AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez
 

 Aslan - Kyeron Gon Faya

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 21:56


Aslan

These violent delights have violent ends and in their triumph die like fire and powder wich as they kiss consume.

Je m'appelle Aslan, mais on m'appelle parfois Kyeron Gon Faya ou le dragon des glaces. J'ai 28 ans et je fais partie du clan des glaces Azgedakru. Dans mon groupe d'ailleurs je suis utile, en effet je suis l'ancien capitaine de la garde royale et le nouveau chef de Baal'th. Oh sinon je ressemble à Manu Bennett. | Si un jour on me supprime je laisse le droit au staff de garder ce que j'ai fait pour la postérité



DESCRIPTIONS


Physique : Teik Yo Gona Kamp Raun Emo Hodgeda.

Mon physique est celui d'un guerrier comme l'est celui de la plupart des membres de notre fier clan. Les légendes des anciens murmurées au coin du feu affirment que nos cœurs de glace ne sont que l'apanage de notre environnement inhospitalier et particulièrement hostile. Ils disent vrai. L'environnement façonne ses habitants. Dans l'ancien monde, les hommes façonnaient leur environnement à leur image détestable. Ils ne respectaient pas la nature et se prenaient probablement pour des dieux du haut de leur toute puissance relative. Ils en ont payés le prix fort.  Mais, futilité que de disserter sur les fous de l'ancien monde pour lesquels je ne ressens qu'un profond mépris. Oui, l'environnement façonne ses habitants. Si nous sommes des gens durs, froids, implacables c'est bien parce que le désert glacé dans lequel nous survivons depuis des générations  possède tout ses attributs hostiles à l'homme. Mais nous avons survécu et nous survivrons encore.

Seuls les plus forts survivent c'est un fait établi. Et c'est encore plus vrai sur nos terres ou le froid règne en maître durant la majeure partie de l'année. Si nous sommes aussi belliqueux et féroces c'est bien parce que la nature ne nous a jamais fait aucun cadeau. Et ici bien plus qu'ailleurs, la mort guette les imprudents comme les insouciants. Les fondateurs de notre clan, les frères Oskoborth ont combattus avec autant d'acharnement que de férocité pour créer la nation des glaces et nous montrer la voie à suivre. Une voie teintée de sang et de vaillance, une voie difficile mais salvatrice. Une voie de fierté et de mépris pour la faiblesse quelle qu'elle soit. Mon corps reflète mon acceptation complète de cette voie brutale. Je l'ai taillé pour le combat depuis que j'ai su ce que je voulais devenir. Je mesure un mètre quatre vingt cinq et pèse le poids que je pèse. Vous pensez peut être que je suis capable de deviner mon poids tel un devin. Je fais donc un certain poids qui n'est ni insuffisant ni excessif pour un combattant de mon calibre.

Ma musculature n'a rien d'exceptionnelle  et est semblable à celle de bien des combattants de notre fier clan des glaces. Je n'en retire aucune fierté. Elle n'est qu'un outil dans ma mission de capitaine de la garde royale de la reine d'Azgeda. Mon corps n'est par contre recouvert d'aucun tatouage contrairement à la pratique communément admise dans le rang de nos guerriers. Je n'ai pas été marqué durant les premières années de service dans la garde. La marque indique le rang du membre du clan. Les membres de la garde royale ne sont pas marqués tout comme les espions en règle générale. Ce qui est censé indiquer leur statut à part du reste de la population de la nation des glaces. Mais j'ai dérogé à la règle sous le règne de Galath. Mes marques se trouvent sur mon crane plus précisément sur les deux cotés de ce dernier. Si je n'ai pas de tatouages c'est parce que je ne ressens pas le besoin de disposer de dessins sur mon corps pour exposer ma férocité au combat. Mes actions parlent d'elles mêmes.

Je ne suis pourtant pas démuni de signes distinctifs. Mais ces derniers sont des cicatrices pour l'essentiel. Souvenirs de combats aussi rudes que savourés. Je suis brun et mes cheveux sont coupés relativement courts sur le haut de mon crane et rasés à ras sur les cotés. Je ne dédaigne pas la barbe ornant ma mâchoire carrée et ne me rase que pour l’empêcher de devenir trop longue. Mes yeux sont marrons et la plupart du temps le regard qu'ils renvoient est dur et inquisiteur. Mon teint de peau est mat. Un teint que l'on s'attendrait plutôt à observer dans le sud là ou le soleil est roi plutôt que dans le nord ou la glace est seule reine. Mon visage se recouvre d'une blancheur nacrée lorsque je le peins aux couleurs de guerre de mon clan.

Caractère : Ai Laik Aslan Kom Azgeda.

Mes traits de caractère peuvent être séparés en deux catégories. Ceux que je partage avec la majorité de mes frères et sœurs de clan et ceux qui me sont propres. Je ne généralise pas les caractères car malgré tout nous restons tous uniques cependant il faut néanmoins reconnaître que les douze clans disposent de particularismes locaux tant dans les coutumes que dans les manières d’être. Je ne vais pas les différencier au cours de cette petite présentation de ma personnalité. Vous laissant le loisir de démêler l'un de l'autre. Si vous connaissez des représentants de la nation des glaces cela ne devrait pas être trop difficile j'imagine.  

Les gens disent de moi que je suis quelqu'un de taciturne qui ne parle pas beaucoup, n'aime pas se perdre en palabres inutiles et qui préfère tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de l'ouvrir. D'autres disent même que j'aime le silence paisible bien plus que la parole. Ils n'ont pas tord. Je ne suis pas quelqu'un de très bavard et ne l'ai jamais été. On dit également de moi que je suis quelqu'un de dévoué et même de particulièrement dévoué tant à ma famille et ma fille adoptive la petite Valyria que la royauté que je sers en tant que capitaine de la garde depuis six longues années. Six longues années qui auront vu les reines changer par trois fois. Je me considère comme littéralement dévoué à Azgeda et uniquement à Azgeda en réalité. Ceux qui me connaissent un peu plus intimement que ce soit mon oncle, mon cousin, mes cousines ou mes frères d'armes de la garde royale savent que je suis un hédoniste qui apprécie les belles choses, les sculptures, les peintures, l'art en général et même les beaux panoramas ou les couchers de soleil. Mes mentors et les guerriers que j'ai côtoyé au cours de ma vie savent ou savaient pour certains que je suis un perfectionniste acharné qui aspire à produire le meilleur dans tout les domaines.

Comme chaque fils d'Azgeda je suis quelqu'un de fier. Les plus observateurs notent que ma fierté se ressent dans mes gestes, ma démarche et mon attitude générale. A l'instar de tout garde royal je suis quelqu'un de très observateur qui ne laisse pas grand chose échapper à sa vigilance. Certains affirment que je suis charismatique et que lorsque je parle les gens m'écoutent, lorsque je me tais les gens le font également et que ma présence se ressent dans une pièce. Je ne peux pas les détromper. Je suis craint et respecté de mes hommes. Mais, j'imagine que chaque homme ou femme occupant un poste de commandement peut être qualifié de charismatique. Ce charisme a probablement quelque chose à voir avec la férocité qui m'anime depuis toujours et que je libère sur les champs de bataille et dans tout les combats auxquels je participe. Une férocité qui m'a valu le surnom de dragon des glaces. Un surnom notablement explicite. Ce que j'appelle les miens soit ma famille et particulièrement Valyria ma fille savent à quel point je peux me montrer protecteur. Toucher à l'un des miens revient à signer son arrêt de mort. Il faut à mes yeux ressentir cet instinct de protecteur pour s'engager dans la garde royale.

Les gens qui me côtoient savent que je peux facilement me montrer brutal et brut de décoffrage dans mes paroles comme dans mes actions. La rudesse de l'hiver constant ont eu un effet sur ma personnalité dès l'enfance. Que voulez vous que je vous dise ? Je ne suis pas un enfant de cœur. Mes hommes savent que je suis quelqu'un de calme et de réfléchi qui ne se comporte jamais de manière impulsive et qui prends le temps de peser les tenants et les aboutissants avant de prendre une décision décisive. Ceux qui m'ont vu grandir vous diront à quel point je peux me montrer déterminé et que lorsque je me fixe un objectif, je ne le lâche pas avant de l'avoir accompli. Au combat je me montre toujours implacable et ne fais que rarement preuve de pitié envers les ennemis d'Azgeda. La dureté des conditions de vie dans le royaume m'a façonnée à son image. Oui, les gens qui affirment que je suis froid et dur sont dans le vrai et savent de quoi ils parlent. Pour conclure, les plus observateurs des gens qui m'entourent ou m'ayant croisés ont compris que j'étais quelqu'un de dangereux. Nonchalant en apparence mais capable de se tendre comme un arc à la première nécessité. Et que je n'hésite pas à dégainer dès que le besoin s'en fait sentir.      


ABOUT YOU


Chapitre 1 : Naissance et enfance d'un fils de l'hiver parmi tant d'autres. Une engeance de la guerre.

C'est en l'an soixante neuf que je suis venu au monde dans la maison familiale du village d'Orst'. Oui, je suis né dans la capitale du territoire du clan des glaces et y ai vécu depuis mon premier souffle. Je suis né au milieu de la bâtisse après d'intenses efforts de la part de ma mère Asmodée sous les regards bienveillants de sa cousine Kraelia et de la guérisseuse d'Orst'. Idris mon père n'était pas présent car il était en guerre comme la plupart des guerriers du clan. Une guerre qui avait pour visée d'annexer les alentours du plus vaste des grands lacs Bera. Mon père n'est revenu chez lui que bien des mois plus tard et l'humeur de ce dernier était morose comme celle de la plupart des combattants de l'armée des glaces et pour cause Bera n'était pas tombée sous le joug des enfants de Thanos. Cependant lorsqu'il me vit le fier guerrier d'Orst' fut inondé de fierté et ma naissance fut célébrée dans la famille durant plusieurs jours. Le temps glacial et agressif de notre contrée fait que nous ne sommes pas parmi les plus bon vivants des douze clans. Cependant, lorsque nous faisons la fête nous ne la faisons pas à moitié. L'alcool coula à flot et les chants tout comme les danses s’enchaînèrent. Je ne peux pas avoir gardé de souvenir de cette période car j'étais bien trop jeune seulement je me fie à ce que mon oncle Asgard m'en a raconté. J'ai grandi sous l'amour intermittent d'une mère souvent absente en raison de son statut d'exploratrice la poussant à partir souvent loin de chez elle, loin de chez nous pour ses voyages et sous le regard dur mais aimant d'un père qui fut celui qui s'occupa le plus de moi au final. Comme si Asmodée ma mère n'avait pris soin de moi que jusqu'à ma première année. Idris était un guerrier dur, implacable et bien souvent cruel mais il s'est bien occupé de moi. Mon père me berçait d'histoires légendaires au sujet de notre clan, de récits de batailles, d'aventures au souffle épique et de la lutte éternelle des hommes contre les affres de Thanos le dieu de l'hiver qui selon lui n'était pas tant notre ennemi que notre protecteur. Tout cela aiguisa mon esprit et le prépara à la voie qui m’apparaîtrait plus tard comme naturelle. Si mon père fut bien plus présent pour moi c'est parce que la guerre n'est pas ininterrompue, elle ne l'est jamais même pour une nation guerrière comme la notre.

Chapitre 2 : Cinq jeunes années d'existence et me voilà déjà orphelin. La vie est cruelle voilà bien la première leçon que j'ai apprise.    

J'avais tout juste cinq ans lorsque j'ai appris la mort de ma mère ou du moins sa disparition ce qui revenait à la même chose vu son rang d'exploratrice. Je l'ai perdu deux ans après la mort de mon père, mort au combat durant une autre guerre simple reprise de la précédente. Mes souvenirs sont flous ce qui est tout à fait normal j'imagine. Je ne me rappelle pas avoir pleuré. En même temps, je n'ai pas réalisé sur le coup, je n'étais encore qu'un gamin. C'est l'absence qui m'a fait prendre conscience du vide laissé par Idris et Asmodée. A ce moment là, je me rappelle précisément avoir versé toutes les larmes de mon petit corps. J'ai été récupéré par mon oncle Asgaard un constructeur de bateaux d'Orst'. Les navires de la capitale sont bien moins renommés que ceux de Baal'th mais restent néanmoins impressionnants malgré tout. De constitution fragile, j'étais beaucoup moins dynamique que la plupart des enfants de mon age et je quittais rarement la maison de mon oncle. Emmitouflé dans plusieurs couches de fourrure j'ai été chouchouté par l'épouse de mon oncle Meliara qui a veillé sur moi comme si j'étais l'un de ses enfants. J'ai grandi entouré de mon cousin Sangar, mes cousines Ardath et Davika. Je tombais facilement malade et mon oncle et Meliara crurent que je ne passerais pas le cap de l'enfance pourtant je finis par vaincre la maladie qui me rongeait. Mon combat n'était pas terminé. Il ne faisait en réalité que commencer. Une fois le souvenir âpre et désagréable de mon combat pour la survie dissipé j'ai arpenté les quais du port du village en compagnie de mon oncle, j'ai passé énormément de temps à l'extérieur comme pour rattraper tout le temps perdu à lutter contre la maladie et j'observais les guerriers s’entraîner d'un œil admiratif. Je savais quelle serait ma voie. Je n'avais pas une seule hésitation au sujet de mon avenir.

Chapitre 3 : L'apprentissage du sang et ses affres. La douleur, la fatigue et le feu glacé qui m'anime.


J'ai commencé mon apprentissage à l'age de huit ans sous l'égide d'un guerrier que connaissait mon oncle. Un ancien compagnon d'arme de mon père qui avait combattu avec lui au cours des guerres d'expansion vers l'ouest. Ce guerrier s’appelait Asher et il fut mon mon maître durant six longues années. Six longues années durant lesquelles j'ai reçu des coups et en ai donné, durant lesquelles j'ai saigné et fait saigné, durant lesquelles j'ai sué, souffert et ai appris à me battre comme un véritable guerrier des glaces. Il était désormais loin le temps ou je n'étais qu'un petit garçon chétif. Mon être brûlait de hargne et de sauvagerie lorsque je me battais et je me sentais pleinement vivant lorsque je croisais le fer avec mon mentor ou d'autres apprentis guerriers et guerrières. Mon perfectionnisme me poussait à m’entraîner encore et encore là ou d'autres auraient pris le temps de se reposer. J'ai très tôt préféré l'épée à toutes les armes. Plus légère, plus maniable, plus létale lorsqu'elle est maniée correctement. Durant ces six années, je n'ai littéralement pas passer plus de temps à faire autre chose que me battre. Un jour mon maître me parla de mon père et m'affirma qu'Idris aurait été fier de moi.  La fierté dans son regard semblait faire écho à celle dont il parlait. Lors d'un entraînement à l'aube de mes quatorze ans je remarquais la présence d'un mystérieux homme au visage masqué par une capuche de fourrure et un coupe vent en laine. Je ne savais alors pas qu'il s'agissait du capitaine de la garde royale qui prospectait à la recherche de nouvelles recrues.

Chapitre 4 : L'accomplissement ne fut que le commencement. Tout était à recommencer.

C'est donc à l'age de mes quatorze ans comme la plupart de mes frères et sœurs de clan aspirant au rang vénérable de guerrier que je suis parti effectuer le rituel qui devait marquer mon entrée dans la grande armée d'Azgeda. Que je suis parti affronter la nature irrémédiablement hostile, le froid glacial et les prédateurs affamés. Armé d'un arc et d'une lance, emmitouflé dans de la fourrure, les mains gantés et le cœur ardent de faire mes preuves je me suis enfoncé dans les vastes étendues glacées.  J'ai du survivre seul face au déchaînement des éléments, seul dans un froid si mordant qu'il vous glaçait les os, seul au milieu d'un désert glacé. Mais, j'y suis parvenu et concernant l'objectif de la griffe et des canines. J'ai pisté une meute de loups qui traquait elle même un ours. Ce genre de chose n'est pas rare dans notre contrée. La faim pousse parfois les prédateurs les plus féroces à se dévorer entre eux. J'ai attendu que le combat blesse l'ours comme les loups avant d'encocher ma première flèche qui s'est fichée dans le flanc d'un loup rendu boiteux par un coup bien placé de l'ours. Une autre a transpercée la gueule d'un autre pour se ficher dans sa gorge. Les trois autres loups blessés par le combat face au géant brun ont pris la fuite devant la nouvelle menace que je représentais. La peur s'est emparée de moi lorsque l'ours a reporté son attention sur moi mais j'ai tenu bon et je n'ai pas reculer. J'ai épuisé le géant en lui tournant autour tout en le maintenant en respect de la pointe de ma lance avant de profiter d'une faille pour l'enfoncer dans sa gorge.

Je suis revenu à Orst' avec mes trophées et un loup mort sur le dos. Pourquoi avoir transporté le cadavre alors que je n'avais besoin que de ses canines ? Parce que je ne savais pas tanner la peau de bête et que je voulais une fourrure de ce prédateur redoutable. Je n'ai pas souri avant que mon visage ne soit peint de bleu et que mes camarades guerriers ne m'acclament. Quelques semaines plus tard, le mystérieux observateur se présenta à moi comme Draen le capitaine de la garde royale d'Azgeda et il me proposa de me prendre sous son aile pour intégrer la garde. J'acceptais bien évidemment cette offre et l’immense honneur qui m'était accordé. Durant les six années suivantes je fus à nouveau entraîné par mon nouveau mentor. La garde ne pouvait que compter dans ses rangs les meilleurs combattants du royaume des glaces. Mais, je ne fis pas que me perfectionner durant ces nouvelles années d'apprentissage, je fus endurci à un niveau supplémentaire. J'appris également à chasser et les rudiments de l’espionnage. La polyvalence devait être l'apanage de chaque garde royal me répétait Draen.  

Chapitre 5 : Atteindre le rang tant désiré et devenir père. Deux choses radicalement opposées.

C'est au début de l'année 90 que je fus intégré à la garde royale après six longues années d’entraînement acharnés. Entre nous je ne boudais pas mon plaisir d’être enfin un des plus féroces protecteurs de la royauté du clan des glaces. D'autant plus qu'Herga était une bonne reine apprécié de tout son peuple et plus encore de ses guerriers et guerrières. Cette reine fut la meilleure qu'Azgeda n'ait jamais connu aux yeux de bien des membres du clan des glaces et je suis également de cet avis. Herga était royale au sens noble du terme. Elle était une guerrière respectée mais incapable de sacrifier son peuple sur l'autel de l'ambition dévorante. Prêter serment devant elle fut l'un des moments les plus marquants de ma vie. Je me suis senti minuscule et ridicule à coté de cette reine qui plus qu'aucune autre méritait son statut.

J'avais alors 21 ans et ma loyauté à Herga était complète et absolue je me voyais déjà la servir durant des années et des années puis ses enfants après elle. Mais le destin et l'ambition malsaine de Galath allait mettre un terme brutal à cet avenir désirable. Pour l'heure en 90 après Pramfaya j'étais satisfait de moi même et me dévouais corps et âme à mon poste dans la garde. Je n'étais certainement pas préparé à devenir père et persuadé que je n'aurais jamais la fibre pour ce genre de choses et pourtant lorsque j'ai appris qu'un nourrisson avait été trouvé dans Orst' j'étais allé m’enquérir de la situation. Fille de parents explorateurs probablement décédés bien loin de la capitale la petite n'avait plus personne. Agissant de manière impulsive pour la première fois de mon existence. J'adoptais l'orpheline pris d'un élan d'amour pour cette petite marmotte. Je ne savais que trop bien ce que grandir sans parents signifiaient quand bien même j'avais eu la chance d’être recueilli par mon oncle. Je nommais l'enfant Valyria et la laissais au bon soin de l'épouse d'Asgaard. Mon cousin était devenu constructeur de bateau comme son père et mes cousines exploratrice pour l'une et guerrière pour l'autre. Le foyer était bien plus vide qu'avant car Sangar s'était marié tout comme Ardath. Je venais voir ma fille adoptive le plus souvent possible et me faisais peu à peu à cette paternité.

Chapitre 6 : Le pouvoir est toujours dangereux. Il attire le pire et corrompt les meilleurs. Il est la seule chose qui est donné à ceux qui sont prêts à s'abaisser pour le ramasser.

Je me trouvais en mission pour la reine Herga lorsque le coup d'état eu lieu. Je ne sais donc pas exactement ce qu'il s'est passé mais ce que je sais c'est que Galath avait assassinée la reine alors qu'une partie de la garde royale était bloquée par ses partisans et que Draen et les gardes qui entouraient Galath se battirent pour leur reine légitime mais furent soit tués soit capturés. Ce fut le cas de mon capitaine et mentor. Lorsque je fus de retour dans la capitale, la dure réalité me rattrapa. Je ne savais pas quoi faire et j'ai pensé un instant à rompre mon serment de garde royal. Mais la nouvelle reine ne me laissa pas le loisir de m'en aller ou de tenter quelque chose contre elle car me convoquant devant elle quelques jours après mon retour elle me coupa toute latitude d'action. Je n'avais pas encore eu le temps de tenter de voir Draen en prison. Lorsque j'arrivais devant l'usurpatrice le capitaine de la garde était agenouillé et attaché devant le trône d'Aegeda dans lequel trônait Galath. Dégoûté par sa vision mais n'en montrant rien, je m’avançais jusqu'au trône d'un pas martial. La reine m'exposa qu'elle souhaitait que je devienne le capitaine de la garde et que je la serve.

Alors que je m’apprêtais à refuser le plus poliment possible tout en sachant que cette réponse pouvait me coûter la vie, Draen se releva et se jeta sur la reine autoproclamée mais il fut intercepté par un homme de Galath qui le battit avant de le remettre à genoux. Le regard inquisiteur et vicieux de Galath se reposa sur moi comme si de rien n'était et alors que j'hésitais à dégainer ma lame pour  mettre fin à cette mascarade la reine condamna Draen à mort et m'ordonnait d’exécuter le traître. Mon visage se décomposa et je dégainais ma lame prêt à frapper, encerclé de toute part. Ce fut mon ancien mentor qui mit fin à la tension insoutenable en m'ordonnant d'exécuter l'ordre de Galath. Ce que je fis le cœur serré. Voilà comment je suis devenu le nouveau capitaine de la garde royal. Comment aurais je pu agir autrement ? Draen s'était résigné à mourir et savait que si je refusais je ne tarderais pas à le rejoindre, moi, ma fille adoptive et peut être même ma famille. Galath n'avait aucune limite dans la cruauté. Voilà comment j'ai perdu mon honneur pour protéger les miens. Je suis devenu le capitaine d'une reine que je détestais.

Chapitre 7 : La guerre et ses rivières de sang ou l'apogée d'une reine qui n'en était pas une.

Trois années. Le règne de Galath dura trois années durant lesquelles Azgeda fit face seul aux armées de la coalition. Trois années de conflits ininterrompus qui saignèrent le royaume des glaces. Nous sommes de puissants guerriers, des combattants à la férocité sans limite et à l'agressivité bien réelle mais vaincre l'ensemble de la coalition était une folie impossible à réaliser. Le peuple saignait et souffrait mais la reine s'en moquait allégrement. Pourtant j'ai obéit aux ordres et combattu les envahisseurs qui avaient osés violer les frontières de mon clan avec la férocité qui m'avait valu mon surnom de dragon des glaces. Mon serment m'engageait à vie envers la royauté des glaces quand bien même celle ci était dangereuse et folle. Être proche du pouvoir sans pouvoir influer dessus voilà le destin frustrant d'un garde royal. Je me souviens d'une bataille au cours de laquelle j'ai commandé des cavaliers de rênes de guerre alors que cet honneur devait revenir au chef d'Ulfuris tout cela parce que la reine ne faisait pas confiance à grand monde et qu'elle méprisait les chefs de clan. S'ils n'obéissaient pas à sa volonté, ils ne méritaient pas de vivre selon ses mots. J'ai tué des Trikru, des Sankolakru et bien d'autres membres de la coalition. Est ce que je le regrette ? Non. J'ai combattu pour mon clan quand bien même je n'étais pas d'accord avec la reine. La garde était sous ma responsabilité.

Mes guerriers et mes guerrières se trouvaient autant sur la sellette que n'importe quel membre d'Azgeda face au courroux potentiel de Galath. La guerre perpétuelle fit des ravages mais le pire n'était pas encore arrivé. Non, il arriva lorsque l'amante du commandeur fut enlevée sur l'ordre de Galath et exécuté avant que sa tète ne fut renvoyée à Lexa. J'ai croisé la guerrière qui s'est chargée de la besogne. Echo. Une guerrière émérite elle aussi prisonnière des actions et des ordres de notre souveraine cruelle. Je suis tombé amoureux de cette dernière mais n'ai jamais eu le courage de le lui avouer. Lorsque Galath fut empoisonnée je n'ai pas bronché. Le soulagement était bien réel mais je savais qu'une part d'Azgeda avait soutenue les actions de la défunte reine avec ferveur. L'avenir s’annonçait compliqué, le royaume touché par une instabilité politique chronique l'affaiblissant.  

Chapitre 8 : Syndra ou l'espoir d'une renaissance pour le royaume des glaces. Un espoir déchu. L'histoire n'est qu'un cycle sans fin car nous n'apprenons jamais de nos erreurs.  

Nombreux sont ceux qui attendaient qu'Arzhel le second d'Herga prenne le pouvoir et devienne roi mais le chef de la capitale n'en fit rien, décevant par la même ses nombreux partisans. Ce fut Syndra qui prit le pouvoir et devint reine d'Azgeda. J'étais satisfait de cette nouvelle reine et espérais qu'elle  soit plus proche d'Herga que de Galath. Ce qu'elle fut. Hostile à la coalition malgré mon respect pour la commandante je n'ai pas apprécié qu'elle nous fasse l'intégrer mais j'ai suivi ma reine comme le veut mon serment. Quoi qu'il en soit Syndra se révéla être une bonne souveraine qui n'avait certes pas l'aura de la regrettée Herga mais qui faisait néanmoins de son mieux pour son clan. Je l'ai servi avec fierté après lui avoir proposé de quitter mes fonctions de capitaine de la garde royale en raison de mes actions passées ce qu'elle refusa catégoriquement.

J'avais l'espoir qu'Azgeda redore son blason sous l'égide de Syndra mais pour la seconde fois consécutive une reine mourra sous ma protection. Le poison une arme de lâches et d’intrigants que je méprise au plus haut point mais que je n'avais pas méprisé dans le cas de Galath. C'est amusant de constater que la moralité peut radicalement être oublié dans les situations qui nous arrange. Ce fut la seconde de la non regrettée Galath qui s'empara du pouvoir. En tant que capitaine de la garde, je suis proche du pouvoir royal très proche même alors je peux affirmer que je suis parfaitement conscient que la nouvelle reine n'aspire qu'à une seule chose, se venger de Lexa et causer une nouvelle guerre. Je commence à en avoir assez de constater l'instabilité politique de mon royaume et d’être littéralement impuissant à changer cette situation.

Je tire mon unique satisfaction du fait que toute la garde m'est férocement loyale à moi et moi seul après ces six dernières années de commandement. La neutralité que je lui ai imposé vis à vis de nos souveraines successives lui a permis de ne pas se diviser, de ne pas basculer dans l'interventionnisme et l'ingérence dans les affaires royales. Mes camarades m'en sont grées. Nous avons prononcé des vœux et ne les brisons pas. Nous ne sommes pas les responsables des comportements de nos dirigeants. Nous ne sommes que leurs protecteurs.

Chapitre 9 : L'équilibre d'un monde brisé par l'arrivée du peuple du ciel.

Je n'aime pas les armes à feu des débarqués. Ces envahisseurs venus du ciel sont dangereux pour notre monde. Ne constituent ils pas les restes de l'ancien monde et des anciens hommes. Ces mêmes hommes qui ont détruits la terre dans leur folie meurtrière, qui ne respectaient pas la nature et l'ont souillés de leur empreinte putride pour des générations et des générations. Je suis clairement hostile au peuple du ciel et je ne m'en cache nullement. Veida ! Voilà ce qu'ils sont à mes yeux. Je suis persuadé que l'on ne peut pas leur faire confiance et qu'ils n'hésiteraient pas à tous nous anéantir si ils en avaient la possibilité et la capacité. Je me méfie d'eux et encore plus de leurs armes. Bâtons de feu mortels contre lesquels il est impossible de lutter. Une arme de lâche maniée par des lâches qui fuient le combat direct. Lorsqu'un guerrier prend une vie, il doit regarder son ennemi dans les yeux  et assumer son geste. Il doit honorer son ennemi en l'accompagnant dans la mort jusqu'au bout sinon il n'est pas digne d’être appelé guerrier. Je n'aime pas les armes à feu.

Elles sont maudites. Mais en ai je peur pour autant ? Il faudrait être stupide pour ne pas avoir peur d'une pareille sorcellerie meurtrière. Mon avis sur la technologie est aussi tranché que celui sur les armes à feu. Nous avons survécu sans durant près d'un siècle. Voilà bien la preuve que l'on peut aisément s'en passer. La technologie rend faible il n'y a qu'à regarder les membres du peuple du ciel. La technologie est dangereuse. N'est elle pas ce qui a conduit à la fin des temps. Ce qui a conduit à Pramfaya. Aussi étonnant que cela puisse paraître, j'ai beaucoup de respect pour le commandeur Lexa qui est une guerrière de talent et une dirigeante compétente. J'ai beaucoup plus de respect pour la commandeur que pour la coalition. Azgeda n'a besoin de personne pour se défendre. Notre armée est suffisante pour cela. La nation des glaces a toujours été indépendante et puissante. Faire partie d'une alliance avec nos ennemis d'autrefois me laisse un goût amer dans la bouche. Je me demande ce qu'en auraient pensé Herga et Draen. Dois je vraiment vous dire ce que je pense de l'entrée de Skaikru dans la coalition.

Je n'ai malheureusement eu aucun rôle dans la bataille de la montagne car la reine n'a pas jugé bon d'envoyer une force aller combattre l'ennemi commun de tous les clans. Une décision que je réprouve. Nous aurions pu nous illustrer de la meilleure des manières et prouver que nous surclassions les autres clans de la coalition dans le domaine de la guerre. Cela aurait été une bonne démonstration de la puissance du royaume des glaces. Au lieu de cela seuls Arzhel et dix guerriers ont pu allé combattre, affront à la coalition. Syndra m'a déçu sur ce choix. Seul le chef d'Orst' est revenu vivant de cette participation ridicule à l'effort de guerre. Je n'étais pas à Kalawen non plus car Mordh la nouvelle reine n'a tout comme Syndra avant elle pas jugé bon d'envoyer des troupes combattre les barbares dans l'ouest.  Si les motifs de Syndra étaient probablement nobles car cette dernière savait à quel point les guerres de Galath avaient saignés nos troupes ceux de sa successeur ne l'étaient probablement pas. Mordh a certainement voulu montrer qu'Azgeda ne faisait pas pleinement partie de la coalition. Alors pour répondre à la question de ce que je faisais à ce moment là. Disons que je m'occupais peut être de ma fille Valyria ou que je me trouvais auprès de Mordh à moins que je n’entraînais les hommes de la garde au combat.  
 
Chapitre 10 : Démis de mes fonctions par une reine machiavélique se méfiant de moi. Quelle ironie.


C'est par un matin de fin d'hiver de la présente année 98 que je fus convoqué devant la reine des glaces Mordh . Je n'avais aucune strictement aucune idée de ce dont ma souveraine souhaitait m'entretenir mais j'imaginais qu'elle allait m'évoquer un voyage qu'elle devait entreprendre et qu'elle me demanderait de préparer la garde en conséquence. Quelle ne fut ma surprise lorsque la reine m'indiqua qu'elle me relevait de mes fonctions de capitaine de la garde royale au motif de mon incompétence supposée pour avoir été le capitaine sous trois reines différentes dont deux étaient à présent mortes. Le sourire vicieux de la reine me révulsait et fixant mes yeux dans les siens je la fixais d'un air impassible. Impassible en apparence car intérieurement je bouillonnais de rage. Comment cette femme osait elle me démettre de mes fonctions ? Elle qui était probablement la commanditaire de l'assassinat de Syndra en bonne ancienne seconde de Galath. Je n'ai pourtant pas bronché, pas protesté car cela aurait été parfaitement inutile.

La vérité était que Mordh se méfiait de moi et qu'elle n'appréciait pas ma main mise sur la garde royale qui m'était acquise. Je pouvais la comprendre sur ce point. Nul doute qu'elle allait placer ses pions et ses plus fidèles clébards dans la garde. Rassemblant mes hommes je leur faisais part de la décision de la reine à leur plus grande colère. J'avais déjà pris ma décision. Je partirais pour Baal'th avec ma fille pour y devenir le nouveau chef du village. En effet, quelques mois plus tôt le second du chef du village ambitieux en avait eu assez d'attendre dans l'ombre du vieil homme qui dirigeait le village depuis de très longues années. Le second avait assassiné son mentor mais ne savait pas qu'il y avait eu un témoin. Ce témoin avait fuit son village et s'était caché dans la capitale, espérant que la reine prendrait des mesures contre l'usurpateur.

Je l'avais rencontré le premier et ce témoin était ma clé pour Baal'th. Azalea mon bras droit dans la garde, ma meilleure amie et mon amante décida de me suivre dans son village natal. Elle y deviendrait ma seconde. Quant à la garde, j'emmenais avec moi les plus hostiles à Mordh ceux qui allaient assurément s'en faire éjecter rapidement après mon départ. Mais j'y laissais quelques hommes et femmes m'étant loyaux jusqu'à la moelle qui m'y servirait d'espions. La nouvelle reine s'imaginait qu'elle pouvait mépriser le dragon. Elle s'en mordrait les doigts un jour ou l'autre. Je m'en assurerais. Je quittais la capitale qui m'avait vu naître quelques jours plus tard avec mon amante, ma fille, une partie de la garde royale, mon précieux témoin que le chef croyait mort ou disparu et les opposants à Mordh déguisés  ayant survécu aux purges. Lors de mon arrivée à Baal'th je ne perdis pas un instant et rassemblais tout le village sur la grande place avant de laisser mon témoin déballer la vérité. Le chef objecta qu'il s'agissait de mensonges et de tromperies mais les habitants de Baal'th qui connaissaient bien la jeune femme qui témoigna ne tardèrent pas à se remémorer les circonstances étonnantes du décès de l'ancien chef. Je décapitais l'homme quelques minutes plus tard et clamais haut et fort que je devenais ainsi le nouveau chef de Baal'th. J'ai fait d'Azalea ma seconde et des anciens gardes royaux ma propre garde. Je me fais peu à peu à ma nouvelle vie de chef tout en profitant du temps libre pour m'occuper de Valyria plus que je ne l'avais jamais fait.


EQUIPEMENT
En tant qu'ancien  membre de la garde je dispose d'une arme forgée dans les flammes par le meilleur forgeron d'Azgeda, le légendaire Saul. Mon épée a été forgée par les soins expérimentés et les battements de marteau sur l'acier du forgeron le plus doué de notre clan et ce depuis des générations. Mon épée a un manche en bois blanc, pas de garde et une lame de longueur moyenne sur laquelle l'inscription suivante est gravée : Ste Yuj Gon Azgeda. Je dispose également d'un poignard au manche en os d'ours qui n'a pas été forgé par les soins de Saul mais que j'ai hérité de mon père Idris un guerrier de notre clan mort au combat alors que je n'avais que trois ans. Le poignard m'a été transmis par mon oncle Asgard l'homme qui m'a élevé après la mort de ma mère Asmodée une exploratrice téméraire et reconnue. Mon oncle est un constructeur de navires. Ma dernière possession est un cheval mutant aux yeux rouges et à la robe de jais nommé Apollyon. Il est beaucoup moins élégant et calme qu'un cheval ordinaire mais sa résistance et sa rapidité n'ont pas sa pareille. Son apparence a quelque chose de monstrueuse comme toutes les choses frappées par la malédiction de l'ancien monde mais Apollyon est mon plus fidèle compagnon. Je l'ai acquis lors d'un voyage hors des terres d'Azgeda.

Soit un total de point de bravoure nécessaire de 550. N'oubliez pas que les armes & autres seront à acheter avec les points de bravoure, dans ce sujet, quand vous le pourrez.


WHAT ELSE ?

Vous pouvez m'appeler Dark. J'ai 22 ans. J'adore le forum et les intrigues. Vous avez tous l'air très sympa. ♥️ Bellamy aime faire des tartes aux pommes ♥️ Je pense pouvoir me connecter plusieurs fois par semaine. Et être relativement actif. Ice nation power. What a Face   ♥️



Dernière édition par Aslan le Lun 6 Mar - 23:41, édité 16 fois
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Rudy Youngblood
Bravoure :
3931
Canjun
Canjun
Grounder ; Shiedgeda
Grounder ; Shiedgeda
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 22:10

Bienvenue et bon courage pour ta fiche !
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Alycia Debnam-Carey
Bravoure :
4729
Lexa
Lexa
Grounder ; Heda
Grounder ; Heda
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 22:44

Bienvenue parmi nous looove Bon courage ! Si tu as des questions n'hésites pas !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 22:45

Bienvenue a toi o/ Calin10
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 23:13

Bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Gaia Weiss
Bravoure :
3744
Uriel
Uriel
Grounder ; Noutgeda
Grounder ; Noutgeda
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeLun 27 Fév - 23:48

Bonjouuur ! Bienvenue parmi nous ! looove
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMar 28 Fév - 0:56

Bienvenue :keur:

Bon courage pour écrire ta fiche, n'hésite pas à le dire si tu as un souci ou une question =]
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Jarod Joseph
Bravoure :
2933
Nathan Miller
Nathan Miller
100
100
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMar 28 Fév - 6:12

Bienvenue Amoureux
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Rosabell Laurenti Sellers
Bravoure :
3675
Sekhmet
Sekhmet
Grounder ; Sikru
Grounder ; Sikru
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMar 28 Fév - 6:25

BIENVENUE ! Aslan - Kyeron Gon Faya  3054269884
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMar 28 Fév - 6:38

Bienvenue !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMar 28 Fév - 17:55

Merci beaucoup à vous tous pour l'accueil ! :keur:
Revenir en haut Aller en bas
Mon avatar c'est :
Alycia Debnam-Carey
Bravoure :
4729
Lexa
Lexa
Grounder ; Heda
Grounder ; Heda
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeMer 1 Mar - 20:20

Coucou looove

Ta fiche est nickel, j'attend juste l'avis de Mordh sur un petit point avant de pouvoir te valider ! (J'lui ai envoyé un message, on aura probablement la réponse demain ! Je te tiens au courant Wink )
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeJeu 2 Mar - 16:25

Pas de problème Lexa j'attends. Merci pour la fiche. C'est sur quel point en particulier par simple curiosité ? Very Happy
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeJeu 2 Mar - 18:55

Bienvenue
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitimeVen 3 Mar - 12:23

Merci beaucoup Abigail !
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé

MessageSujet: Re: Aslan - Kyeron Gon Faya    Aslan - Kyeron Gon Faya  Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Aslan - Kyeron Gon Faya
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» you did swear over your life, over your death ▬ Aslan

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Red Sands :: HORS RPG :: Fiches validées V1-
Sauter vers: