu poser le pied à l’avant-poste et d’avoir rejoint sa jolie chef de clan. Il n’a évidemment pas eu l’occasion de lui parler personnellement mais il l’a aperçue de loin et ça a refait sa journée. La nuit qu’il a passé n’était pas des meilleures mais cela reste toujours mieux que de dormir à la belle étoile dans les terres hostiles du drakgedakru. Depuis qu’il a quitté Sérön, il a du mal à dormir d’un sommeil réparateur, sans doute que le bruit de l’océan lui manque. Et ce n’est pas le bruit du vent dans les feuillages des arbres qui l’a aidé à bien se reposer cette nuit. Il n’était jamais venu aussi loin à l’est et il a hâte de pouvoir en voir un peu plus, mais il n’apprécie pas vraiment la végétation présente à l’avant-poste. Marek est un homme de la mer, lui n’aime réellement que le sable, le soleil, le vent, l’eau et l’océan à perte de vue. Les arbres, le vert, l’humidité et l’ombre ce n’est pas tellement son truc. Mais il a néanmoins choisi de venir dans l’est pour retrouver sa chef de clan, et il va tout faire pour apprécier ce petit voyage.

Alors aujourd’hui, il vadrouille au milieu des tentes de l’avant-poste. Il a raté le banquet qui a scellé la fin de la guerre et c’est bien dommage car il aurait aimé en profiter aussi. Une fête comme ça, avec de l’alcool et des femmes, c’est bête de l’avoir loupé. Mais il y aura sans doute d’autres batailles à venir et d’autres fêtes. En attendant cette bataille, Marek marche dans l’avant-poste en observant les gens qui s’y trouvent, grounders comme skaikrus. Il a laissé son épée sous la tente qu’on lui a cédé mais il a tout de même gardé sa hache à sa ceinture ainsi que son couteau dans sa botte, comme toujours. Non pas qu’il se sente en danger à l’avant-poste – surtout maintenant que les hommes de la montagne ont été vaincus – mais il ne se sépare que très rarement de ses armes. Du moins, son couteau ne sort jamais de sa botte.

Mais il ne semble pas être le seul à se promener dans le camp avec son arme à la ceinture et tandis qu’il s’approche d’un gamin qui porte deux sabres qui semblent presque trop grands pour lui, une femme l’attrape pour lui crier dessus. Si Marek esquisse un sourire en reconnaissant la jeune femme grâce au chapeau qu’elle porte, il fronce bien vite les sourcils en voyant le garçon dégainer son arme devant elle. Alors il s’avance vers eux. Non pas pour venir en aide à Qetesh qu’il connait de l’auberge, mais surtout pour éviter au garçon de finir éventré au milieu des bois. Parce qu’en plus, Qetesh semble être de mauvaise humeur. La main sur sa hache, il avise le garçon. « C’est un sabre Sikru que tu portes. Et tu n’es pas Sikru. » Ça se voit clairement. « Je te conseille de le lui rendre. C’est une bonne guerrière, tu risquerais d’y perdre quelques membres. » Après tout, Qetesh est membre d’équipage du requin et son maniement des armes est plutôt bon. Marek ne donne pas cher de la peau du gamin s’il essaye de se défendre avec l’arme de la jeune femme. Il observe sa réaction, sans toutefois quitter son arme de sa main.

When the bear meet the lamb

"Soit tu me rends ce qui m'appartient, soit je te saigne à blanc, trou duc!". Que tu lui dis à ce voleur. Bon, concrètement, il ne t'as pas volé tes armes, il les a certainement trouvé sur le lieu où tu as été kidnappée, ou bien il les as acheté à quelqu'un qui les a ramassé.Peu importe, tu t'en fiche. Ces sabres sont à toi, et à personne d'autre. Personne n'a le droit de les salir avec leur grosse mains dégueulasses. Ces sabres t'appartiennent, tu les as troqué alors que tu faisais encore tes classes, tu y tiens plus qu'à ta propre vie. Non pas que tu ne tienne pas à ta vie, mais c'est pour l'image. Bref, lent et certainement peu expérimenté au maniement de ces petits bijoux, il n'eût le temps de dégainer qu'un seul sabre cet abrutit. Donc instinctivement, tu en as profité pour te saisir de l'autre, et le mettre en garde avant qu'il ne le fasse le premier. -c'est pour dire à quel point il est lent-. Donc tu le menace, oui, tu assumes,tu es comme ça de toute façon, et tu prends conscience que la sensation de la paume de ton arme sur ta peau t'avait gravement manqué. Cependant, tu garde ton ennemi en garde, afin qu'il ne se sauve pas en courant (cela ne t'étonnerait même pas tellement il est maigrichon... un peu comme toi d'ailleurs, mais en version mâle).

"Te mêle pas de ça, toi. Dégage!" Ce n'était clairement pas le moment qu'on vienne, en plus, te faire chier ou prendre ton partit. Après tout, tu es une guerrière, une redoutable guerrière même, et il n'y a pas besoin qu'un ours poilu vienne l'affirmer. Tu peux très bien récupérer ce qui t'appartient avec dip... violence, s'il le faut. C'est d'ailleurs sans prêter plus que ça attention à l’intrus que tu menace une nouvelle fois. "Et toi, si dans cinq secondes tu ne m'as pas rendu ce qui est à moi, ta mère chialera sur ton corps éventré! Un... Deux..." Ce débile n'est pas du genre à se laisser intimidé et essaie de t'attaquer, mais t'es pas conne toi, t'es agile et surtout tu as de très bons réflexes, si bien que l'abrutis se retrouve la main tranchée avant même qu'il n'est été capable de toucher la lame que tu tiens. Dommage! Mais tu l'avais prévenu, et l'ours aussi l'avait prévenu. D'ailleurs il est où lui? Tu ramasses la main fraîchement amputée et cherche des yeux celui qui étais venu t'emmerder quelques minutes avant. Et tu le remarque, enfin, à quelques pas de toi, ayant la main sur sa hache et ouais, t'avais cru reconnaître sa voix, et tu ne t'étais pas trompée, c'est bien lui, en chaire et... en chaire. Merik. Celui avec qui il t'es arrivé de boire quelques verres à l'auberge d'Hathor. L'Ours comme tu aime le surnommer. Tu ne lui sourit pas, tu ne sourit plus depuis ta sortie de la montagne de toute façon, tu te contente et reporter ton attention sur le gamin à qui tu retire la ceinture. Quitte à récupérer tes armes, autant récupérer leur support par la même occasion.
"Quoi? Il était prévenu!" D'accord, on a déjà fait meilleur comme salutations, mais, merde, t'es pas d'humeur aujourd'hui!

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Marek&Qetesh

Il ne veut pas s’interposer entre les deux mais juste éviter que cela ne dégénère. Après tout, ils ne sont pas sur leurs terres et Qetesh semble un peu énervée, surtout lorsqu’elle lui répond de ne pas se mêler de tout ça. Marek fronce légèrement les sourcils mais ne bouge pas pour autant. Ce n’est pas la première fois que quelqu’un lui parle de cette manière – et surement pas la dernière d’ailleurs – mais il avait en mémoire une jeune femme un peu moins nerveuse. Oh, il ne l’a jamais touchée celle-ci mais il lui est déjà arrivé de partager quelques verres avec elle à l’auberge de Sérön, avec elle et d’autres guerriers du Requin. Mais s’il ne l’a pas vue depuis longtemps, elle a l’air bien différente de la dernière fois qu’il la vue dans les rues de la ville. Même dans sa façon de parler à ce garçon qui tient toujours son sabre et qui essaye même de l’attaquer. Il n’a pas froid aux yeux le gamin mais il n’est pas assez rapide par rapport à la jeune femme, qui met sa menace à exécution. Marek soupire et la regarde récupérer armes et ceinture, avant de jeter un œil au gamin qui part en courant, serrant son moignon contre lui. « Certes, mais tu aurais pu te contenter de le désarmer. » Marek la regarde puis retire la main de sa hache. Il ne pense pas risquer de membres face à Qetesh, même si celle-ci semble de mauvaise humeur. Mais il est vrai qu’elle aurait juste pu récupérer son arme sans avoir à faire couler le sang de cette façon. Ils ne sont pas sur leurs terres et un tel acte pourrait avoir quelques conséquences. Mais elle semble ne pas s’en faire pour ce genre de choses. « Comment as-tu fais pour te faire prendre tes armes ? » Par un gamin en plus, mais ça il ne le dit pas. Et surtout qu’est-ce qu’elle fait par ici, bien loin des terres du Sikru et du navire où elle est censée être. Neith a emmené une petite poignée de guerriers pour la bataille de la montagne mais il ne semble pas à Marek que la jeune femme faisait partie du groupe. A moins qu’il ne se trompe. « Te serais-tu laissée avoir par un peu d’alcool et un sourire charmeur ? » Il esquisse un sourire, même s’il sait qu’elle n’est sans doute pas du genre à se laisser avoir de cette façon.

When the bear meet the lamb

"Et il ne se serait pas laisser prendre les armes comme ça. Je n'avais pas envie d'entamer un combat avec ce mioche, il y aurait laissé la vie. Tu le sais aussi bien que moi. Et puis merde! J'ai pas de leçon à recevoir de toi, ours!"

Tu grognes de mécontentement en entendant la question que le sikru te pose. Tu n'as pas envie d'y répondre car tu as honte de ce qui s'est passé ce jour là. De t'être laisser avoir par ces espèces de.. monstre? Certes ils t'avaient surpris et assommée avant même que tu aie eu le temps de répliquer mais tu te sentais tout de même honteuse. Pourtant, tu sais que Marek a raison, tu aurais simplement pû le désarmer et lui expliquer les choses... Non! Non c'est pas ton genre, plus maintenant en tout cas. Puis merde, il lui en restait une de main. Suffisant pour se tripoter la nouille.

"C'est comme ça que tu me vois? Comme une de ces potiches qu'on arrive facilement à mettre dans son lit?" Tu craches au sol pour montrer que tu n'es pas comme toutes ces pétasses, que tu n'écarte pas les cuisses pour tout le monde. "Vous les mâles, vous êtes tous les même." finis-tu par cracher à son visage les yeux emplis de haine. T'aimerais bien lui faire passer son sourire mais tu te dis qu'il y a eu assez de dégâts pour aujourd'hui. Même si tu as simplement récupéré tes armes des mains d'un gamin incapable de se battre. C'était la règle du jeu après tout, non? Dans un combat il y a toujours un perdant, et c'est rarement toi qui perds. Et ça, le Marek, il le sait! Donc il te provoque ce bougre!

Tu finis par être enfin réarmée et tu te sens de suite mieux, plus en sécurité, plus... toi-même, entière. Marek lui semble être resté fidèle à lui même, du moins, de ce que tu le connais. C'est à dire, peu. Pourquoi pas faire plus ample connaissance du coup? Après tout, puisque tu es encore en vie, autant en profiter pour découvrir plus de choses, non?

"Offres moi un verre et peut-être que je te raconterai ce qu'il s'est passé." Finis-tu par lui dire en te dirigeant vers l'endroit qui servait de l'alcool. Certes, il y aurait peu de chance qu'ils y servent du bon alcool comme chez cette vieille Hathor mais tu ne ferait pas la difficile. Pas après ce que tu as vécue. D'ailleurs, peut-être même que, si tu es assez imbibée tu finiras par lui ouvrir tes cuisses à cet ours qu'est Marek.

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Marek&Qetesh

Marek la taquine un peu mais il sent bien qu’il ne devrait pas trop le faire. Elle a l’air bien moins avenante que les quelques fois où il l’a croisée à Sérön, plus énervée aussi. Et quand elle crache au sol, encore plus énervée, en lui demandant si c’est comme ça qu’il la voie, il lève les mains en signe de paix. « Non pas du tout. Sinon tu serais déjà entrée dans le mien. » Ça, c’est bien vrai. Mais si ça lui a déjà traversé l’esprit lorsqu’il l’a vue à la taverne, il n’a jamais tenté de le faire. Peut-être parce que comme lui, elle est une guerrière et qu’elle a l’air bien moins facile à attraper qu’une simple fille de la ville. « Ne nous met pas tous dans le même panier s’il te plait. » Certes, il aime beaucoup les femmes et ne s’en prive pas pour le montrer mais ce n’est pas pour autant que Marek est un bougre. Il aime les femmes mais avant tout, il les respecte. Et il ne les voit pas forcément comme un morceau de viande, comme semble le penser Qetesh. Pourtant, elle veut quand même aller boire avec lui, alors il lui emboite le pas pour se rendre à cet endroit où ils servent de l’alcool. Ça n’a rien d’une auberge, ça ne ressemble en rien à celle de Sérön, mais c’est suffisant pour l’endroit où ils se trouvent. Et tant qu’il y a de l’alcool, c’est suffisant pour Marek.

Alors il la laisse s’installer et part en quête de quelque chose à boire et de deux verres. Verres qu’il pose devant Qetesh avant de s’assoir lourdement. Il verse l’alcool puis la regarde avant de lui tendre son verre. « Alors, je t’écoute. Je te croyais à bord du Requin, qu’est-tu venue faire aussi au nord de nos terres ? » Ça c’est la première question qu’il se pose. Et peut-être qu’avec d’autres verres, il en aura d’autres à lui poser. Des questions plus personnelles.

When the bear meet the lamb

« Non pas du tout. Sinon tu serais déjà entrée dans le mien. » Tu claqua la langue de mécontentement. En plus, il ne voulait pas que tu le crois comme les autres hommes. Et pourtant, il parlait comme eux. "Ta phrase précédente montre que tu es à mettre dans le dit panier justement."

"La même chose que toi! J'ai répondus présente à l'appel d'Heda pour la guerre contre les skaikru qui a finalement changé pour devenir la guerre contre la montagne. Tu te souviens ou tu te branlais quand ça s'est passé!?" Tu pris une gorgée d'alcool dégueulasse -si si faut l'avouer- avant de reprendre "Bref, je me baladai dans la forêt quand des monstres m'ont attaqués." Oui, cela ressemblait à des monstres, mais ils avait quelque chose d'humains en même temps. Ils se déplaçaient sur leur deux jambes, étaient vêtus comme des guerriers mais leurs visages étaient déformés. Peut-être qu'il s'agissait en fait de mutés ayant été bannis, tu n'en savais rien, et à vrai dire tu t'en foutais un peu puisque le résultat était là. Ils avaient réussis à te surprendre et à t’assommer. "Te fais pas de fausses idées le poilu! J'ai été prise par surprise. Bref, quand je me suis réveillée..." Tu n'avais pas vraiment envie de te remémorer tout ce la montagne t'as fait subir mais tu savais que Neith t'interrogerait plus tard, donc autant t'entraîner à tenir le 'choc'. Tu finis ton verre cul-sec et raconta ta folle aventure au chevelu.
"Je me suis réveillée dans les mines. Les hommes de la montagne nous ont sélectionnés. Certains ont été conduit ailleurs, tandis que nous ont nous a passé sous l'eau, frotté jusqu'au sang avant de nous mettre en cage. Et ouais, Merik, j'ai fais un séjour dans la montagne, ça te vas comme réponse?" Pour digérer ce que tu viens de dévoiler tu te ressert un autre verre que tu t'enfile cul-sec encore une fois.

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