Caleb Andrews

— Quel était votre crime ?
Aucun en fait. Il était au mauvais endroit, au mauvais moment. Une fille avec qui il était plus ou moins ami et avec qui il étudiait la mécanique avait voler des médicaments et les glisser dans sa poche. Elle a réussit à faire accuser Caleb.

— Que faisiez-vous sur l'Arche ?
Il était apprenti mécanicien, et plutôt doué, quand il prenait la peine de se concentrer totalement sur ce qu'il faisait. Ses professeurs râlaient régulièrement, mais il se débrouillait bien, il ne mettait personne en danger.

— Vos parents vous manquent ils ?
Sa mère, oui elle lui manque. Son père par contre, déjà il est mort depuis plusieurs années, mais vu comment il était (un connard égocentrique qui n'éprouvait aucun remords d'avoir frapper sa femme et son fils, et d'avoir déclarer qu'il voulait « tuer ce mioche qui n'était certainement pas son fils », odieux n'est-ce pas ?), ça ne surprendra personne qu'il ne lui manque pas, non ?

— En voulez-vous au conseil ? Au chancelier ?
Pour l'emprisonnement injuste, un peu oui quand même. Personne ne l'a écouter quand il disait n'avoir rien fait. Il n'avait pas mit les pieds à l'infirmerie depuis quelques semaines quand le vol a eut lieu. Mais personne ne l'a cru.

— A quel moment avez-vous enlevé votre bracelet à votre arrivée sur terre ?
Assez rapidement. Pour lui ça ne servait à rien, de toute façon sa mère n'avait aucun moyen d'avoir un quelconque accès aux données envoyées par ce bracelet. Alors il n'a pas vraiment hésiter à le faire enlever.

— Que pensez-vous des grounders ?
Rien de mal. Il les aime bien. Enfin pour la plupart en tout cas. Surtout les Sikru en fait. De toute façon Caleb ne trouve pas que les grounders soient si différent des Skaikru. La plus grosse différence c'est qu'ils n'ont pas de technologie.

— Que pensez-vous de l'entrée des skaikru dans la coalition ?
Il trouve ça bien, c'est une bonne chose d'avoir des alliés. Après lui, il s'intéresse pas trop à tout l'aspect politique. Lui, tout ce qu'il voyait à l'époque c'était que la coalition était un moyen de ne pas être forcé d'aller à Camp Jaha.

— Avez-vous fait partie de la bataille dans/contre la montagne ?
Il était dans la montagne, il a faillit faire partie de ceux a qui ont a prit de la moelle osseuse de force. Mais la bataille a commencer juste avant que ceux de la montagne le fasse. Il a aider du mieux qu'il pouvait pendant la bataille.

— Étiez-vous à Kalawen ? Que faisiez-vous pendant la bataille contre les barbares ?
Il est aller à Kalawen, et il combattu les barbares aux côtés d'un groupe de Sikru. Dont la chef des Sikru, Neith. Qui après la bataille lui a proposer d'aller avec les Sikru, ce qu'il a accepter sans hésiter.

— Que pensez vous des membres de la station agro ?
Qu'ils ont souffert entre les mains de bourreaux. Il ne sait pas vraiment ce qui a déclencher ce qui s'est passé, et il ne cherche pas à le savoir. Tout ce qu'il voit ce sont des gens qui ont souffert et qui ont été torturé.

— Votre opinion des terriens a t'elle changée avec les nouveaux évènements ?
Non. Caleb se doutait bien qu'il devait y avoir des connards parmi les terriens, donc il ne juge pas tous les autres pour ce qu'une minorité a fait. Et il ne compte pas abandonner les Sikru.


Caleb a eut une enfance compliquée. Entre une mère un peu passive et en permanence à bout, et un père toujours mécontent à cause de « ses problèmes », toujours agité, peu concentré, désordonné, inattentif à l'école. Ça n'est que lorsqu'il a commencé a voir un psychologue qui a mit un nom sur les « problèmes » que ça s'est amélioré. Avec sa mère uniquement. Son père n'a jamais changé d'attitude.

Caleb avait dix ans quand son père a eut les gestes de trop. L'homme se disputait avec sa femme et l'enfant a prit la défense de sa mère. L'intervention fut très mal vue par son père qui le frappa. Impuissant, Caleb ne put que regarder son père frapper sa mère, l'enfant trouva le courage de courir hors de chez eux en appelant à l'aide.

L'affaire fut très rapidement réglée. Mère et fils avaient les traces des coups. Le père n'éprouvait aucun remord. Pire, il souhaitait même « tuer ce mioche qui n'était certainement pas son fils ».

La vie de Caleb et de sa mère changea après ça. D'une bonne façon. Le garçon déclara deux ans plus tard vouloir devenir garde. Néanmoins il n'avait aucune chance de le devenir, mais il trouva un « ami » en la personne du garde qui avait sauver sa mère. Ce dernier l'aida à canaliser son énergie avec des cours de combat à main nue.

La vie continua tranquillement et Caleb commença son apprentissage pour devenir mécanicien. Ça n'était pas son rêve, mais il se débrouillait bien. Malheureusement, tout ne se passe jamais comme prévu, et, une fille avec qui il était plus ou moins ami et qui était apprentie mécanicienne comme lui, elle avait voler des médicaments. Et elle trouva le moyen de cacher son butin dans la poche de Caleb, elle parvint à le faire accusé à sa place.

Emprisonné sans avoir réussit à se défendre, Caleb passa plus ou moins deux ans enfermé avant d'être sortit de là. On lui mit un bracelet, et on le mit dans la navette, avec d'autres adolescents. C'est ainsi qu'il se retrouva sur terre.

Là eh bien... il fit enlever son bracelet assez rapidement. Et s'adapta, il aida du mieux qu'il le pouvait, où il le pouvait. Il y eut les combats contre les terriens. Puis, l’enlèvement par ceux de la montagne. La bataille de la montagne, grâce à laquelle il échappa aux « docteurs » de la montagnes qui allaient prélever sa moelle osseuse.

Par la suite il partit à Polis avec d'autres membre des 100, il avait décidé de suivre le mouvement car il n'avait aucune envie de rejoindre Camp Jaha. Lors de la bataille de Kalawen, Caleb s'est battu contre les barbares aux côtés de Neith la chef des Sikru et de deux autres Sikru. A la suite de cette bataille Neith lui proposa de les accompagner et il accepta. Il accompagna les Sikru jusqu'à Polis quand les agissements de certains Shiedgeda furent découvert. Il fit partie de ceux qui s'engagèrent dans les grottes pour libéré les Skaikru capturé et torturé, et il s'y est battu, pas forcément brillamment mais suffisamment bien pour s'en sortir en un seul morceau.