FALKENRÄTH
JUDE
take a sad song & make it better 
Age du personnage: 33 ﹅
Allégeance : Abby Griffin ﹅
Metier : Généticienne ﹅
Camps: L'Arche | Wesh 'suis bleue Descriptions Jude c'est un savant fou qui n'est pas si fou que ça. Elle aime tout tester. Elle aime les sciences, elle aime la vie, elle aime aussi ce qui a été et est persuadée que cela pourra être à nouveau. Jude c'est une fille pleine de rève qui croit en la science et en ses capacités. Jude, elle est un peu imbue d'elle même parfois, et elle s'oublie souvent. C'est pas si paradoxal, c'est juste comme ça. Elle a des flashs d'égo où son humilité abandonne le navire, et puis d'autres jours, elle oublie qu'elle existe autrement que pour servir une plus grande cause. Jude elle parle beaucoup trop, de choses qu'on ne comprends pas toujours. Elle croit aux étoiles et à la science et si elle est capable de te parler de ça pendant des heures, il y'a aussi des jours où elle ne sait pas faire ses lacets. Jude... elle n'aime pas spécialement les ordres, et elle est désordonnée mais elle retrouve tout. Ou du moins elle retrouvait tout dans son labo en chaos. Elle n'a jamais su suivre un couvre feu de toute sa vie, et sa bouche trop pendue lui a parfois causé quelques soucis. On peut dire qu'elle est bavarde. Mais surtout, Jude, elle est Fascinée par la vie, par la terre, par tout ce qui est et tout ce qui peut être. C'est comme si elle arrivait à voir au dela des barrières. Alors ouais parfois elle va vous perdre dans 50 dialogues à la fois. Elle a un tic, elle dit souvent : Fascinant. Ca arrive. On a tous des tics aprés tout.
Parle moi de toi - 
« You said, remember that life is not meant to be wasted » « Reste calme Pandore si ils t’entendent, ils te tueront… Hmm, et moi aussi en fait. » Pandore 117, était un rat bleu russe, qui n’aurait jamais du exister. Et pourtant il était la, en face d’elle, grignotant un morceau de la vieille table périodique des éléments usée qui trainait sur le bureau du professeur Falkenräth. Docteur Falkenräth ? Non, elle préférait assurément professeur, et c’est probablement ce qu’elle aurait été si ils étaient restés sur terre. Oui, assurément elle aurait grandi dans une petite maison simple, et elle aurait passé sa vie dans un bureau et des amphithéâtres blindés au possible. Oui. Elle aurait passé sa vie sous des grands panneaux avec des éprouvettes et des seringues éparpillées de partout dans un chaos bien rangé miroitant sa tête. Ou peut être pas. Peut être qu’elle aurait été photographe, ou prostituée va savoir. Toujours était il que la, sur l’Arche, 97 ans après que les humains aient quitté leur Terre Natale, elle était l’une des généticiennes les plus douées qui soient. – Oui, c’était son avis, et elle était persuadée que c’était le bon. Ce que pouvaient en penser les autres ça lui passait un peu à coté de la tête de toute façon. – Et Pandore 117 etait sa création.
« Non, lache ça, sinon je te raconte l’histoire des trois petits cochons, tu t’es endormis la dernière fois. Je crois qu’elle ne t’a pas plus. » Dire que Pandore 117 était le seul ami de Jude aurait été faux. Il avait été un temps où elle avait eu des amis, - elle en avait toujours, elle savait sortir de son laboratoire pour aller boire un jus de citron ou un verre d’alcool illégal quand elle en avait l’occasion. Quand elle se rappelait les rendez vous, et les noms, et puis la route aussi.
Distraite. Non. Elle aurait dit perdue dans son travail, un peu trop important pour qu’elle ne le mette de coté. Mais Pandore 117 etait la, et elle ne pouvait pas le laisser tout seul, parce que de toute façon il n’aurait pas du exister. Et qu’elle risquait gros. Elle était généticienne okay. Et sacrément douée avec ça. Légerement accrochée de trop à son travail. Mais elle était surtout en possession d’un animal qui n’aurait pas du être. Et qu’elle avait crée. De ses mains.
« Tu sais. Tu es un peu mon enfant, comme mon golem ; ma Galatée. Enfin, je ne vais pas me la jouer Pygmalion et vouloir t’épouser, mais tu comprends ce que je te dis n’est ce pas. Tu es une part de moi même. » Oui, elle parlait à son rat. Non, ce n’était pas surprenant. Elle était persuadée que Pandore 117 la comprenait de toute façon. Soit. Comment l’avait elle crée ? Les joies de la génétique étaient telles qu’il suffisait de rien, de quelques poils, de la séquence d’un génome, et puis la science trouvait les chemins que la nature ne trouvait plus. Il en avait fallu des essais. Des ratées. Des risques pris et des ressources usées à mauvais escient. Mais sa mission était la, existante, et le conseil lui avait demandé clairement de réussir à créer de la vie animale, pour qu’ils puissent à long terme réussir à simuler une vie terrestre. Plusieurs fois ça avait échoué. Plusieurs fois, elle avait du supporter le regard déçu du chancelier, mais voilà un jour elle avait réussi. Et si elle avait prétendu être sur la bonne voie, elle n’avait pas été prête à lâcher Pandore 117 finalement. Pandy, comme elle l’appelait. Alors elle avait tendu une sorte de morceau de gingembre qui ressemblait à ce qu’aurait du être un cochon. Elle avait des livres, des films. Elle savait à quoi ça ressemblait un cochon. Et si la chose bougeait elle ne donnait pas cher de sa survie de toute façon. Elle s’en foutait. Elle avait sauvé le rat, normalement constitué. C’était parfait. C’était à elle. Sa réalisation personnelle. Et c’était parfait comme ça.
Fa-sci-nant. 
« We Will always be chasing the sun » « Par la regarde, si on mélange et... PAng. C'est comme la création de l'univers. Tu vois ça, c’est quelque chose de fascinant. Avec cette simple molécule je pourrais créer la vie, ou essayer de redonner vie à un tissu qui se serait endormie. Je serais la déesse de ce nouveau monde. C’est FASCINANT. Tu penses pas ? » Remuant les bras en bougeant des petits morceaux de molécules symbolisés devant elle, Jude parlait avec entrain a une de ses amies, pas collègue non, elle avait du mal parfois à bien s’entendre avec les autres scientifiques, ils avaient une éthique bizarre, et ils n’avaient pas d’humour, et puis ils n’étaient pas assez dévoués à leur travail, ils préféraient avoir une vie. C’était stupide. La science ne s’arretait pas pour la vie d’un tel ou une telle. Alors Jude, elle s’arretait juste pour partager un verre d’alcool amer avec une jolie brune. Elle avait cette fâcheuse tendance à partir dans des longues digressions qui n’intéressaient personnes. Et ce depuis plus de 27 ans qu’elle s’était mise à parler, les digressions inutiles elle connaissait.
Comme quoi soit, des amis, elle savait en avoir, surtout quand elles étaient belle. Manque de chance, l'amie en question n'en avait rien à battre des molécules, des gènes, des loutres et de toutes ces choses la. Ses bâillements n’irritaient cependant pas Jude, en 27 ans, elle avait prit l'habitude de converser en public avec des gens stupides.
« Hey, je ne suis pas stupide. » Elle avait parlé à voix haute sans même s’en rendre compte. Elle se gratta la tête, regarda son amie avec son air un peu hagard, et elle lui rit vaguement au nez.
« Est ce que tu réalise, je pourrais créer la vie à partir d’un morceau de cheveux, à partir d’un insecte coincé dans du miel. Tu pourrais manger ton steak directement à la vache. » « Moi, je préferais boire ma bière directement au malt. » Ca avait eu le mérite de la fait rire Jude. Parce qu’elle savait s’amuser et plaisanter quoi qu’en disait les gens, et si elle trainait en cercle restreint, parce qu’elle n’aimait pas grand monde, elle demeurait quelqu’un d’agréable. Et surtout, quelqu’un de déterminé.
« Tu verra. Je ferais ce que personne avant moi n’a réussi à faire. » Bien. Quelqu’un d’un peu ambitieux aussi. Mais ça, ce n’était pas un tort non ? Quoi qu’il en soit, elle avait gardé cette même fierté depuis des années, et elle était sure de réussir un jour.
Ce jour arriverait plus vite que prévu. 
« So fill up your lungs and just run
But always be chasing the sun!
» « Et donc j’ai décidé de faire des études de science, parce que je voulais avoir le monde entre mes mains. » Quand on lui demandait pourquoi elle était devenue généticienne, c’était toujours un genre de réponse comme ça qui revenait. Ou alors tout simplement un « Ca me fascine. » pur et simple. Pas de questions nécessaire en plus, ou de choses comme ça. Elle n’aimait pas les questions qui portaient sur sa vie de toute façon. Pas que ça ait été passionnant. Son père était enseignant, sa mère était chargée de s’occuper des systèmes informatiques, sa relation avec eux était normale, et ils avaient été ravis de la voir réussir. Jusqu'à ce qu’elle oublie d’aller les voir, trop concentrée dans son travail. Trop concentrée dans ses recherches. Un jour sa mère est morte d’un défaut d’oxygène, et son père a continué à vivre seul, un retraité de l’arche. Quelque chose comme ça. Ca n’avait pas spécialement d’importance. Elle avait une vie qui allait au delà de ses parents.
« Je vais t’appeler Pandore. Parce que tu sera mon espoir, et l’espoir de l’humanité. » Parce qu’elle a vrai dire, l’espoir elle n’en avait plus vraiment. Mais c’était une autre histoire. A vrai dire, ce que les gens pouvaient dire d’elle concernait la plupart du temps son travail et ses réflexions bizarres, un peu comme si, elle n’avait pas de vie en dehors de ça. Et ses amis. Et l’alcool. Et puis encore des recherches. Pourtant, il y’avait la trace d’un anneau à son doigt quelque chose, et la lueur d’une chaine autour du coup. Ca ne voulait rien dire. Tout s’échangeait. Quelques bijoux, des vêtements, un plateau d’échec et même une culotte. Sur le marché noir on trouvait ce qu’on voulait, et la loi du plus fort… Enfin, c’était l’arche quoi. Pas la peine d’épiloguer de trop.
« Alors quand l’Arche va tomber, je vais te coincer dans mes seins d’accord. Tu ne devra pas bouger. Et puis, pas les mordre non plus. » C’était peut être la fin. Toute cette stupide histoire d’oxygène tout ça. Elle s’en foutait. Elle se serait pas sacrifiée, parce qu’elle avait encore des choses à accomplir, et dans un sac elle avait essayé de vider son bureau pour garder l’essentiel. Elle ne pouvait pas imaginer perdre des années de travail. C’était tout ce qui comptait. Bah, ils allaient mourir de toute façon.
« Et la mort, c’est une expérience fascinante. » Quand l’arche sombra, elle fut obligée de quitter la section des sciences. Grand regret de sa vie. Et agglutinée au milieu d’autres gens qui lui donnaient la nausée, elle fit parti des survivants de la station Alpha. La joie. Ses premiers pas sur terre furent rythmées par ses jambes tanguantes, et un cri de joie.
« Je ne suis pas un prisonnier. Laisse moi aller voir le monde. » C’est la qu’elle se trouve, en face d’amis qui refusent de la laisser exister. C’est la qu’elle se trouve, seule à avoir travaillés sur le Projet Elpis. Consciente maintenant, que la création d’être vivant, n’a plus aucun intérêt. Alors… Elle s’apprête a tenter de découvrir les humains. Les terriens. La vie sur terre. Tout est tellement… Ouais. Passionant. Ah ah. C’était pas le bon mot non ?
ARMES - CAPACITES - SIGNES PARTICULIERS Elle sait trés bien se servir d'un gros marqueur noir avec le quel elle écrit sur plein de surfaces différentes. Sinon, elle aimerait bien qu'on lui confie une arme a feu et elle a un rat un peu bizarre, et néanmoins obéissant, qu'elle a fabriqué sur l'arche. La génétique, la génétique c'est la vie. Ca s'appelait le Projet Elpis. Et c'était toupe secret.
Je suis un Double Compte. Ne me haïssez pas trop pour ça. 
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Ven 22 Mai - 11:04
