ASTRAEUS
HOWARD
“We were born sick” You heard them say it ~ 
Age du personnage: 24 ans ﹅
Allégeance : Dante Wallace﹅
Metier : Cuisinier ﹅
Camps: Mountain Men Descriptions Quand tu étais petit, tes parents de disaient « Tu deviendras un homme grand et fort. » Grand, tu l’es devenu, fort ? Pas vraiment. Tu t’en sors, ton métier te fait bouger assez pour que tu gardes la forme. De toute façon à moins d’être garde ou soldat, les possibilités pour te dégourdir les jambes dans Mount Weather ne sont pas vraiment courantes.
En grandissant, tu te rends compte que tu es un peu différent de la plupart de tes camarades. Pas énormément, ta peau est juste plus mate, tes cheveux plus crépus, tu n’y prêtes pas attention. Tu sais que les habitants de la montagne descendent d’une partie privilégiée de la population d’avant la guerre. Tu as lu assez de livres d’histoire pour relier les points, pour comprendre qui détenait la plus grande partie du pouvoir et tu te dis juste que tu fais partie des chanceux. Ne te poses pas trop de questions, ignorer des faits sont parfois mieux que de les reconnaître. C’était ta mentalité avant l’incident.
Après l’incident ? Tout change. Tes poumons n’ont toujours pas guéri après que tu aies inhalé autant d’air radioactif et tu peux difficilement de déplacer sur de longues distances sans t'essouffler. Tu as refusé la fin de ton traitement quand ton père cède finalement à tes interrogations et te révèle la vérité sur l’utilisation des grounders. Tu ne peux plus fermer les yeux sur la vérité à partir de là. Tu n’étais pas une personne particulièrement investie dans quoi que ce soit jusque-là, la vie à Mount Weather n’est pas ce qu’on peut qualifier d’animée après tout.
Mais les remords te rongent, tu te dis que peut-être tu ne mérites pas de vivre, que personne dans cette montagne ne mérite de vivre. Peut-être que vous êtes tous des parasites sur cette planète. Tu penses que ta vie ne vaut pas le coût qu’elle impose à la population de dehors. Mais un satellite tombe du ciel, et de nouveaux habitants arrivent dans la forteresse que tu appelais ta maison. Et quand, encore une fois, tu connectes les points entre leur arrivée et les guérisons plus rapides, tu réalises que si, tu peux aider des gens et que tu feras tout ce qui est en ton pouvoir pour les faire sortir d'ici.
Ton nom est Howard Astraeus après tout, et tes parents te l’ont ressassé nombre de fois, Astraeus signifie étoile, et Howard gardien, tu es à peu près certain que ce n’est pas dans cette direction que ton père t’imaginait aller, mais vraiment, au point où tu en es, tu n’en as rien à faire. Le courage n’a jamais été une de tes qualités, mais tu as toujours voulu suivre des idéaux, et ce ne sera pas la première, ni la dernière fois que ton père te qualifiera de borné.
Parle-moi de toi - A quatre ans, tu ouvres ton premier livre. Tes parents ont toujours insisté sur ton éducation et tu as toujours été un enfant attentif, donc tu sais déjà lire à cet âge précoce. Même plus de vingt ans plus tard, tu te souviens parfaitement de l’histoire car tu as relu ce roman maintes et maintes de fois. Il parle d’aventuriers dans la forêt, affrontant créatures et flore sauvage. La première fois que tu le lis, tu rêves de sortir, tu veux explorer la Terre de dehors, tu veux faire comme ton père. Ton père, colonel Astraeus, chargé de l’unité d’exploration, il te raconte ses exploits chaque soir en revenant à la maison, et il est ton héro.
« Quand je serai grand, je serai comme toi. » C’est ce que tu lui dis, c’est ce que tu te dis, et il rit, haut et fort, te tapote l’épaule et te répond avec fierté que oui, il n’en doute pas. Il t’apprend les rudiments pour survivre dehors. Il te dit que ce n’est pas possible encore pour toi de sortir mais que bientôt, il espère que si. Le président trouvera une solution, les scientifiques trouveront une solution, et bientôt, tout le monde pourra respirer l’air extérieur.
A huit ans, les responsables de l’école appellent ta mère, on s’inquiète pour toi. Tu n’as jamais été un garçon très dynamique malgré tes rêves d’aventure, tu parles rarement et te fais toujours aussi petit que possible. Dans ta tête tu es un fier garde de Mount Weather, protégeant sa population, c’est pour ça que tes parents t’ont appelé Howard après tout. En réalité, tu as lu trop de livres sur la guerre, tu as entendu trop de conversation sur l’état radioactif de l’extérieur, tu as écouté trop d’histoires de ton père sur les sauvages et la violence des habitants du dehors, en réalité, tu es terrifié à l’idée de sortir un jour.
« Howard, you’re a coward. »Tes camarades commencent à le chanter quand tu leur racontes ce qu’on ta dit sur les grounders, quand tu leur fais part de tes peurs. Tout le monde se connait à Mount Weather, et tout le monde apprend ton surnom, et vraiment, tu ne penses pas qu’ils te verront jamais autrement que « Howard the coward ». Ca t’irrite mais tu n’y penses pas plus. Les autres te bousculent et se moquent, mais tu ne dis rien. C’est quand tu te retrouves avec les instituteurs devant toi, ta mère à côté de toi, et des bleus sur ton torse que tu te dis que oui, ils avaient raison de s’inquiéter pour toi.
A seize ans, tu n’as pas vraiment changé. Tu rêves toujours tu dehors mais te dit toujours que c’est bien trop dangereux. Tu préfères rester à la bibliothèque et dévorer livre après livre, en apprendre sur la nature, en apprendre sur l’histoire, et imaginer un avenir où tu pourrais mettre les pieds dehors sans craindre quoi que ce soit. Ton père est un peu énervé par ta stature. Tu as grandi tout en longueur, mais tu n’as presque aucun muscle pour te supporter. Mais il ne dit rien, il sait que ta mère te protégera s’il venait à te reprocher quoi que ce soit.
A dix-huit ans une brèche a lieu à l’étage des soins où travaille ta mère. On te dit qu’elle est morte parce qu’ils n’ont pas pu lui apporter une cure à temps. Quand tu vois son corps pour la dernière fois, tu notes l’absence de brûlure et la présence d’une coupure au niveau du cou malgré les efforts du maquilleur funèbre pour la dissimuler. Tu effaces ces doutes de ton esprit, te poser des questions est inutile à ce stade. Après ça, ton père devient plus rude. Il avait gardé l’habitude de te raconter ses explorations, mais elles deviennent à présent de plus en plus focalisées sur les grounders. Et tu ressens qu’il porte une colère contre eux. Tu ne comprends pas pourquoi, tu les trouves fascinants, ils sont ce qui se rapprochent le plus de tes héros de roman.
A dix-neuf ans tu suis les souhaits de ton père et t’engages dans la garde. L’entraînement de fait développer tes muscles, mais la bibliothèque te manque. Tu balaies tes hésitations, être comme ton père a toujours été ton rêve.
A vingt-deux ans, malgré ton grade de lieutenant, tu n’as toujours pas mis les pieds dehors. Il se trouve que tu t’es toujours arrangé pour avoir des postes de garde à l’intérieur de Mount Weather. Il se trouve aussi que tu n’es pas le seul de tes camarades à t’être engagé, et le surnom de Howard the Coward refait surface. Tu veux laisser glisser, mais ton père en a assez d’avoir un fils. Ton père est ton héro, la moindre des choses est de lui faire plaisir.
On te lance un pari, rejoins une des expéditions pour l’extérieur et on arrêtera de t’appeler par ton surnom. Tu sautes sur l’occasion pour prouver ta valeur. Deux pas dehors et ton souffle est coupé par la magnificence de la nature. Tu ne peux pas croire que tu avais peur de sortir. Deux heures plus tard, des grounders vous attaquent, de panique tu leur tires dessus, mais l’un d’eux a endommagé ta combinaison. Tu hurles de douleur quand tu sens tes poumons s’enflammer et ta gorge gonfler, ta peau se couvre de cloques et c’est un véritable miracle que tu arrives en vie aux portes de la montagne. Lessivé, tu t’évanouis.
A ton réveil, ton père est à ton chevet, ta peau est rétablie mais ta respiration ne l’est toujours pas. Tu remarques la transfusion et tu demandes des explications. Ton père tente d’écarter tes interrogations mais tu persistes. Il cède. Les grounders sont utilisés pour vous soigner. Ta mère travaillait en tant que scientifique chargée de récupérer leur sang, elle a été tuée par l’un d’eux et non pas par une brèche. Ton père te justifie cette situation en te disant que c’est votre droit de vie. Ton monde s’écroule. Ton père n’est plus ton héro. Tu arraches les tubes de transfusion dans un mouvement d’horreur et pars te réfugier dans ta chambre. On tente de te bloquer la sortie de peur que tu contamines les autres, ton père les en empêche. Les dégâts extérieurs sont guéris, tu n’es pas contagieux.
A vingt-trois ans, tes journées se divisent entre vouloir mettre fin à tes jours et avoir des crises d’angoisse en pensant à ce que ton peuple inflige à leurs voisins. Chaque respiration que tu prends te fait mal, tes poumons n’ont jamais guéri totalement, mais tu vis avec, tu mérites probablement cette douleur. Plus rien ne fait sens, tu ne sors plus de chez toi, tu ne peux pas voir le visage des autres, tu ne veux pas voir le visage des autres. Tu te dis que tu en connais assez sur la sécurité du bunker pour créer une brèche et contaminer la population de la montagne. Tu te dis que ce serait une bonne chose si vous mouriez tous. Tu te dis aussi que tu es un lâche parce que tu ne peux pas te résoudre à l’idée de le faire. Howard the Coward, ils avaient probablement raison.
A vingt-quatre ans tu évites toujours la majeure partie des habitants de la montagne. Tu te dis que le meilleur moyen de ne pas les voir est d’éviter les heures de repas. Tu te fais donc engager en tant que cuisinier. Tu n’es pas mauvais, et le processus t’occupe l’esprit et t’empêche de trop réfléchir, de trop penser. Bientôt ta santé mentale se stabilise. Tu en as assez de t’apitoyer sur ton sort, tu te dis qu’il est temps d’agir. Tu découvres l’existence de groupes de résistance contre l’utilisation des grounders et tu les rejoins.
A vingt-cinq ans, un satellite descend sur Terre et peu de temps après, la montagne est remplie de nouveaux habitants. Tu as du mal à y croire. Leur présence te fait sortir un peu plus de ton isolement. Quelques semaines après leur arrivée, ton père rentre d’une expédition gravement atteint de radiations. A ce degré de brûlure, tu sais qu’il va mourir. Mais deux jours plus tard il rentre chez vous parfaitement rétabli, et t’annonce qu’il n’a plus rien à craindre, et que bientôt, tes rêves de sortir sans peur seront réalisés. Tu blêmis quand tu réalises ce que signifient ses paroles.
Il faut que tu aides les quarante-huit, ou tu t’en voudras toute ta vie. La vie de Mount Weather est destinée à s’éteindre et tu ne peux t’empêcher de vouloir participer à sa chute, même si cela signifierait ta mort.
ARMES - CAPACITES - SIGNES PARTICULIERS Ayant reçu un entraînement militaire, tu sais te battre au corps à corps et te servir d’une arme à feu. Ton travail aux cuisines t’as aussi rendu assez agile au couteau. Mais au fond de toi tu sais que jamais, dans l’état mental où tu es, tu ne serais capable de tuer intentionnellement qui que ce soit. C’est à peine si tu peux courir sans suffoquer à cause de tes poumons. Mais ce n’est pas grave, ta vie est dispensable.
Et sinon moi c'est
Almond ; j'ai
20 ans (non je n'ai pas dû réfléchir pendant 5 secondes pour être sure) et j'ai connu le forum par
un superbe combo Google + Topsite, magnifique travail d'équipe . C'que j'en pense c'est
cool ma foi et puis le code d'activation est le suivant
Bellamy aime faire des tartes au pommes !
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Dim 22 Mar - 23:55
ça manquait justement de cuisinier je viendrais faire un tour dans la Montagne pour bouffer mouhaha.
) ! Joue bien donc 
