Prénom : Anushka ; Nom : Imprononçable.

Pchenitchnikov Anushka

Shit happens.

Je m'appelle Anushka Pchenitchnikov ; mais on m'appelle parfois Anna, Vodka pour les intimes. C'est carrément plus simple. J'ai 18 ans et je fais partie des 100. Dans mon groupe d'ailleurs je suis plutôt utile, en effet je m'y connais très bien en boucherie, pêche, dépeçage, et pièges #C'estNormalEnRussie. Oh sinon je ressemble à Lauren Cohan | Si un jour on me supprime je laisse le droit au staff de garder ce que j'ai fais pour la postérité

DESCRIPTIONS

Tu ouvre méticuleusement le ventre de l'animal, et en sortir les entrailles, toujours avec cette précision, cette patience, cette sauvagerie, et cette franchise. Tu n'y prends aucun plaisir, clairement, mais tu t'applique. Juste avant, tu as fermé les yeux un instant, comme pour te recueillir, dieu sait ce que tu pensais à ce moment-là. Et puis, là, maintenant, tu lève la main à ton visage pour gratter ta joue, et tu y laisse une trace rouge sombre.
Tu ne cherche pas à plaire à qui que ce soit, je sais. T'es pas spécialement sale non plus, tu te lave pas moins que les autres et t'es pas une phobique du savon, mais, ce que je veux dire c'est que ... Ben, à force d'être toujours à manipuler de la viande comme tu le fais, à accrocher des écureuils ou des lapins morts à ta ceinture, ben, tu ... tu pue, quoi. Tu sens le fauve. Pas très glamour. Oui je sais, tu t'en fous.
Tu ramène une mèche de tes cheveux derrière l'oreille. Ils étaient brun clair, à la base, je suppose, ondulés, et peut-être même soyeux. Maintenant c'est juste des cheveux. En même temps on va pas leur demander d'être autre chose que "juste des cheveux". Enfin j'me comprends.
Relevant la tête, tes yeux vert pâle, contrastant de douceur avec cet être un peu sauvage que tu es, croisent mon regard. Y'aurait moyen que tu sois jolie, en vrai, si tu prenais soin de toi. Tes origines Russes - en plus de t'octroyer un nom que personne hormis toi n'arrive à prononcer correctement -, te donnent une sorte de charisme.
Ouais, du charisme. Tu as cette fierté dans le sang, et dans le regard. Une certaine droiture, aussi. D'ailleurs, quand on t'observe, au premier abord, tu as l'air carrément fière, farouche et froide. Et c'est pas vraiment faux. Mais quand on vient te parler un minimum, un sourire remplace vite ce masque. Même si parfois t'es assez impulsive, même si t'es plutôt solitaire, t'es un peu notre "mama russe" quoi, tu vois ? Pourtant, la plupart des gens te connaissent même pas. D'autres te "détestent", parce que tu "assassines" des animaux sans défenses, etc ... Et pourtant ces mêmes personnes ne se gênent absolument pas pour manger c'que tu leurs sers. Alors là, faudra m'expliquer. Un jour. Le pire, c'est que toi, ben ... t'apprécie tout le monde, globalement. Enfin on dirait que tu déteste personne. Oh, et quand je dis "mama russe", c'est même pas une façon de parler, ou un surnom stupide : t'es un peu comme une grand-mère. Grand-mère Vodka. *hmhm* Toujours en mode "Ouiiii tu es maigre comme un coucou mon enfant, il faut que tu mange quelque chose". Un peu trop, peut-être. Tu mets un point d'honneur à t'inquiéter pour tout le monde, faibles comme forts. Alors que nous, dès qu'on fait mine de s'inquiéter un minimum pour toi, tu te renfrogne. Tu reste, comme à ton habitude, assez réservée, une sorte de ... d'ours solitaire (désolée de te comparer à un ours ._.), te taisant simplement lorsque tu es contrariée ou en désaccord avec quelque chose. C'est dans ta nature après tout, tu as toujours agi de cette manière, dans l'ombre, sans vouloir t'imposer ou quoi que ce soit. Et, bien qu'invisible, tu as toujours été là, comme une base, un pilier, une constante.

ABOUT YOU

Il me reste une petite heure pour vérifier mes pièges, après quoi je devrais retourner au campement, avant qu'il soit bouclé. J'ai largement assez de temps. Je regarde le collet, à mes pieds. Un piège assez rudimentaire, quoique efficace, visiblement. D'un coup sec, je met fin aux souffrances du lapin. Il a pas besoin de souffrir plus que nécessaire. Nous, en revanche, on a besoin de lui. Des apports nutritionnels qu'il pourra nous apporter, surtout en ce moment, où les Grounders nous ont officiellement déclaré une guerre sans merci. Si j'ai peur d'en croiser ? Oui, bien sûr. Ce serait stupide de ne pas avoir peur. Eux, ils savent comment survivre, se battre, depuis leur naissance. Nous, on apprend tout juste la survie. Toujours est-il que si je venais à croiser la route de l'un d'eux, je défendrais chèrement ma vie. Croyez moi. La barre de fer accrochée à ma ceinture, bien que ne payant pas de mine, peut être très utile, si on sait s'en servir correctement.

Je continue calmement ma marche dans la forêt, emplissant mes poumons de cette odeur de terre humide et de résine. Il me manque un dernier piège à relever et je pourrais retourner au camp.

Je me fige, les yeux exorbités, et retiens mon souffle. Ils sont deux. Des masques faits de crânes d'animaux. Des habits de cuir et de fourrure. Et des armes. Vous savez, quand je vous ai dit que je défendrais chèrement ma vie si un truc comme ça devait se produire ? Et ben, oubliez. Parce que là, la seule chose que je suis capable de faire c'est m'enfuir à toutes jambes dans la direction opposée. J'entend le bruit de leur course derrière moi. Et puis j'entends un sifflement, comme une-...

Je m'écroule par terre. Le bruit de leurs pas s'est arrêté, et j'entends une voix crier ce qui ressemble à un ordre. Me mordant les joues jusqu'au sang pour ne pas hurler de douleur, je concentre toute mon attention sur un escargot, à quelques centimètres seulement de mon nez. Quelques centimètres nous séparent, et pourtant, en cet instant précis, j'ai l'impression que nos existences sont à des années-lumière l'une de l'autre. Je reste ainsi pendant un temps indéterminé, sans bouger, osant à peine respirer. Une lame - ou est-ce une flèche - fichée dans mon épaule droite, occasionnant une douleur vive, et surtout, ce sentiment que la vie s'échappe peu à peu de là.

La nuit est maintenant tombée. Je ferme les yeux. Je suis seule. Je ne sens même plus mon épaule. C'est à peine si je sens le reste de mon corps. La seule chose que je sens, en fait, c'est cette faiblesse, toujours plus écrasante. S'accrocher. Se souvenir.

Mes parents, d'abord. Imaginer simplement leurs visages me remplit un peu de chaleur. Un peu. Ma mère. Cette femme dure, sévère et aimante. Mon père. Parti trop tôt. C'était un homme un peu bourru, franc, une brute, un peu ... Quand on le connaissait un tant soit peu, on se rendait compte qu'il dissimulait mal cette facette affectueuse. C'était un nounours, un peu. Il me manque. J'avais douze ans quand il est mort. Douze ans, c'est bien trop tôt pour perdre un parent. En vérité, c'est toujours trop tôt pour perdre un proche, quel que soit notre âge. Le matin, comme tous les autres matins, il était parti travaillé, après nous avoir embrassées, ma mère et moi. Et le soir, il n'est pas revenu. Non. C'étaient ces hommes, là. Ces hommes qui nous ont dit qu'il y avait eu un problème avec une machine et que ... Je ne reverrais jamais mon paternel. Jamais.

Je rouvre les yeux, puise dans mes quelques forces pour rouler sur le côté qui n'est pas blessé, et lève mes yeux vers les étoiles. L'arche, là-haut, clignote. Soupir. Douloureux. Je me force à garder les yeux ouverts.

Mes problèmes de somnambulismes datent de cette époque. Où j'ai perdu mon père. Les deux ou trois nuits suivant son décès, j'ai dormi comme une pierre, d'un sommeil noir, sans rêves. Et puis, ça a dégénéré. Au début, de simples insomnies. Et puis, une nuit, je me suis réveillée en train de mettre la table. Ouais. Sur le coup, j'ai pas compris ce qui m'arrivait, et puis, je me suis rendue compte que ma mère m'observait avec des yeux ronds. Elle m'a demandé si ça allait, j'ai dit que oui, je me suis recouchée. Il y a eu quelques autres incidents comme ça, mais concrètement c'était rien d'extrêmement grave non plus. La psy disait qu"il n'y avait rien d'alarmant. Selon elle, c'était peut-être une façon comme une autre pour mon inconscient de faire son deuil. Je ne le saurais jamais. Après ça, j'ai eu quelques autres crises. C'était totalement irrégulier, il pouvait se passer des mois sans que ma mère ne remarque quoi que ce soit, et puis, des fois, le matin, elle me racontait ce que j'avais fait alors que je dormais. J'imagine que c'était perturbant pour elle. Pour moi c'était pire encore. C'est à cause de cette connerie de somnambulisme que je me suis retrouvée en prison.

Une larme coule lentement le long de ma tempe. C'est vraiment ça, mourir ? Voir sa vie défiler devant ses yeux en accéléré ? Je tente d'essuyer cette larme, qui laisse comme un sillon brûlant derrière elle. Je ne parviens à bouger ma main que d'une dizaine de centimètres. Ma main est trop lourde. Mon visage, trop loin. Inspiration. Expiration.

J'avais 16 ans. Une crise de somnambulisme comme les autres. Je ne sais pas comment j'ai fait mon affaire, mais je me suis retrouvée dans les "cuisines" de la station Usine, comme si j'allais aider ma mère à préparer les rations pour les ouvriers. Sauf que c'était la nuit. Je n'avais rien à faire là à cette heure. Et j'étais pas seule. Ce qui m'avait réveillée, c'était cette pression sur mon bras. Et ce souffle chaud dans mon cou. Ainsi que cette petite voix, en moi, qui avait voulu me mettre en garde. Bien trop tard. J'étais coincée. Je pouvais faire quoi ? L'homme m'a retournée, afin que je me trouve face à lui. A ce moment-là, j'ai réalisé que j'étais seulement vêtue d'une chemise de nuit assez légère. Lui, il avait dû le remarquer depuis bien longtemps, à en juger le regard qu'il portait sur moi. Quand il a commencé à glisser sa main sur ma cuisse, j'ai paniqué. Alors que mon poing s'écrasait sur son nez dans un craquement sonore, mon genou, comme pris d'une volonté propre, a remonté rapidement, et, en à peine quelques secondes, l'homme s'était retrouvé plié en deux, se tenant l'entrejambe d'une main, le visage de l'autre, me traitant de tous les noms possibles et imaginables. Quelques secondes qui ont suffit pour que je me dégage de son emprise et que je regagne en courant ma chambre, en larmes, tremblant de tous mes membres. Je suis allée vomir, puis me suis recouchée, pleurant silencieusement jusqu'au lendemain. Quelques heures plus tard, j'étais balancée en prison. Le type devait être quelqu'un d'important, je suppose.

Je lève les yeux, et observe le petit point lumineux qui se déplace lentement. Et dire que cette ordure est là-haut, et ne répondra certainement jamais de ses crimes. Je serre faiblement le poing. Comme si ce poing clamait vengeance. Enfin, il murmure plutôt, je dirais. Et puis soudain, l'impensable se produit. Je vois l'Arche commencer à descendre lentement. Elle semble se détacher en plusieurs morceaux, qui s'embrasent en entrant dans l'atmosphère. Je suis en train de rêver. D'halluciner. Morte, peut-être. Le bruit que fait la station spatiale en rencontrant la terre ferme trouble le silence de la forêt. Et me fait sursauter, ce qui ravive la douleur dans mon épaule. Que j'avais presque oubliée.

Je lève les yeux vers les feuillages, qui bruissent, comme troublés. La première fois qu'on a vu ces feuilles, avec tous les autres, on était d'abord impressionnés. Et puis, tous, on s'est laissés charmer par ces nouveaux paysages. Avant d'être, peu après, durement ramenés à la réalité. Je me demande comment ils vont, tous. Je n'ai même pas pu être là pour me battre avec eux contre les Grounders. Peut-être sont-ils morts. Si c'est le cas, je ne tarderais pas à les rejoindre. Mon agonie dure depuis bien trop longtemps, et je me surprends à avoir hâte. Hâte que cela se termine.

Je vois le ciel commencer à s'éclaircir. Puis des bruits de pas. Mais ça ne ressemble pas à des pas de Grounder. Ma vue se trouble, et je sombre. Je me réveille dans un lit, entourée de visages familiers. Des visages que je pensais ne jamais revoir. Des visages de l'Arche.

Les infirmiers me disent qu'il faudra que je reste quelques jours encore couchée, pour me reposer. J'aimerais faire quelque chose.
Alors, dès que je suis à nouveau sur pied je continue d'aller chasser et pêcher. Je ne peux pas y allez seule, mais j'accompagne les gardes de l'Arche qui y vont, et je les "guide", en quelque sorte.

Et on survit.

Quel était votre crime ? Être somnambule et pas facile. Non-respect du couvre-feu, si vous préférez.
Que faisiez-vous sur l'Arche ? Ma mère était cuisinière, je l'aidais pour les repas, le service, etc. J'étais un peu destinée à devenir comme elle, je suppose.
Vos parents vous manquent ils ? Oui.
En voulez-vous au conseil ? Au chancelier ? Non. Je n'en veux à personne. La seule personne à qui je pourrais en vouloir, c'est moi. Et pour l'instant, ça va, merci.
A quel moment avez-vous enlevé votre bracelet à votre arrivée sur terre ? Je l'ai enlevé quand je me suis rendu compte que je pourrais bricoler un piège ou de quoi pêcher avec.
Que pensez-vous des grounder ? Wahou, ben, ils ont pas été hyper accueillants au début quoi. Mais bon, j'ai rien contre eux, tant qu'ils massacrent ni mes pièges, ni mes amis. Cela dit je reste méfiante, ils nous ont démontré, de nombreuses fois, qu'on pouvait pas leur faire confiance.
Que pensez-vous de l'entrée des Skaikru dans la coalition ? J'en sais rien. Je voudrais pas me risquer à émettre un avis qui pourrait changer quelques jours plus tard.
Avez-vous fait partie de la bataille dans/contre la montagne ? J'y ai assisté de loin, impuissante. Tout d'abord en convalescence. Et puis après, la seule chose que je pouvais faire pour me rendre véritablement utile, c'était continuer ce que j'avais toujours fait depuis mon arrivée sur Terre : chasser, pêcher ~~naturer et traditioner /SBAFFFFF/~~
Que faites-vous maintenant ? Etes-vous au Camp Jaha? Ailleurs? Bah, j'continue ce que j'ai toujours fait. Je contribue à nourrir les gens. Je me sens utile de cette façon, et puis, ça me vide l'esprit.

WHAT ELSE ?

Cou² les genx 8D Moi c'est Camille, 20 balais ~~den lcu~~, le pissenlit coton-tigesque attitré de Galaad Jugnot (ouais c'est grâce à lui que j'ai connu ce fofo

#DES10CACE), je fais de la musique pck c'est cool et pas trop chiant. SINON JE- tg Anushka stp. Ui ok pardon.
Bah du cu, le code c'est l'histoire d'un Bellamy qui fait des tartes aux pommes j'crois Gnu

Le forum est choupichou, je passerais au moins une fois par semaine, et-et-et-et-et-et ... Les gens auxquels j'ai parlé vous êtes trop kiouls flower

Pis Visenya je te nem Sushi

(avec un smiley sushi stp)

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
J'adore ton choix d'avatar :3

Lauren !!

Bienvenue et très bon choix de vava
Yaaaay

Bienvenue o/

Oh Lauren :3 Bienvenue parmi nous copine d'aventures o/

UHUHUHU

J'vais te boire rapido tu peux en être sûre flower

Bienvenue mon cnd d'amuuuuur I love you

Et bon courage pour ta fiche 8D

Merci bien, toutoutout l'monde looove

~~Comment ça, vous me dites bon choix de vava mais vous dites pas la même chose pour mon nom de famille hn ?~~
Galaad → Oh my Gérard ~~Jugnot, actualité officielle~~ Joie a trois

(smiley représentant toi, moi et papa Gérard, notre dieu à tous)
Mais si tu m'bois tu vas devenir raide comme le torchon Sad

Merci mon cu

en tous cas groscalin

Aller, officiellement: BIENVENUE PARMI NOUS VODKA SMIRNOV!!!
J'ai hâte de lire ta fiche jeune bouchère russe normale xD Bon courage et bon jeu lorsque tu seras validée.

Huuuuuuuuuuuh, VODKA Prénom : Anushka ; Nom : Imprononçable. 1238188234

*accent*
*Hmhm* Merci beaucoup Tor-vie/Tor-tue/SexyLagertha/ flower

~~Arh ! Fenez mancher mes sauciz te francforh (pourquoi jfais l'accent allemand alors que jsuis censée être russe svp ? )~~

"ET DANS MON CAMPS J'SUIS:
Bouchère oklm" Souriiiire

Juste ça m'a tué afro

Yooo, alors c'est moi qui m'occupe de toi looove

Ta fiche est très bien, mais j'aurais besoin d'un précision ou deux avant de te valider. Donc, tu as été attaquée par deux grous le moment où l'arche est tombée dans le ciel? Mais, à ce moment là, le campement des 100 était verrouillé et tout avec la bataille qui allait avoir avec les grous. Du coup, je pense pas qu'elle ait pu sortir comme ça Gnu

Ensuite, il faudrait un peu éclaircir le passage de la montagne. Elle est en convalescence, c'est ça?

Et puis un dernier point, pour m'assurer que tu comprennes bien (a) Donc y a pas de "cuisine" à proprement parler sur l'Arche. Juste des rations chelous et qui font pitié (après, il y a pas de soucis pour qu'elle suit en cuisine looove

)

Voilà, j'attends d'avoir des précisions, mais sinon ta fiche est en bonne voie looove

Bienvenue sur le forum, jsuis à la bourre, 3000 ans après, mais bon, bonne chance pour ce qui te reste. Wink

Monty > Promis c'tait vriment pas mon but de te tuer Sad

Keenan > Merci beaucoup flower

Clarke > Merci de t'occuper de mon cas ~~désespéré~~
Petit pavouille rien que pour toi cat

Clarke Griffin a écrit:: Donc, tu as été attaquée par deux grous le moment où l'arche est tombée dans le ciel? Mais, à ce moment là, le campement des 100 était verrouillé et tout avec la bataille qui allait avoir avec les grous. Du coup, je pense pas qu'elle ait pu sortir comme ça

Pour ça, je n'ai pas vraiment précisé quand est-ce exactement qu'elle sortait vérifier ses pièges, ça pouvait être bien plus tôt dans la journée, reste à voir si le campement était fermé depuis vraiment longtemps (parce que du coup avec l'espèce de mise en scène pourrave que j'ai faite là, ben ça permet une certaine malléabilité au niveau de la temporalité #RimesEnéhéhé) et du coup avec tout le stress et la pression de la guerre imminente, bah son absence pourrait passer inaperçue Gnu

(déjà que sa présence même est assez inaperçue Prénom : Anushka ; Nom : Imprononçable. 4187585242

)
Mais si ça ne te va vraiment pas, je changerais y a pas de soucis looove

Clarke Griffin a écrit:: Ensuite, il faudrait un peu éclaircir le passage de la montagne. Elle est en convalescence, c'est ça?

Ouais, en fait ça j'ai pas jugé nécessaire de l'approfondir, puisqu'en gros, Anushka c'pas vraiment une espèce de guerrière ou quoi, et du coup bah elle va pas prendre les armes en mode "jvais me fight, blc". (ouais c'pas Maggie Greene xDD)
Oui, elle est en convalescence au début, puis une fois qu'elle s'est remise, abah elle fait comme d'hab' quoi, chasse, pêche, nature et tradition /SBAFF/ (c'est comme une petite vieille, faut pas bouleverser ses habitudes Pasteque

*smiley de pastèque de petite vieille sisi*)

Clarke Griffin a écrit:: Y a pas de "cuisine" à proprement parler sur l'Arche. Juste des rations chelous et qui font pitié (après, il y a pas de soucis pour qu'elle suit en cuisine )

ILS ONT MÊME PAS DE PIZZERIA ? Damnit

(les pauvres en vrai ;-; )
Du coup au lieu de cuisinière je met rationneuse ou un truc comme ça ? (ou au pire j'peux trouver un autre métier, faudra juste que je change quelques trucs dans ma fiche Gnu

)

Yooo! Désolée pour le retard, fin de semaine de ouf et appremment mes collègues ne voulaient pas faire leur boulot /pan (bon, ils voulaient juste que je regarde si ça allait) BREF!

Alors oui, je pense qu'ils étaient assez strictes, mais c'est vrai qu'il y a des peys qui se sont barrés. Au pire dit qu'elle est partie juste avant que ça soit bouclé, comme ça, ça devrait être bon. & oui, pour la convalescence il faut quand même préciser dans ta fiche, Pense aux gens qui liront ta fiche plus tard et qui ne penseront pas nécéssaire à lire jusqu'ici Gnu

Et nope, pas de pizzeria, pourquoi tu penses qu'ils voulaient rejoindre la terre si vite? /out
Oui, rationneuse ça sera nickel chrome Chouu

Sujet: Re: Prénom : Anushka ; Nom : Imprononçable.